Le Pare-tempêtes
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Aller en bas
Pantouffe
Pantouffe
Messages : 833
Date d'inscription : 27/08/2018
Age : 28

- Hélène - Empty - Hélène -

Ven 21 Sep 2018 - 19:24
LES NAUFRAGÉS




règles

- Vous pouvez vous inscrire à tout moment, si vous respecter les règles.
- Essayez d'écrire correctement.
- Pas d'insultes!
- Vous pouvez inventés des relations amoureuses entre les personnages, même avoir des enfants.
- Si vous êtes nouveaux, vous ne savez pas encore très bien utilisez vos armes, alors n'exagérez pas.
- Respectez l'histoire en cours ...
- Nous sommes sur une île, alors pas machines ultra sophistiqués!
- Soyez cohérents dans vos posts de RP.
- N'hésitez pas a détailler votre RP, comme par exemple décrire l'endroit ou vous vous trouvez, son atmosphère, ce que ressent votre personnage, etc...
- Mettez en Italique ou *entre des étoiles* lorsque votre personne font une action
- Écrivez entre crochet ou soulignez quand c'est vous qui parle!
-Ne parlez pas a la place des autres !

Le RP

journal d'un des naufragés
le 12 Mai 2011
13H25: Cela fait plusieurs jours que nous navigons. Le capitaine nous à annoncer ce matin que nous serons arrivés d'içi demain soir. Nous sommes tous impatient d'arriver.
21H45:Le bateau est calme. Je Sort de ma cabine prend une dernière fois l'air avant de me coucher. Un énorme rocher se trouve un peu plus loin, Je l'admire rêvant d'être enfin arrivé. Mais quand je reprend mes esprit le bateau foncait droit dessus! Je cours voir le capitaine.
23H30: Je n'avait pas eu le temp de prévenir le capitaine. à paine avais-je quitter le pont que le bateau avait déjà frappé le rocher. Les passager commencer à paniquer et à sortir de leur cabine. A peine avaient-ils vus le rocher transpercer le bateau, ils se sont mis à courir et crier dans tout les sens en se dirigant vers les canots de sauvetage.
Le 13 Mai 2011
6H: Nous sommes rester sur la mer toute la nuit, et enfin ont touchaient terre! Nous avions échoués sur une petite île dont la plage était vaste et une grande forêt amenait au coeur de l'île. Certain naufragés cherchaient leurs familles, leurs amis d'autre (surtout des enfants) criaient et pleuraient.
8H:Maintenant que le calme et revenu, nous nous sommes décidés à inspecter la plage, chercher du bois pour faire du feu, et trouver de la nouriture.
8H10:Nous avons trouvés une étrange cabane sur la plage. Elle était remplie d'armes!( sabres, poignoires, haches, arcs, flèches, lances...) Chacun c'est servi sans se demander qu'est ce que fesait cette cabane içi.
8H30:Ceux qui était partis chercher la nourriture revinrent apeurés, disant avoir vus un serpent géant à 3 têtes... Je suis partis avec un groupe de personnes chercher se serpent à 3têtes. Nous somme revenus finalement content de notre prise, c'est à dire le serprent. Il fesait au moin 2 mètres, mais nos nouvelles armes était efficaces.
Minuit:J'entend un étrange bruit dans la forêt. Je pars à sa rencontre, et j'y trouve un magnifique cheval blanc, le dos érissé de pics, crachotant joyeusement des petites flammes. Lentement je me suis aproché et je vis ces yeux bleus viré au doré. Surpris j'ai reculer, mais une voix résonna dans ma tête: -N'ai pas peur, je suis ton serv'.
Je lui répondi: -Mon serv'?
-Un serv' est un animal, TON animal, tu le reconnait à ses yeux doré. Il ressent les mêmes chose que toi, il est connecté à ta pensée et est unique, tu n'en aura qu'un dans ta vie.
Je suis resté un long moment bouchebé, et finalement je suis rentré au camp annoncer au autre que j'avais, sans le vouloir, aprivoiser un animal.
-Est ce que les autres en auront?
-Oui. Mais je dois te prévenir, vous n'êtes pas seuls sur cette île, içi vive les petsoukôs des hommes à tête de crocodiles. Il ne savent pas encore que vous êtes là, Mais ca ne saurait tarder...


fiche de joueur:

nom du personnage:
age:
description:
armes possédé:
image lui ressemblant: (non obligatoire)
nom du serv': (il arrive au milieu de l'histoire)
description du serv':
image lui ressemblant:


note

Vous pouvez contrôlez plusieurs personnages, mais il ne peut il avoir qu'un serv' par personnage.
Vous pouvez contrôlez des petsoukôs, mais demander avant!
Bon, maintenant on peut enfin commencer!
Pantouffe
Pantouffe
Messages : 833
Date d'inscription : 27/08/2018
Age : 28

- Hélène - Empty Re: - Hélène -

Jeu 23 Mai 2019 - 13:51
nom du personnage:Sofia
age:20 ans
description: Jeune fille espiègle est drôle, mais elle est assez réservé depuis le naufrage, ou ses parents ont perdus la vie. Elle adore les animaux.
armes possédé: Une épée (voir image)
image lui ressemblant:Sofia
nom du serv': Miroky
description du serv': Courageux et fort, il est prèt à tout pour aider ou défendre Sofia. Il n'aime pas trop les autres humains.
image lui ressemblant:miroki

-----

nom du personnage: Bart
age: 19 ans
description: Avant le naufrage, Bart était un jeune américain classique, qui vivait une vie à peu près normale.
Il vivait avec sa mère dans une jolie maison de bord de mer à San Francisco.
Il est assez grand (1 m 80), et s'habille avec un jean & un T-shirt.
armes possédé: Une épée. Il a aussi un petit couteau qu'il avait avant le naufrage.
image lui ressemblant: [url=https://i411.photobucket.com/albums/pp192/Shyninjagirl28/Eternal Kingdom/squall.jpg]pour la tête.[/url]
nom du serv': Phyly (surnommé Francis :B)
description du serv': Il est très grand (~2 m) et très gentil. Sa taille ne l’empêche pas d'être rapide et agile.
image lui ressemblant: http://www.dominicdesbiens.com/wp-conten t/uploads/2011/05/koala2.jpg


-----

Nom du personnage : Mingano Guarini

Age : 13 ans

Description : Grand (1m 70), cheveux brun clair, yeux changeant de couleur selon la luminosité allant du bleu turquoise quand il fait clair au gris terne lorsqu'il fait sombre, charmeur, dragueur, beau gosse, populaire, prétentieux, vaniteux, courageux, ni musclé ni gringalet, se distingue par sa faculté d'adaptation lorsqu'il est en danger de mort, aime suivre les bons dirigeants, très agile

Armes possédées : un katana http://www.kenrido-dojo.fr/image/katana2 .gif

Nom du serv' : Generen

Description du serv' : http://c2.img.v4.skyrock.net/c22/reeper6 66/pics/1042222658.jpg Il vit dans l'eau, mais peut tenir en dehors de l'eau un quart d'heure avant de mourir déshydraté. Il a deux sortes d'ailes lui permettant de se déplacer en prenant les courants marins. Il a un torse humanoïde mais sa tête (pas comme sur la photo) comprend un oeil constamment fermé par une paupière transparente et une dent hérissé de dents.



-----



nom du personnage: Greg
age: 21 ans
description: Il n'est pas très grand(1m75), ses cheveux sont roux et des tâches de rousseurs envahissent ses bras, uniquement, ses yeux sont bleus. Il porte un collier avec son petit sabre accroché au bout.
Il est discret mais prêt à se sacrifier pour quelqu'un de très proche. Il n'aime pas trop les ordres.
armes possédé: collier avec l'arme au bout
nom du serv': Kéis
description du serv': c'est un perroquet rouge et vert dont l'espèce à disparut il y a plus de 300 ans. Mais dans le rp il peut voler très haut et repère les dangers facilement.
image lui ressemblant: Perroquet rouge et vert



-----


Nom du personnage: Lifaen
Age: 23 ans à peu près
Description: Physique: Lifaen est plutôt grand (1m90), il a les cheveux coupé courts et d'un blanc légèrement argenté. Ses yeux sont d'un bleu glaciale (Vous voyez les Yeux de Hugh Laurie? ben c'est la même couleur). En fait il vient d'une autre dimension (j'espère que ça ne dérange pas, il n'y a pas d'histoire de magie et tout... Juste je voulais un perso qui est un style un peu moyenâgeux, comme Lifaen de kairec quoi ) qui en est a l'équivalent de notre moyen-âge. Par conséquent il est habillé d'un habit en cuir et d'un pantalon de toile. Il est entièrement fait de muscles (pas de graisses superficielles quoi) à cause du monde dont il vient. Il était l'équivalent d'un guerrier là bas. Plutôt agile, ses réflexes sont très aiguisé et il se sent dans son élément quand il est dans la nature.
Caractère: particulièrement changeant, il peut être aussi joyeux que glacial, aussi déterminé que dépressif. Il change d'humeur très facilement et il est plutôt difficile de cerner son véritable but.
Il a naturellement le charisme d'un Leader et sait galvaniser les troupes. Il prend des choix rapidement en cas de crise et souvent sans se tromper. le reste est à découvrir.

Armes: Lifaen se bat soit avec deux sabres attachés dans son dos, soit avec un assortiment varié de dagues. Il sait se servir d'à peu près n'importe quelle arme, du fait de sa formation d'assassin. Sinon, il est aussi un expert du combat à mains nues. Lifaen possède aussi quelques instruments de tortures qu'il ne montre jamais.
Image lui ressemblant: Voila  (Ne faites pas attention aux nattes, au globe dans sa main et à l'oiseau. )
Nom du serv': Lykos
Description: Lykos est une sorte d'animal qui ne ressemble à rien de connu, il fait la taille d'un chaton et ne sert à rien à part à discuter. Mais dans certaines situations (et plus tard à volonté) il se transforme en un gigantesque loup plus grand qu'un homme. Selon certaines conditions, ce loup adopte des formes différentes, relatives aux éléments.
Image du serv': En mode normal; Ses différentes transformations


-----


nom du personnage: Émilie Zalenkie
age: 15 ans
description: Souvent joyeuse, ne désespère devant rien (ou presque), l'aventure la tente souvent mais elle n'aime pas tellement le danger. Elle est spécialiste des langues elle en connait une trentaine dont plusieurs langues mortes. Si elle doit suivre quelqu'un elle le fera sans problème mais si elle veut dire quelque chose elle le dit.
Elle est de taille moyenne 1m65, les yeux verts (comme ceux de son serv'), les cheveux bruns avec des reflets châtains.
arme possédé: couteaux transmis de générations en générations.
image lui ressemblant: Normalement il y en a 2 ; La fille de gauche sans le bonnet.
nom du serv': Mélo
description du serv': Il est de très petite taille, tient dans la main. Il possede des epines qui se pojette jusqu'à 1m50. Il peut également produire des braises ou ,dans ses meilleurs jours, des jets de flammes de 20cm.
image lui ressemblant: Le Serv' : Mélo

-----


nom du personnage: Matéo
age: 11ans
description: Matéo est un petit garçon de petite taille (1m 32)il est brun, les yeux marrons et il pèse 32kilos. Il est stratège,calme et cache ces sentiments.
armes possédé: (il l'a avec son serv.)Il a une petite dague (10cm.) qui peut devenir un petit sabre (40cm.)
image lui ressemblant: (non obligatoire)
nom du serv': fantomaruh
description du serv': C'est un esprit attaché à son arme, il peut communiquer avec Matéo, il le fait depuis longtemps, mais Matéo croyais qu'il rêvait.
image lui ressemblant: la dague :
http://fr.123rf.com/photo_3244517_petit- sabre-japonais-tendu-sur-un-tissu-rouge. html

le sabre :
http://www.accialama.com.br/produto/inde x/215/Espetos-e-grelhas-/BATEDOR-DE-SAL- EM-CABO-DE-MADEIRA-2816M

-----


Nom du personnage : Hélène.
Âge : Dix neuf ans.
Description morale et physique : Hélène est une jeune noble, fils d'un riche bourgeois très proche du roi. Ses traits doux témoignent de son appartenance à cette classe sociale privilégiée, tout comme ses longs cheveux noirs brossés avec soin, ses mains fines et son air posé... Ce qui ne lui correspond d'ailleurs pas le moins du monde : La jeune femme est au contraire d'un naturel bravache et volcanique. Sa langue est aussi acérée qu'une rapière, et son tempérament enflammé l'entraîne toujours dans les sombres ruelles de la ville, ou sur le marcher bondé. Elle éprouve un dédain profond pour les aristocrates, et passe le plus clair de son temps à vagabonder hors du château. Cependant, malgré son caractère instable et colérique, Hélène reste douce. Débrouillarde, pleine de cynisme, d'ironie et d'énergie bouillonnante, un seul homme peut l'apaiser... Et la combler. Le voir lui suffit à éprouver du bonheur ; et de l'amour. Alors, ses yeux verts s'illuminent enfin d'autre chose que de colère.
Armes possédées : Un petit poignard tout en fer, du manche à la pointe de sa lame.
Image lui ressemblant : - Hélène - Cross

Nom du serv': Peanbaeg.
Description du serv': Peanbaeg est une louve dont le pelage est en réalité un ramage de plumes immaculés. Elle mesure deux mètres de hauteur, et en fait autant de largeur. C'est un animal d'une grande douceur, aux yeux profonds et doux. Toute en muscles puissants, elle est cependant fine ; mais n'en reste pas moins dangereuse, car d'une loyauté sans faille envers Hélène, qu'elle attendait depuis déjà mille ans, et donc incroyablement protectrice envers la jeune femme. Quand un danger se présente, l'entièreté de son corps et de son "pelage" deviennent d'un gris métallique : Ils se métamorphosent en titane quasiment pur. Toute les caractéristiques de ce métal lui sont alors communiquées : Résistance au feu jusqu'à 600°, grande tenue à la corrosion, incroyable légèreté...


-----



Nom du personnage: Jake.
Âge: 18 ans.
Description: Jake est un jeune homme très solitaire. Il est très peu social et n'accorde sa confiance que difficilement. Pourtant, quand il fait confiance à des personnes, il est prêt à tout pour les aider. Malheureusement, son regard peut le faire paraître glacial au premier abord.
Arme possédée: Un couteau dans son fourreau.
Image lui ressemblant: Jake.
Nom du serv': Séphira.
Description du serv': D'une nature plus douce et plus accueillante, Séphira est une jeune créature qui aime les humains. Sa voix est une sorte de douce musique tant elle est agréable à écouter. Elle n'est pas sans défense: elle peut s'envoler pour échapper à ses prédateurs et envoyer des messages d'alertes grâce à son don de télépathie.
Image lui ressemblant: Séphira.


-----

Nom: Loup
Age: 16 ans
Description: c'est un garçon gentil, doux et il a l'esprit combatif, il est un peu bizarre, et solitaire, il a les yeux qui changent de couleurs et les cheveux châtains clairs, il a un sweat shirt blanc et un pantalon marron, il a une montre en bon état et un bracelet en argent.
Arme: il l'a attaché dans son dos http://www.google.fr/imgres?imgurl=http
Serv': Elle s'appelle Hiveria c'est un loup fantôme http://www.google.fr/imgres?imgurl=http

-----

nom du personnage: Wouata
age: 18,5 ans
description: blond au yeux noirs, tete carré
armes possédé: Epée en bois
image lui ressemblant: http://www.blueroze.fr/wp-content/upload s/2010/08/10052804544539536119659.jpg
nom du serv':
description du serv':
image lui ressemblant:

-----

Nom: Océane
Sexe: féminin
Particularités:C'est une jeune fille orpheline n'ayant jamais connu ses parents et elle décida d'écumait les mers à leur recherche.....Elle possède un arc : http://www.casimages.com/codes_ano.php?i mg=110818093323172862.jpg&nsa=nsa28& amp;module= et elle resemble à ça :http://www.casimages.com/codes_ano.php?i mg=11081809363671321.jpg&nsa=nsa28&a mp;module= .

Elle a receulli un petit animal très affectueux lors d'une de ces expeditions.

Nom: Kiubara
Sexe: femelle
Particularités: Magnifique animal très affectueux.

Sa photo : http://www.casimages.com/codes_ano.php?i mg=110818093950559679.jpg&nsa=nsa27& amp;module= .

-----

Nom du personnage:Nina
Age:19 ans.
Description:Cette jeune fille mystérieuse ne parle plus depuis le naufrage.
D'ailleurs,personne ne sait d'ou elle vient.
Elle connait bien les plantes.
Elle est blonde au yeux bleu.
Armes possédé:Un boomerang amélioré avec des lianes,pour attrapé l'ennemi.
Nom du serv':Rodja
Description du serv':C'est un tigre à dent de sabre.Toute sa force est dans son agilité.
Il est très gentil mais défend à tout prix Nina.

-----

nom du personnage : Valdor
age: 16 ans
description: de taille moyenne, j’ai les cheveux bruns mais les yeux marron, musclé comme la plupart des garçons de cet âge mais pas de graisse, agile et intelligents, je suis du genre à préférer un plan sans acrocs et qui se déroule sans perte que la force brute.
armes possédé: couteau suisse
image lui ressemblant:L'image (mais sans le tatouage et je m’habille pas comme ça !)
nom du serv': (il arrive au milieu de l'histoire) : scar
description du serv': c’est un léopard au pelage jaune tacheté, me représentant, agile, rusé et discret.
image lui ressemblant: L'image

-----

nom du personnage:Lilly
age:17 ans
description:timide, simpa, joyeuse
armes possédé:dague
image lui ressemblant:voila!
nom du serv':pégasus (il arrive au milieu de l'histoire)
description du serv': pégase de glace, crache de la glace
image lui ressemblant:voilà!

-----

nom du personnage: Chad
age: 18
description: Très curieux mais trouillard.
armes possédé: Une arbalète
image lui ressemblant: Chad
nom du serv': Kitsune
description du serv': joueur, brutal, maladroit.
image lui ressemblant:Kitsune

-----

nom du personnage: Anabelle
Âge: 19 ans
Description: C'est une femme plutôt gentille et douce. Elle n'a pas beaucoup de problèmes pour se faire des amis. Cependant, elle a toujours cru en la méchanceté de Jake, véhiculé par les informations, et c'est juré de lui faire payer ce qu'il a fait quand elle le croiserait, parce que pour elle, les parents sont sacrés. Elle a ainsi été élevée avec les règles de respect et a souvent respecté ces dernières. Elle se défend quand on l'agresse.
Arme(s) possédée(s): Un couteau.
image lui ressemblant: Anabelle
nom du serv': (il arrive au milieu de l'histoire)
description du serv': Dremaki appartient à la race des Sidras. Il est couvert de fourrures qu'il peut électriser pour repousser des agresseurs éventuelles. Il se tient debout la plupart du temps, mais s'il a besoin de courir, il se met à quatre pattes. C'est un prédateur qui a une préférence pour les ozelles. Au niveau caractère, il est légèrement impulsif mais il sait reconnaitre quand quelqu'un a raison. Il est plutôt gentil mais il n'hésite pas à tuer pour se venger, se défendre, ou même manger.
Image lui ressemblant: Dremaki

-----

Nom du personnage: Minary sa photo
Age: 14 ans
Description: cheveux blanc nattés, yeux bleu très clair avec un uniforme de marin
Armes possédé:une faux
Image lui ressemblant: faux
Nom du serv': Amnésia
Description du serv': renard blanc, yeux violet et des mini ailes noire dans le dos
Image lui ressemblant: photo du serv'
Pantouffe
Pantouffe
Messages : 833
Date d'inscription : 27/08/2018
Age : 28

- Hélène - Empty Re: - Hélène -

Jeu 23 Mai 2019 - 14:46
Chipy

Sofia s'entrainait à l'épée sur un arbre pour pouvoir partir à la chasse dans quelque jours. Elle s'acharnait tellement dessus qu'il ne ressemblait plus trop à un arbre...
Sofia: dans un dernière assaut Prend sa!
*Crak*!
sofia: ???
Alors qu'elle essaiyait de retirez son épée de l'arbre, il s'écroula à quelque mètre d'elle.
Sofia: en ramassant son épée Je devrai m'entrainer sur autre chose...


Cronoseus

Premier jour de survie. Depuis le naufrage, beaucoup de choses se sont passées. Je me suis tout d'abord rendu compte que le katana que je porte à la ceinture depuis si longtemps ne sert pas qu'à frimer. En effet, je n'ai survécu que grâce à lui. Lors du naufrage, je n'ai pas été assez rapide pour sortir de ma cabine. J'étais alors submergé par les eaux. Je me suis débattu, mais rien à faire, je coulais. C'est alors que mon katana me coupa et que je me suis souvenu que je l'avais. Grâce à lui, j'ai découpé dans la charpente du bateau un petit trou où je me suis glissé et j'ai réussi à sortir du bateau avant qu'il ne me submerge. Je ne sais pas pourquoi, mais cette expérience m'a rapproché de mon katana, mais aussi de la mer, car lorsque j'étais sorti du bateau, il me restait encore à remonter à l'air libre. Je croyais alors que j'allais mourir. Le siphon provoqué par la chute du bateau dans l'océan m'entraînait vers le fond, quand soudain je sens une force me remonter à l'air libre et je perdis conscience. Lorsque je me suis réveillé, je vis trois filles penchés au-dessus de moi. De jolies filles. C'est fou ce que la puberté peut faire penser à un jeune comme moi, même à l'agonie, je n'arrêtai pas de relooker les jolies filles. Je sens que ça va un jour me jouer un mauvais tour. Je me suis laissé faire par ces filles qui avaient l'air de s'y connaitre. Après tout, autant en profité. Je suis alors retombé dans le coma.

Je viens de me réveiller et quelle ne fut pas ma surprise en voyant Rachelle la plus canon de tout le bateau juste au-dessus de moi. Je crois percevoir quelques mots.
-Ming, Ming, Ming... Tu n'aurais pas pu sortir de ta chambre comme les autres. Non, il a fallu que tu joues les imbéciles. Maintenant, tu es dans un état lamentable. Peut-être que ... comme avec blanche-neige... il faudrait que je t'embrasse.
Je n'en croyais pas mes oreilles,. J'étais inconscient il y a deux minutes et voilà que Rachelle murmurait au-dessus de moi qu'elle voulait m'embrasser. Je suis mort. J'en suis sûre car je suis au paradis. Je sombre à nouveau dans le sommeil.


All49

Greg sombra dans le coma pendant une petite heure. Sa tête avait heurté violemment le mur de la cabine. Quand il se réveilla, les personnes présentes sur le bateau était agité dans tout les sens. Il lui fallut quelques secondes avant de réaliser ce qui se passait. L'eau recouvrait ses pieds, elle était passé par le dessous de la porte. L'homme se leva promptement alors qu'il vit une jeune femme coulée devant la fenêtre de la cabine. Il ne pouvait rien faire, et même avec son porte-bonheur, il était coincé.

Mais Greg observa le mur opposé de la cabine commencer à se casser. Mais l'eau n'arrivait pas de ce côté, et heureusement. Il aperçut un jeune ado entrain de se frayé un chemin en coupant la charpente du bateau. Il sourit et décida de passer après le garçon.

L'homme s'y faufila donc en prêtant précaution à son collier à sabre. Une fois sur le toit du bateau, il vit qu'il n'était plus très loin d'une île. Il mit en avant ses talents de nageur professionnel pour au passage ramener un jeune homme qui était à deux doigts de se noyer. Une fois sur la plage, Greg s'écroula par terre pour se reposé quelques minutes.

Finalement, une trentaine de minutes plus tard, il se releva. Faisant l'inventaire de ce qu'il lui restait. Son objet fétiche, le collier à sabre, sa montre censée résister à l'eau mais qui semble être assez endommagée, son short, un T-shirt... Pas grand chose... Il observa les naufragés autour de lui, dont 3 belles jeunes femmes tirant l'ado qui avait coupé la charpente du bateau.

Greg décida de s'aventurer seul dans le coeur de l'île. Ils allaient avoir besoin de nombreux matériaux pour construire des habitats fiables. Il entra dans la forêt, assez dense, le feuillage humide, "j'espère que c'est pas la saison tropicale ici !" pensa-t-il intérieurement. Il avança quand même.

Il ôta le sabre du collier pour le tenir dans sa main. Sur son chemin, il coupa de nombreuses feuilles, et rencontra de nombreux animaux. Il crut à un moment entendre rugir un tigre, mais il n'avait rien vu... Enfin il arriva prêt d'un petit cours d'eau, il aurait dû emmener une gourde, et préviendrait peut-être les autres en revenant.

L'homme suivit le petit ruisseau. Mais il s'arrêta d'un coup. La forêt se faisait de moins en moins danse dans cette partie de l'île apparemment. Et un oiseau, rouge et vert, tournoyait au dessus de sa tête, poussant quelques petits cris. La bête se posa sur la branche à la cime d'un arbre. C'était un perroquet, rouge et vert. Rien à voir avec les perroquets habituels... Et encore plus étrange, ses yeux étaient dorés...

Le perroquet le fixa tel un défi qu'on lui lançait. Greg tenait fermement le couteau, non il ne voulait pas le tuer, juste le capturer. Lorsque dans sa tête, une voix lui parla:
-Je suis ton serv'
Greg sursauta et tomba dans des plantes. la voix qui résonnait dans sa tête avait l'air de venir de ce perroquet, à moins que ce ne soit un délire et qu'il soit déjà fou !
-Je suis ton animal, je ressens ce que tu ressens. Nous sommes en fait connecté ensemble. Tu en as qu'un dans ta vie.
-Heu... Tu es ce perroquet?
-Oui. Et je peux te dire que vous n'êtes pas seul sur cette île. Les Petsoukhôs, homme à tête de crocodile. Ils n'hésiteront pas à vous tuer, mais il n'ont pas repérer votre présence, faites attention, je te préviendrai s'ils arrivent, mais tu t'aies beaucoup éloigné de ton campement...
-D'accord....

Greg haussa les épaules, c'était plutôt étrange mais stimulant. Il allait continuer. Il savait qu'il prendrait un danger, si ces Petsoukhôs le repéreraient, ils devineraient une nouvelle présence. Et Greg mettrait en danger tout les rescapés. Mais c'était un risque à prendre pour Greg.

Il continua d'avancer et entendit ruisseler une rivière. L'autre rive paraissait à une cinquantaine de mètres, mais le courant était bien trop élevé. Il allait continuer à le longer. Greg remarquait son serv', le perroquet qu'il nomma Kéis, le suivre, et s'arrêter.
-Tu te rapproches bien trop des Petsoukhôs ! Ils se trouvent à seulement 5 kilomètres derrière la rivière. Ils rôdent souvent au désert, un peu plus au Nord. Je te conseille de ne pas trop t'aventurer !
-Merci. Mais je vais longer cette rivière.
-Vers le Nord alors. Sinon tu vis tes dernières heures, Greg.
-D'accord. Je vais suivre ton conseil.
-Et tu vas sans doute angoisser d'autres naufragés, ne voyant pas ton retour.
-Personne me connaît, et j'ai laissé un mot sur la plage.

La conversation se termina sur ce point. Greg suivit Kéis prendre la direction du Nord. Après tout, se rendre directement vers les Petsoukhôs, sans connaître la géographie de l'île, ce serait suicidaire.


Drinks

Le navire de bois voguait dans les eaux tumultueuses de la mer de Shaäl. L'imposante coque renforcée de métal absorbait péniblement les assauts violents du vent lais surtout des vagues qui, telles des lionnes en furies, frappaient le flanc du bateau sans relâche.
Sur le pont de ce fière bâtiment (je crois que ça se dit pour un bateau, non?) se battaient une trentaine d'hommes. Oh, ils ne se battaient pas entre eux mais contre les éléments qui s'acharnaient à renverser leur embarcation. Tous s'escrimaient à maintenir le bateau droit grâce a de multiples cordages. Les quatre voiles du navire étaient totalement affalée car elle se seraient déchirées sous les tempétueux assauts du vent.

Parmi tous ces hommes, parmi toutes ces vies qui se battaient pour ne pas sombrer dans les ténèbres impénétrables de la mer, une personne se distinguait largement des autres. C'était un jeune homme d'un vingtaine d'années et enveloppé dans une cape de voyage qui claquait au vent. Son capuchon rabattu masquait son visage mais on devinait une mâchoire carrée et une large cicatrice qui lui barrait la joue. Une rafale plus puissante que les autres arracha son capuchon et dévoila complètement sa tête. Ses cheveux blanc argentés étaient coupés mi-long et flottaient légèrement dans le vent, laissant son visage totalement à découvert. Une autre rafale lui enleva complètement sa cape et dévoila son corps musclé par la pratique du combat. Il était vécu d'une armure de cuire (la même que celle sur l'image). D'un geste fluide l'homme leva le bras, un couteau de lancé parti et planta la cape contre un poteau. Le jeune homme se leva nonchalamment et récupéra son arme et sa cape dont il se vêtit.
L'homme retourna s'assoir au bord du bastingage, sous les assauts des éléments.

Puis, ce fut l'apocalypse. Le dieu des océan avait dû être offensé pour déchainer sur eux une telle fureur. Une vague haute de dix mètres se déversa sur eux et leur embarcation fut ballotée de toutes parts comme un fétu de paille. Avant que l'homme ai eu le temps de réagir, le haut devint le bas et vice-versa. Après, ce fut le noir.

Lorsque L'homme se réveilla, il se trouvait sur une plage apparemment déserte. Nulle trace de son embarcation autour de lui. Il voyait quelques silhouettes s'agiter au loin.
Son esprit rationnel tourna à toute allure. Il était sur une île où chaque plantes, chaque grain de sable était potentiellement hostile. Il devait réagir vite.
Après une courte prière pour les dieux, il commença à longer la plage, vers le campement qu'il voyait au loin.


GoldJulie

Émilie qui avait navigué toute la nuit en compagnie de Sofia, c'était effondrée dès son arrivée sur l'île. A son réveil, elle s'aperçut que peu de naufragé avait survécu. En se retournant elle aperçu Sofia détruire un arbre, sa première pensée fut à une série télévisée qu'elle regarder en espérant qu'elle ne devrait pas, un jour, faire parti de l'aventure, trop de danger, ce jeu faisait "évoluer" des naufragés sur 2 îles adverses.
Dans ce jeu, la première chose que faisait les concurrents pour survivre était de faire du feu !
Émilie décida de partir à la recherche de feuille et de brindille pour alimenter le feu qu'elle, et ses compagnons, arriveraient à faire. Elle ne baisserai pas les bras, malgré la difficulté de la tache.


Cronoseus

Je me réveille enfin pour de bon. Cette fois c'est avec un léger gout de fraise sur ma bouche, mais aucune fille au-dessus de moi. Je suis seul. Enfin, il y a toujours quelques réfugiés dispatchers sur le camp, mais la plus grande partie se démène pour monter sur les palmier pour attraper des noix de coco. Je suis seul et j'ai une idée en tête. Quand j'étais avec mon père, en Espagne, chaque matin, nous allions faire un jogging de 20 Km. Pour me rappeler ces bons vieux souvenirs, j'ai décidé de me diriger vers le bas de l'île car en effet l'île était fortement inclinée. D'un côté, il y avait des montagnes et de l'autre des forêts à perte de vue. J'ai donc opté pour la forêt.
1 heure plus tard
Je crois que j'ai atteints le bout de l'île. Il semblerait que les forêts soient divisées par des clairières humides où sinuent des ruisseaux. Cela a donc facilité mon déplacement. J'ai remarqué une clairière lors de mon jogging jusqu'ici. Peut-être pourra-t-elle servir de camp pour nous ?
Une demi-heure plus tard, dans la clairière
Je viens de remarquer une construction au fond de la clairière. Peut-être pourrons-nous nous y abriter ?
5 minutes plus tard
Je sens comme une hostilité tapie dans ce bâtiment. Maintenant que je regarde de plus près... le bâtiment ait fait en os ! C'est horrible, mais il faut que je tiennes le coup. Je dois découvrir ce que recels cet endroit.
2 minutes plus tard, dans le bâtimentJe viens de remarquer des dessins sur les murs. On y voit des crocodiles, non des hommes... des hommes à têtes de crocodiles. Face à eux des humains, mais à côté d'eux de diverses créatures les aidant à combattre les hommes-crocodiles. Tiens deux mots sont inscrits en dessous. Serv' et Petsoukôs. Quel mystère résidé en ces lettres ?


Drinks

L'homme arriva bientôt à une centaine de mètre du groupe de personnes rassemblées sur la plage. Son pas se fit plus lent et il s'arrêta totalement. Il était à découvert et totalement visible aux yeux du groupe. Son pas souple le dirigea vers l'orée de la forêt qui bordait la plage et il se dissimula dans les arbres comme sa formation lui avait enseigné. Plus par prudence que par peur, l'homme dégaina son sabre noir et or. D'un pas feutré, il s'approcha doucement et entreprit de déterminer quelle attitude avoir envers ces étrangers.

L'homme fut particulièrement étonné en les observant. Ils étaient habillés d'un façon forte étrange et parlaient de choses encore plus étranges comme de "l'elektricité", ou bien de "Pheletone" et encore d'autres choses. Certains tenaient collé contre leur oreille un morceau de plastique noir et essayaient de parler dedans avant de jeter ce même morceau de plastique dans le sable en criant d'un ton rageur
- Zut! Pas de réseau!
Intrigué par ce comportement fort étrange, l'homme décida de ne pas se rapprocher du groupe avant de les avoir totalement étudié et avoir totalement compris pourquoi se comportaient-ils si bizarrement.


ALL49

Greg déboucha où la rivière se séparait en deux. Il soupira, il allait peut-être rentrer finalement. Non, c'était inutile. Et puis, on le prendrait pour un fou avec cette histoire de serv'. Il rattacha son sabre au collier et plongea, pour rapidement atteindre la rive opposée. C'était pas pour rien qu'il avait finit 4ème non-plus au championnat du monde. Ses habits étaient mouillés mais cela fit du bien à Greg, qui était tout de même un peu fatigué.

Il espérait trouver une clairière, ou autre chose, pour pouvoir camper. Il y en avait bien au minimum une quelque part. L'homme reprit son sabre dans les mains, avec la conviction qu'il allait lui servir.

Greg pensait qu'il aurait dû rester avec les autres pour construire le campement, au lieu de partir en solitaire, car quand la nuit arrivera, il devra s'être trouvé ou aménagé de quoi dormir.

Mais il avait faim. Malgré ces hauts arbres, Greg n'avait repéré aucun arbre fruitier. C'était embêtant, mis-à-part les fruits rouges, qu'il raffolait particulièrement mais tout de même, l'île était pauvre en garniture.

Enfin après dix minutes de marche, Kéis revint en volant sublimement pour se poser sur l'épaule de Greg. Ses griffes s'enfoncèrent dans le T-shirt pénétra jusqu'à la chair. "Je m'habituerai" pensa Greg. La voix de Kéis résonna dans la tête de l'homme:
-Je t'ai trouver une clairière. Il n'y a rien d'installer, par contre.
-Je vais te suivre, mais il faudra chercher de quoi se nourrir.


Cronoseus

Je me réveillais en sursaut. Ce rêve ou ce cauchemar avait paru si réel. Au-dessus de moi, je vois le soleil qui brille haut dans le ciel, étincelant tel de millions de lame dorée en feu. Une agréable chaleur s'était dispensé sur mon corps. De mon rêve, je ne retiens déjà plus que deux mots : serv' et Petsoukôs et un endroit : une clairière. Peut-être devrais-je me lancer à la recherche de cette clairière, mais cela devrait attendre. En premier lieu, mieux valait s'organiser pour construire un campement raisonnable. En attendant que l'on trouve mieux comme une clairière... Non, il faut que je me ressaisisse ce n'était qu'un rêve. Déjà, je me dirigeais vers le groupe des survivants, katana à la main pour pouvoir aider à trancher les cordes que le bateau avait laissées dans son naufrage et qui avaient glissé sur la plage.

[...]

Tout en me dirigeant vers le groupe de réfugiés, je repense à comment j'avais découvert le katana. C'était le soir du naufrage, j'avais été convoqué par le capitaine ou plus vraisemblablement mon père. Il voulait se racheter de n'avoir pu m'emmener à Los Angeles en m'offrant une croisière de luxe sous les tropiques. Je n'aurais pas pu rêver pire. Le trajet était long et ennuyeux et pour changer un peu de cette longue monotonie, j'avais formé une bande autour de moi. Bien sûr, ce qui devait arriver arriva, un de ses "potes" avait fait le con et avait foutu le feu à une cabine. J'étais responsable de lui donc ce fut sur moi que mon père dirigea son courroux. J'aurais été sévèrement puni s'il n'y avait pas eu cette tempête. Mon père me laissa dans sa cabine. Pendant que le bateau tanguait, il avait fait l'inventaire de la cabine : un bureau, un poster de Maria Karey et un katana. La seule chose pour laquelle j'avais accepté de venir, c'était pour le katana de mon père. C'est alors que tout se précipita, le bateau se retourna et je pus me sauver in extremis à l'aide du katana même si j'avais perdu connaissance. Maintenant mon père était mort ou porté disparu et je n'avais rien à manger et aucun abri. Je vais aller chasser peut-être que j'arriverais à tuer un singe même si je doute que j'attrape quelque chose. J'aurais au moins fait une reconnaissance des lieux. Tiens, il y a quelqu'un caché derrière ce buisson, peut-être qu'il pourrait m'aider à chasser ?
-Et ho, toi là-bas! Celui caché derrière le buisson. Tu viendrais pas te montrer utile au lieu de glandouiller!


Drinks

L'homme réagit immédiatement, la personne en face de lui pouvait très bien être hostile et il ne pouvait pas se permettre d'être attaqué avant d'avoir découvert pourquoi ces personnes se comportaient si bizarrement. Le jeune homme jaillit de derrière l'arbre, d'une habile clef de bras il désarma celui qui l'avait découvert et le plaqua contre un arbre. D'un geste fluide il tira une dague et la plaça contre la gorge de son adversaire. Il le maintint fermement pour qu'il ne puisse pas se dégager et lui dit doucement.
- Qui es-tu? Est ce que tu appartiens au groupe là bas? Que faites-vous ici?
Tout en parlant il pressa un peu son arme contre la gorge de son adversaire qui ne pouvait rien faire. L'homme essayait de lui faire comprendre qu'il valait mieux jouer franc jeu avec lui. Il n'hésiterait pas à le tuer si le besoin s'en faisait sentir, sa formation d'assassin lui permettait de dominer totalement cette personne qui lui semblait être une sorte de bourgeois.


Cronoseus


Youpi, nous avons un psychopathe doublé d'un fou dans notre petit campement.
-Argh
Il pourrait pousser moins fort le con.
-Ok, Ok. Je vais tout te dire si ça te fait plaisir de connaitre l'identité de ta prochaine victime. Je m'appelle Mingano. J'ai 13 ans. J'appartiens belle et bien au groupe là-bas et on a fait un naufrage. Bon et si tu me tuais rapidement sans abimer mon beau visage pour si des filles voudraient pleurer sur mon corps ? D'ailleurs, concernant tes habits, on n'est pas au moyen-âge, mec !
J'espère qu'il fera ça vite.
C'est fou comme la mort peut paraitre douce quand tu es dans une situation critique.


Drinks

Un naufragé lui aussi? Alors son bateau n'avait pas été le seul à sombré? Qu'est ce qu'ils avaient ses vêtements? Et qu'est ce que c'était que le "moyen âge"? D'étonnement, il relâcha la personne qu'il tenait. Cette homme parlait fort bizarrement et il n'avait compris qu'à moitié ce qu'il disait.
- Mais où est ce que j'ai encore atterrit...
Soupira-t-il.
Bon, son cerveau rationnel tournait à toute allure, le seul problème c'est que rien de cette histoire n'était rationnel... Bon, tout d'abord retrouvé son navire. Après tout il n'était pas là quand l'homme c'était réveiller. Il prit un ton plus chaleureux et demanda à l'adolescent
- Dis moi, tu n'aurais pas vu un autre bateau que le tient? Un fière trois mats... Avec une cinquantaine d'homme à son bord. Et d'ailleurs, c'est quoi le moyen-âge? Et cette chose que certains d'entre vous se colle à l'oreille, qu'est ce que c'est?


Cronoseus


Je me relève péniblement. J'ai l'impression de nager en plein rêve ou plutôt en plein cauchemar. Il y a deux secondes ce type voulait le tuer et maintenant il lui parlait chaleureusement. Cela n'avait aucun sens. Bon, autant se laisser bercer par ce rêve et répondre franchement à cet énergumène vêtu bizarrement.
-Il n'y avait que mon bateau. Pas de trois-mâts. Je ne savais même pas que cela existait encore. On est à l'époque des machines, du pétrole pas à l'époque où tu devais prendre une vie pour faire le tour du monde. Au moyen-âge, il n'y avait rien comme technologie à la limite, ils savaient construire des catapultes, mais au sinon. Et je ne sais pas d'où tu sors, mais tu dois certainement connaitre les GSM, ces petits bijoux technologiques permettant de communiquer.
Je me sens bizarre comme si j'avais grandi d'un coup. Je vois la vie différemment. Je vois par exemple, les efforts pathétiques dont redouble les survivants et je réfléchis à ma vie qui n'était qu'un vaste tissu monotone sans couleur. VCoilà maintenant que je parle comme les vieux. C'est pathéthique. Il faut que je me ressaisisse !
-Et toi? Tu est qui?
Voilà au moins une question pas trop idiote qu'il avait réussi à dire. C'est déjà une petite victoire contre sa morosité.


Drinks

L'homme réfléchit à toute allure, les questions s'enchainaient à une vitesse folle dans son esprit puis une évidence lui apparut: Il avait quitté son époque.
Il poussa un juron sonore et s'adossa d'un air abattu contre un arbre. Il écouta sans grande conviction l'adolescent et dit d'un ton las.
- Je m'appelle Lifaen et chez moi je suis un assassin professionnel et un vagabond.
Il prit un moment pour réfléchir à ce qu'il allait dire. Cela paraissait tellement impossible et pourtant ça c'était passé. Cette île était étrange...
Cela pouvait paraitre bizarre que Lifaen accepte ce qui c'était passé avec autant de facilité mais son esprit savait analyser les choses lorsqu'elles étaient sous son nez.
- Écoute Mingano, je sais que ça peut paraitre très étrange mais, d'après ta description, je viens de ce que tu appelles le "Moyen-Age."


Cronoseus

Youpi, ce gars est complètement fou. A moins que ça soit moi le fou? Autant jouer le jeu et ne pas paraître surpris.
-Ha bon, un vagabond et un assassin professionnelle. Enchanté! Moi, je suis juste un pathétique petit adolescent accro au filles et à la popularité vivant dans un monde pollué et envahi par des sociétés de consommation. Bienvenue dans notre monde de détraqués mentaux qui détruisent la nature! C'est pareil dans votre monde?


Drinks

Il ne le croyait pas, cela se voyait dans son regard. Lifaen fit comme si de rien était. Même son esprit était sous le choc de ce qui c'était passé. Mais le temps n'était pas aux cas de conscience et Lifaen n'avait pas le temps de s'attarder sur cette étrange affaire.
Ainsi les homme de ce temps détruisait la nature? Lifaen en était abasourdi. Il répondit après quelques secondes de silence.
- Et bien... Non, là où je vie tout est un peu comme ici...


Chipy

Sofia s'assit à côté de l'arbre détruit et regarda Emilie partir dans la forêt. Elle repensa au naufrage...
En entendant les cris elle c'était précipitée à l'exterieur. Le bateau tanguait tellement, qu'elle était tombé à l'eau. Heuresement, elle avait rejoinds un jaune fille qui derrivait sur une planche. C'était Emilie. Elles étaient restées sur cette planche toute la nuit. Quand elles arrivèrent enfin sur l'île Emilie s'effondra sur le sable. Sofia vérifia qu'elle allait bien, mais elle dormait simplement. Elle courra surtoute la plage mais ne trouva aucune trace de ses parents. Les larmes aux yeux, elle s'assit au pied d'un arbre. Elle fixa le sol et vit une énorme empreinte. Affolée elle s'éloigna et partit vers la mer. Elle trouva la carcasse d'un bateau, pensant que c'était le sien elle rentra à l'intérieur, mais ne trouva que des armes. Elle prit la premiere épée qui lui était tombé sous la main, et en profita pour s'entrainer sur un arbre si jamais le propriétaire de l'empreinte se montrerait.


Cronoseus

J'ai l'impression. Non. L'air est lourd autour de moi. Je me sens tout drôle. Je suis en train de m'évanouir. Je dois tenir bon. Dire un mot.
-J'ai faim et surtout... soi...f
Je m'écroule et dans un dernier éclat de lucidité, je me dis que c'est vraiment débile ce que je viens de dire. Tiens, je vois de la lumière. J'ai l'impression de flotter. Serais-je enfin réveillé ou ce n'est qu'un rêve à l'intérieur de mon rêve? Je suis dans l'eau. Je me sers de mes nageoires pour mieux prendre le s courants marins. Mes nageoires, courant marins... Je sombre à nouveau dans le sommeil.


Goldjulie

Émilie eu comme premier réflexe de sortir ses couteaux de leurs étuis.
Émilie : Non !
Il lui manquait un couteau !
Émilie : Est-ce que quelqu'un à vu mon couteau ?!

En parcourant les abords de la plage, Emilie découvrit des traces d'empreintes. Désirant de tenter le tout pour le tout, elle décida de suivre les traces, de plus qu'une fine lignée les suivait.

Après quelques minutes de marches, elle arriva pres de la foret. La elle apercu un adolescent s'évanouir sous les yeux d'un homme étrange, il semblait tout droit sorti du moyen-age.

Prudente, elle décida de s'approcher sans un bruit. Mais derriere elle un arbre venait de tomber.
Pourvu que l'homme ne l'a pas entendu, pensa t-elle.


Drinks

Il a faim et soif? Lifaen se leva et repéra rapidement des fruits comestible. Avec des gestes fluides il monta à l'arbre et ramassa une grappe de ce qui semblait être des abricots bien mûres. L'homme sortit ensuite sa gourde et vérifia qu'elle était pleine. Il installa plus confortablement l'adolescent en l'adossant à un arbre.
Lifaen commença à le secouer un peu pour le réveiller mais il ne bougeait pas et gémissait dans son sommeil. Le jeune homme prit alors sa gourde et en renversa un peu sur son visage, attendant sa réaction.

Lifaen attendait toujours la réaction de l'adolescent lorsqu'il entendit un bruit derrière lui. Il se retourna vivement et dit d'une voix dure.
- Qui est là? Montrez vous!
Voyant que personne ne venait vers lui, il reprit, sa voix se faisant menaçante, étant donné qu'il s'agissait d'une menace potentielle.
- Montrez vous où je viens vous cherchez!
Termina-t-il en sortant un de ses deux sabre.


Goldjulie

Emilie se demanda pourquoi elle n'allait pas lui parler. De plus il avait l'air...civilisé.
Emilie : Excusez-moi... Est-ce que cet adolescent va bien ?


Cronoseus

C'est pas bientôt fini ces pertes de conscience. Il entrouvrit les paupières et vit l'homme un sabre à la main criez des mots indistinct.
-Grlmm. Grlllm. GRRllm. Drrlm.
Impossible de parler ni de bouger. Peut-être que si j'y mets toutes ma force.
-Jrre svui rrrrrrrrrrrevreirré
chevrotai-je
C'est alors que je vis une adolescente se mouvoir discrètement. Peut-être est-elle la cause de tout ce remue-ménage?
-Viens, tu n'as rien à craindre.
dis-je à mi-voix avant de me relever péniblement.


Drinks

Lifaen rangea son sabre, la personne en face de lui n'avait pas l'air dangereuse, malgré son couteau sorti. Il regarda Mingano qui gémissait toujours dans son sommeil et il poussa un soupir.
- Oui, je pense. Bien qu'il se soit évanoui sans raison, ça m'étonnerait que ses jours soient en danger.
Il reprit, un peu plus méfiant.
- Mais qui es-tu toi? Tu viens du groupe là bas?


Goldjulie

Émilie n'avait pas fait bonne première impression l'homme eu sabre lui crier dessus. Avait-il peur ?
Mais voilà qu'il rengainait son sabre. Émilie fit de même.
Émilie : Je m'appelle Émilie. Je suis désolée vous avoir fait peur, mais je me demandais si ce garçon allait bien Maintenant je suis rassurée. Et vous comment vous appelez vous ?


Drinks

Lifaen eu un petit rire lorsqu'elle s'excusa de lui avoir fait peur.
- Oh, ce n'est pas toi qui m'a fait peur. ce qui m'a fait peur c'est que je ne savais pas ce qu'il y avait derrière cet arbre. En territoire inconnu, tout est potentiellement dangereux.
Il continua d'écouter la jeune fille et lorsque Mingano se réveilla, il lui désigna les fruits.
- Tu as dit avoir faim, et ces fruits sont comestibles.
Il retourna la tête vers l'adolescente.
- Moi, je m'appelle Lifaen.


Cronoseus

Je pris les quelques fruits que Lifaen m'avait mis sur le côté et j'ai commencé à manger. Ces quelques bouchées me redonnèrent de la force et je pus alors mieux distinguer l'adolescente cachée par Lifaen. Elle était plutôt jolie mais trop vieille pour lui. Si je recommence à penser aux filles c'est que tout va bien.
-Merci beaucoup Lifaen. T'est qui toi?
demandais-je d'un ton neutre laissant transparaître à Lifaen son gout pour les jolies filles.


Goldjulie

Émilie aperçut le garçon se mouvoir et lui demandait qui elle était. Il était pas mal mais il avait l'air un trop prétentieux.
-Salut, moi c'est Émilie, je me suis échouée ici. Vous savez où nous sommes ?
Émilie eut la tête qui lui tourna.
-Lifaen, est-ce que tu as encore des fruits pour moi ? Et de l'eau ? Je commence à avoir la tête qui tourne.


Drinks

Lifaen fit un geste d'assentiment de la tête et donna à Emilie sa gourde remplie d'eau. Puis, il retourna à l'arbre et cueilli encore quelques fruits qu'il tendit à l’adolescente. Il en garda un qu'il croqua. Le fruit avait un gout délicieux et devait être mûre à point. Enfin, il se décida à répondre à la question d'Emilie
- Et bien, pour tout te dire, je ne sais pas où nous sommes. Certainement dans une île bizarre.
Il décida de voir si elle croyait à son histoire.
- Au fait, d'après la description de Mingano, je viens de ce que vous appelez le "Moyen-Age".


Goldjulie

Émilie fut surprise par cette phrase, il ne savait pas ce qu'est le Moyen-Age ! Elle eut également un geste de recul. Mais elle finit par se faire une raison. De plus elle venait d'apprendre le nom du jeune homme.
- Oui tu en a tout l'air. Mais, je pensais que tu faisais parti du bal costumé d'hier.


Lifaen

Lifaen entreprit de raconter ce qui s'était passé.
- Le navire où j'étais voguait dans une tempête d'une rare violence et nous avons été renversé par une gigantesque vague. Lorsque je me suis réveillé j'étais seul sur la plage, aucune trace du trois mats et de son équipage. J'ai marché puis j'ai vu votre groupe, vous êtes vraiment bizarre, avec vos vêtements, surtout ceux qui tiennent contre leur oreille une sorte de rectangle où ils essayent de parler.


Goldjulie

Émilie était vraiment étonnée mais, elle se dit qu'après tout elle faisait peut-être un rêve et rien de plus. Donc elle lui répondit comme si tout était normal :
-Le rectangle s'appelle un téléphone portable ou mobile et oui on doit vraiment être étrange mais à notre époque nous venons tout juste de réaliser que nous détruisons la planète. C'est pourquoi j'avais décidé de faire cette croisière pour observer les océans et la nature au niveau de toutes nos escales. Tu peux peut-être te demandé pourquoi je fais tout ca à mon age mais c'est justement car j'aime l'aventure !
Soudain une idée traversa la tête d'Émilie : Et si ils étaient tous dans le monde de Lifaen, au moyen-age ! La planete n'était pas encore perdu en cette période !
Mais soudain elle entendit encore un arbre s'écrouler et elle revient à la vérité.
Tout ceci est absurde, tans pis, je pense que le plus important maintenant est de faire un campement pour la nuit.
-Et si nous rejoignons les autres. Ne t'inquiète pas Lifaen, ils ne te feront aucun mal si tu ne parle pas de où tu viens. Au faite est-ce que vous n'auriez pas trouvé un deuxième couteau semblable à celui-ci ?


Cronoseus

-Non, désolé. Mais où as-tu trouver ces couteaux? Cela peut-être dangeureux tu sais.


Godjulie

Émilie pensa qu'elle s'était trompé sur Mingano, il n'était pas laid certes mais il avait l'air plus jeune que lui et il lui faisait la morale !
-Ils appartenaient à mon arrière grand-père et dans ma famille on se les passe de générations en générations. Partout où que j'aille, je les ai sur moi. Et au faite, tu vas mieux ?


Drinks

Mais en fait, elle avait peut être raison! Peut être était-ce eux qui avaient débarqués à son époque!
- Non, je n'ai pas vu de couteau semblable.
Lorsqu'elle lui proposa d'aller à leur campement, il tressaillit légèrement. Après avoir longuement songé à cette proposition il répondit enfin
- C'est d'accord, il vaut mieux qu'on s'organise et qu'on se regroupe. en territoire hostile, il faut se serrer les coudes.


MA042

Un petit garçon était étendue sur la plage, regardant le ciel. Mais qu'est-ce qu'il c'est passé ... Il se leva et regarda si tout le monde allait bien . Je ne peux rien faire pour les aider... Il baissa la tête Si ! Aller chercher à manger !
Il courut vers la forêt, vit plusieurs traces de pas se dirigeant vers la plage. Des gents voulant explorer , surement. Il continua sa route, vit quelques personnes inspectant des arbres mais ne s’arrêta pas, il trouva plus loin un arbre fruitier. Je haï les fruits ! dit il avant d'en ramassé, il repartit vers la plage, voir si il n'y avait pas des crabes. Avant d'y arriver, il vit un groupe de personne, certaines armées. Caché derrière un palmier il vit la scène .
Un homme habillé moyenageusement avec un sabre, une fille avec une dague, et un adolescent assez mal en point .


Godjulie

Émilie heureuse de revenir au près de tout le monde, entraina le petit groupe.
Sur la route, elle aperçut un jeune garçon, plus jeune que Mingano, qui les observer derrière un panier.
Tout le monde est méfiant à ce que je vois, pensa t-elle.
Elle se retourna et chuchota : Vous croyez qu'il faut aller lui parler ? Ou bien faire semblant de ne pas l'avoir vu ?


Drinks

Lifaen suivi Emilie vers le campement des naufragés mais, comme ses compagnons, il entendit un bruit à côté de lui. Il se dirigea droit vers le buisson et attrapa le petit garçon qui s'y trouvait par le derrière de la chemise. Il le ramena aux adolescent.

- C'est une habitude de votre époque d'épier les gens?
Demanda Lifaen avec un sourire ironique.
- Non par ce que, c'est pas vraiment poli tout ça...


Cronoseus

-Laissons-le là. Mieux vaut allez voir s'il n'y a pas de travail à faire au campement.
Il se dirigea alors d'un bon pas vers le campement rudimentaire.


Godjulie

-On est tous un peu méfiant, ça se comprend, on ne se connait pas vraiment, moi je n'est rencontrée sur les barque qu'une jeune fille qui s'appelle Sofia, mais là je ne sais pas où elle est.
En se retourna vers le garçon.
-Tu t'appelle comment ?


MA042

Matéo vit qu'on l’appela Repéré ! Il s'approcha lentement. Bon...bonjours ! dit il en essayant de sourire , il leurs montra les pommes dans un morceau de sa manche qu'il avait arraché . Vous en voulez ?
Pantouffe
Pantouffe
Messages : 833
Date d'inscription : 27/08/2018
Age : 28

- Hélène - Empty Re: - Hélène -

Jeu 23 Mai 2019 - 15:27
Cronoseux

Des pommes!
-Ho oui s'il te plait. Je mangerais n'importe quoi. Même toi si tu étais en chocolat. dit-il un grand sourire au lèvre


Goldjulie

Émilie se dit que se gamin avait l'air plutôt sympathique.
-Non merci. Je pense qu'il faudrait se rationner pour être sûre de trouver tout ce qu'il nous faut. C'est quoi ton nom ? Moi c'est Émilie.


Mao42

Je m'appelle Matéo , et sans vouloir être indiscret, pourquoi cette personne est habillé comme au moyen age ? il montra la personne bizarrement habillé de la tête.


Goldjulie

Émilie se dit que pour préserver la santé mentale de tout le monde il ne restait qu'une chose à faire :
-C'est parce qu'il revenait du bal costumé du bateau, quand nous avons échoué.


Drinks

Lifaen lâcha Matéo et le regarda avec un petit sourire en coin
- Bonjour d'abord.
Il poussa un soupir intérieur, il sentait que cela allait être dur de survivre sur cette ile avec une bande d'adolescent et un gamin d'une dizaine d'années. Enfin bon, le jeune homme termina son fruit avant d'observer avec intensité la forêt. Il était presque sûr que les naufragés n'étaient pas la seul présence sur l'île...


Goldjulie

Émilie s'aperçut que Lifaen était songeur. Mingano affamé. Et l'enfant intrigué. Oui, ils allaient avoir beaucoup de mal à s'en sortir. Mais Émilie ne désespérée jamais ! Il fallait construire un abris !
En observant la plage Émilie aperçut un petit bout de papier.
-Regardez !


Mao42

Matéo courra vers le papier, fit un bond, le ramassa et le ramena calmement vers la petite bande . Voilà ! dit il.


Goldjulie

-C'est marqué :
"Bonjour,
je me suis échoué parmi vous. J'ai pris la liberté d'aller explorer l'île pour ramener des matériaux qui serviraient à la construction des abris.
Greg."
Mais qui peut bien être cette personne.


Drinks

Et voila! C'était prévisible, il devait bien avoir au moins une personne pour partir en solitaire. C'était bien évidemment LE comportement à ne pas avoir lorsqu'on atterrit dans un milieu hostile!
- Qui sait ce qui a bien pu lui arrivé...
Dit-il d'un air sombre.
- Mais nous ne pouvons rien pour lui. Montrez moi donc votre campement et commençons à construire des abris.
Décida Lifaen. En situation de crise, il ne fallait pas stagner, toujours faire quelque chose pour galvaniser les troupes.


MA042

C'est par ici ! Il montra la direction du doigt . Allons y ! On doit aider les autres ! si vous re voulez des fruits, servez-vous !


Godjulie

-Oui merci.
Émilie profita des fruits de Matteo.
-Lifaen on dirait que tu t'y connaît en survie on fait quoi maintenant ?


Drinks

- Il faut qu'on s'organise. Il va falloir faire quatre groupe; un qui récupérera du bois pour faire du feu et construire des abris, un qui cherchera des fruits au bord de la plage, un qui cherchera mon bateau pour que l'on puisse s'armer et un qui cherchera des feuille pour faire des couchages décents à nos abris.
Dit Lifaen avec assurance.


MA042

Matéo entendit une voie l’appelé , sa provenais de la forêt. Euh... je reviens ! Il courut vers la forêt. Qui est là ?

Je suis fantomaruh .
Fantomaruh ?
Derrière toi, une dague.
Hein ? Il était la, une dague était accroché au mur. Matéo alla la ramassé
Depuis ta naissance, nous sommes lié, mais tu ne m'as jamais entendu.
Qu'est ce que...
Prend la dague et prononce : Namida
Euuuh. Namida... La dague se changea en petit sabre. Ouaaah ! Allez maintenant, sinon ils vont partir sans toi !
Ou...oui !

Puis il repartit vers les autres, ramassa au passage trois fruits dans un arbre.

Désolé du retard !


Godjulie

En remarquant tout de suite la nouvelle dague.
-C'est quoi ça ?


MA042

Matéo eu un petit frisson. Euh, je l'ai trouvé sur un arbre, elle est assez spécial je trouve... Au moins je n'ai pas menti !


Godjulie

-Bon je veux bien partir à la recherche du bois.


MA042

Seul je ne pense pas pouvoir faire grand chose, je n'ai que 11 ans !


Drinks

- Je sais! Matéo tu iras avec Emilie pour récupérer les feuilles des branches quelle coupera. Mais ne vous enfoncez pas trop dans la forêt.
Leur conseilla Lifaen
- Je vais me charger des fruits, je suis le plus à même de repérer de la nourriture ici, et Mingano cherchera l'épave du bateau avec des armes.


MA042

D'accord, bon ben, on est partit ou vous continuez de mangers ?.


Sangolapinoz

Je me réveillais sur la plage, complètement trempé.
- Merde, mes fringues !
Je mis un certain avant de me rendre compte que c'étais pas normal que je sois étendu sur le sable, complètement trempé.
- Héé, mais je suis où ?
Je me releva plus ou moins difficilement et commença à marcher.
C'est là que je me rendis compte que j'étais sûr une île.
J'avais beau ne pas être une lumière, je savais bien que si je me réveillais sur la plage, les vêtements mouillés, alors que je m'étais endormi dans ma cabine sur le bateau, c'est qu'on avait fait naufrage.
- Putain je suis paumé sur une île !
Ça c'était une réplique vraiment utile...

Je me décida doc à marcher un peu le long de la plage.
Je vis alors un sorte de vieux taudis avec quelques armes à l’intérieur. Je pris une épée.
Puis, à force de marcher, je vis des personnes qui s'affairaient. Au moins, je n'étais pas seul.
Je m'approchais donc de ces gens, et remarqua qu'un homme était habillé comme au moyen-âge.
- Salut !


MA042

Matéo se retourna, il y avait un homme avec une épée derrière eux .
Euh, bonjour.... mais pourquoi tout le monde à des armes ici !


Drinks

Lorsqu'il entendit la question du gamin, Lifaen eut un sourire désabusé.
- En territoire hostile il faut toujours avoir de quoi se défendre, petit.
Le jeune homme regarda la nouveau venu d'un air intéressé, enfin quelqu'un de plus vieux!
- Bien le bonjour. Tu fais aussi parti de leur naufrage?


M042

Matéo se retourna. Ah bon, mais j'ai pas d'arme moi, comment je vais survire ! des bêtes sauvages vont nous attaquer ! me faut une arme !


Sangolapinoz

- Oui, je fait parti de leur naufrage, mais pourquoi "leur" ?
T'y étais pas toi ?
A part ça, j'étais content de voir qu'il y avait quelqu'un d'à peu près mon âge parmis ces enfants.


Drinks

Lifaen prit un moment pour réfléchir, après tout il s'était un peu laissé emporté en expliquant à tout ceux qu'il croisait qu'il venait d'une autre époque. A moins que ce soit eux qui aient débarqués dans la sienne... Enfin voila, pour éviter des complications, il allait éviter de tout dévoiler de ses origines.
- Heu... Pas tout à fait...
"Aller! Trouve une excuse!"
- En fait je ne me souviens pas très bien...
Malheureusement, il avait toujours été un piètre menteur.


Sangolapinoz

- Et elles sont cool tes fringues ! On dirait un jeu vidéo !
Ah ça, c'était bien le truc à sortir... Mais j'étais vraiment trop con !


Drinks

Lifaen poussa un juron intérieur: il parlait de quelque chose qu'il ne connaissait pas! Il se dit fermement qu'il se contenterait d'acquiescer mais une curiosité naturelle prit le pas sur lui.
- Heu... Qu'est ce que c'est un jeu vidéo?
Il essaya de dire cela la plus naturellement possible.


Sangolapinoz

La question m'étourdi un court instant.
Quelqu'un qui ne connaissait pas les jeux vidéos, c'était... comment dire... bizarre.
- Et bah, un jeu vidéo, c'est un jeu avec des images qui défilent, où l'on incarne un personnage.
Ca se joue avec un écran. C'est électrique.
Puis j'ajouta :
- Au 21e siècle, presque tout le monde en a.


Godjulie

Émilie s'était perdue dans ces pensées et quand elle revint à la dur vérité elle aperçut un nouveau.
-Salut, comment tu t'appelle ?
Émilie se dit qu'elle n'avait jamais posée autant de fois cette question en une journée !
-Dit Matteo c'est une bonne idée qu'à eu Lifaen. Je vais chercher du bois et toi des feuilles ! Tu viens ?


Sangolapinoz

Je me demandais comment quelqu'un pouvait ne pas connaitre les jeux vidéos quand une jeune fille me posa une question.
- Bonjour, je m'appelle Bart, et toi ?


Godjulie

Émilie se dit quel n'avait pas beaucoup de chance, car c'était la seule fille de la bande. Mais bon il valait peut-être mieux ça que de se retrouver avec que des filles qui se plaignent tout le temps !

Malgré tout Émilie était aux anges tout ces garçons étaient vraiment beau. Malheureusement aucun de son âge...
-Moi c'est Émilie. Je voulais savoir, est-ce que tu aurais retrouvé un couteau m'appartenant ??


ALL49

Tout était calme. Greg coupa de nombreuses branches qu'il ramenait près d'un arbre au milieu de la clairière. Il allait se construire une petit cabane, oh rien de luxueux, quelque chose de temporaire. Il transpirait avec tout ces allés-retours épuisants. Heureusement, Kéis, le perroquet vert et rouge, l'aidait un peu. Greg commença enfin à assembler les branches, en vain. Il n'était pas très doué pour ça. Il persévéra, il réussit à former une petite cabane, qui allait juste suffire en cas d'orage violent...

Cette question le turlupinait, il apercevait les montagnes au loin, serait-il judicieux de s'y aventurer seul? Certainement pas, il serait donc mieux pour lui de rentrer le lendemain, à moins que eux aussi s'aventurent et le retrouvent...


Sangolapinoz

- Hum, j'ai trouvé une cabane sur la plage, avec plein d'armes dedans dis-je en montrant la plage. c'est là que j'ai trouvé mon épée.


MA042

Oui ! Je vais chercher des feuilles !
Matéo courut vers des palmiers pour prendre des feuilles, il prit le temps de gouter un fruit mais recracha directement. Pouah !


Godjulie

Émilie décida de partir chercher du bois avec Matteo, mais avant elle se décida de passer parla cabane indiqué par tout ces camarades pour trouver une hache.
-Matteo je vais me chercher une hache, je reviens.


Arrivée à la cabane elle chercha la hache. En revenant sur ces pas munie de sa hache, Émilie aperçut des traces de pas se dirigeait vers la fin de la plage.

Qu'allait-elle faire, s'aventurait seul à la recherche de la personne à qui appartiennent les traces, ou prévenir les autres. Soudain, une idée lui passa par la tête. Si la personne qui avait tracée ces empreintes avait son couteau !

Toutes ces idées devinrent flous. Il n'y avait plus que ces couteaux devant ces yeux. Sans plus réfléchir, Émilie décida se partir seule en suivant ces traces. Il lui fallait son couteau sans perdre plus de temps !

Un peu plus loin elle rencontra une petite rivière. La des feuilles avait été coupées, ça faisait peu de temps, elles n'étaient toujours pas fanées. Elle se trouvait sur la bonne piste.

Elle continua à suivre les pas. Malheureusement, il commençait à se faire tard et la nuit commençait à tomber. Enthousiaste, elle avait oubliée d'emporter de la nourriture. Elle était affamée !

Elle décida de se poser sous un palmier pour trouver une solution, il faisait trop noir pour retourné au campement et continuer à suivre les traces, il fallait se trouver un abri.

Maintenant, Émilie se disait qu'elle avait été aveuglée par le désir de retrouver son couteau.


Drinks

Lifaen entama tout de suite sa tache et commença à s'enfoncer légèrement dans la forêt tropicale pour y chercher de la nourriture. Il tomba rapidement sur un arbre donnant la même sorte d'abricots que celui qu'il avait trouvé. Le jeune homme ouvrit sa besace et y fourra les précieuses denrées. Il trouva aussi des noix de coco, quelques fruits rouges, des champignons et des racines comestible. Lifaen hésita à chasser un peu mais il se décida à se contenter de sa tache.
Après une bonne heure de recherche, son sac était plein à craquer et le soleil commençait à se coucher. Le jeune homme décida donc de retourner à l'endroit où il avait donné rendez-vous aux autres; à une dizaine de mètres du campement. Il patienta là patiemment que ses compagnons arrivent.


Cronoseus

J'en avais marre de rester en compagnie des "membres" de notre petit groupe. Je me suis donc vite dépêché de partir à la recherche du bateau de Lifaen. Je suis d'abord parti vers le sud, dans la direction du soleil. Juste avant de me rappeler mon rêve et je n'ai plus du tout voulu partir de ce côté. Je m'arrête alors et m'apprête à faire demi-tour lorsque je vois un ruisseau sortant de la forêt. Poussé par ma curiosité, je remonte le courant. Quelle ne fut pas ma stupéfaction, après un quart d'heure de marche, de voir une clairière avec un lac en son milieu. Quelle merveille ! Lorsque je rentrerais de mon expédition, je proposerais à mes camarades de déménager ici étant donné de la piètre qualité de notre campement. Je me repose les pieds dans l'eau pendant deux bonnes minutes puis repart le long du ruisseau. Quelles autres mystères cette rivière cachait-elle ? Malheureusement pour moi, après une demi-heure de marche, la rivière débouche sur une petite trouée où une autre rivière ruisselle. Je vois alors le soleil qui commence à décliner derrière les arbres. Je presse le pas en descendant la rivière et puis, je longe la plage vers les montagnes. C'est alors que je vois des falaises s'élever brusquement devant moi.Les falaises se trouvaient à plus ou moins un kilomètre de ma position. Le soleil déjà bien bas ne me laisse pas le temps d'y accéder. Je crois que je vais grimper à un arbre et dormir comme dans le livre que j'étais en train de lire peu avant le naufrage. Je serais à l'abri des bêtes rôdant dans les parages.
Le lendemain matin...
Je me suis levé tôt ce matin. Le soleil n'avait pas encore dépassé les montagnes lorsque j'ai atteint les falaises. En y regardant de plus près, j'ai vu une grotte percée dans la roche. Ma curiosité m'ordonne d'y aller, mais ma connaissance des courants marins est assez bonne que pour savoir que serais emporté au large avant d'avoir fait la centaine de mètres qui me séparaient de la grotte. Une autre chose attira mon regard. Un arbre énorme étant planté au milieu d'une clairière sur la falaise même. En approchant de plus près, je remarque d'énormes fruits pendus à l'arbre. En regardant les fruits tombés de l'arbre, j'ai comme l'impression que ce sont des pommes géantes. Mais que ce passe-t-il sur cette île ?


Godjulie

Voilà qu'il faisait complètement noir, Émilie avait tout juste eu le temps de se trouver 2, 3 bananes. Elle en mangea deux et laissa la dernière sous un rocher qui s'effondrerait des l'approche d'un animal. Comme quoi la télévision pouvait faire du bien.
En se remémorant, son quotidien Émilie eu les larmes aux yeux et commença à pleurer. Peut-être ne reverrait-elle plus jamais ses parents !

Emilie s'endormit baignée dans ces larmes. Vers 1 heure du matin elle se réveilla dans un sursaut. Elle venait d'entendre un bruit. Ouvrant un oeil, elle vit un petit lézard lui grimper dessus. *Ouf, rien que ça !* Mais si ça avait été quelque chose de plus terrifiant ? Décidément cette idée de partir à l'aventure seule ne lui réussissait pas ! Mais ce qui est fait est fait. Pourvu que personne ne s'inquiétait de sa disparition.

Emilie se rendormit aussi vite elle était épuisée.


ALL49

La nuit tomberait bientôt. Dans cette partie de l'île, apparemment, il n'y avait presqu'aucun arbre fruitier mis à part des abricotiers, enfin des sortes d'abricotiers. Greg en récolta une dizaine d'autres qu'il empaqueta dans de grosses feuilles et déposa au fond de sa petite cabane.
Son serv', Kéis, avait l'air de bien se remplir le ventre seul. Il se remettait à s'envoler haut lorsqu'il vit une jeune adolescente emprunter le chemin qu'avait parcourut le duo plutôt dans l'après-midi. Kéis en "parla" à greg qui haussa les épaules, peut-être quelqu'un qui avait lut sa lettre, même si l'homme n'était pas revenue.
Sa montra lui traversa l'esprit d'un seul coup. Elle avait l'air en meilleure forme qu'en sortant de l'eau, mais certainement pas à l'heure, indiquant quinze heure vingt-quatre du matin... En partant du fait qu'elle s'était remise à minuit, qu'ils étaient arrivés vers les 6h, il devait être plus de 21h !!
Sur ce Greg s'aménagea un lit avec des feuilles pour le coussin. Et s'allongea en réfléchissant...


Sangolapinoz

La nuit été tombée, et on avait toujours pas d'abri, ni de feu...
Ca commençait mal.
- Il faudrait peut-être commencer à s'activer.
Lifaen, tu sais faire du feu ?


Drinks

- Du feu... Heu... Si je trouve les bonnes pierres ça devrait le faire... Enfin, les autres ne viendront plus à cette heure là. Rejoignons le camp.
Il se dirigea vers le regroupement de naufragé à pas lents.
- J'espère qu'ils vont bien...
Lança-t-il tout en marchant.


Sangolapinoz

- Oui, moi aussi j'espère qu'il vont bien.
En fait, je me demandait plutôt comment ils avaient pus survivre en pleine nuit sur une île sauvage...


MA042

Matéo avait chercher des feuilles toutes la journée et étais partie trop à l'est, il avait chaud et à quelques centaines de mètres, il y avait un désert, il avait un gros sac de feuilles mais il a du sacrifier son t shirt pour les garder à l’abri
J... j'ai...j'ai chaud.
il a faim, il a chaud, il est perdu. Il préféra étaler les feuilles par terre et dormir en mettant d'autres feuilles sur lui et le reste de son t shirt avec pour son camoufler .


Drinks

La nuit avait été courte pour Lifaen. Il avait envoyé Bart ramené les fruits au campement et son ami était resté dormir là bas. Lui avait longuement marché sur la plage en regardant la lune. La lune, celle qui l'inspirait, sa muse. Seul une femme surpassait son adoration pour la lune. Mais ce n'était sur cette île qu'il allait la retrouver. De toutes façons il n'était pas fait pour elle, il était un assassin et elle une noble. Lifaen ne pourrait lui apporté que du malheur.
Le jeune homme ne dormit que peu cette nuit là, il se confectionna un abris sommaire dans un arbre et s'y coucha. Son sommeil fut agité, il voyait dans ses rêves deux grands yeux dorés qui surgissaient de la forêt. Dans ses rêves, un gigantesque loup se jetait sur lui, ses yeux étaient aussi dorés. Ou encore, il se voyait marchant dans la forêt avec un petit animal blanc sur l'épaule. L'animal avait les yeux dorés...

Le matin venu, il s'assit sur un rocher qui sortait de l'eau, au bord de la mer et médita en attendant Bart qui n'allait pas tarder à le rejoindre...


Chipy

Sofia s'ennuiyait sur la plage et commencait à avoir vraiment faim. Elle s'enfonca dans la forêt à la recherche de quelque chosa à manger. Elle trouva un arbre recouvert de fruit rouge. Elle grimpa au sommet et goutat un fruit. hé! c'est pas mauvais! Elle resta dans l'arbre un très long moment à dévorer tous les fruits qu'elle pouvait. Elle entendit un cracement. Elle n'eu pas le temp de réagir, que la branche sur la qu'elle Sofia était assis céda.
sofia:Hiiiiiiiii!
Mais au lieu de tomber sur le sol et de se fracasser quelque os, elle tom ba intacte sur quelque chose de doux.
sofia:qu'est ce que...
miroki:N'est pas peur. je suis Miroki, ton serv'.
Miroki posa sofia au sol. Elle regarda avec surprise le grand tigre blanc ailée aux yeux dorée. Elle caressa l'imposante créature. Miroki ronronait, jusqu'à ce qu'un bruit le fasse sursauté.
Miroki:Nous ne somme plus en sécurité il faut partir, vite.
sofia: qu'est ce qu'il se passe? elle grimpe sur son dos.
Miroki: Les...Les petsoukôs...
Ils partirent en courant au campement.


Cronoseus

J'observe plus en détail le pommier géant. Les pommes sont bien rouges, mais elles dégagent un parfum doux, envoûtant qui m'attire vers le pommier. Arrivé au pied de l'arbre géant, je trébuche sur une des pommes. Dès que je l'ai touchés, la pomme s'est transformé. Je l'ai regardé hypnotisé et terrifié par cette métamorphose. De la pomme jaillit une main qui m'enserra la cheville, puis, petit à petit, elle prit forme humaine. Je pus distinguer alors son visage. Quelle n'est pas mon étonnement de voir mon père en face de moi justement la personne que je veux le plus revoir !-Viens mon fils. Rejoins les po.. rejoins-nous en haut du chêne.Je ne rêve pas. Il s'agit bien de mon père. Même s'il a un teinte rouge, c'est mon père. Il m'a demandé de le rejoindre en haut de cet arbre. Je vais faire ce qu'il m'a dit de faire. Je vois un chemin se former sur le pommier. Je vais le prendre. Je me sens bizarre comme-ci j'avais été drogué. Peu importe, une seule chose compte : monter en haut de l'arbre. Je vais poser le pied sur le chemin quant une pensée soudaine vient m'envahir, mon père est mort. Il ne peut s'agir que d'une hallucination. C'est trop tard. Je pose mon pied sur le chemin du pommier et la sensation de bien-être laisse place une sensation de vertige. Je reprends mes esprits et vois l'eau se rapprocher de moi à toute vitesse. Je vais mourir. Je ne sais pas ce qui s'est passé ni pourquoi je suis en train de tomber à une vitesse vertigineuse dans l'eau du haut d'une falaise, mais je sais que mes jours, non, mes secondes sont comptées. Je vois alors défiler ma vie devant mes yeux. Je vois ma mère souriant au-dessus de moi et mon père en train de fumer un cigare dans le fauteuil. Je vois mon premier jour d'école. Le jour où tout le monde a fait copain-copain avec moi. Je vois aussi mon premier amour qui s'est soldé par une séparation douloureuse après un mois de bonheur. Je vois aussi la dernière fois que j'ai vu mon père juste avant le naufrage. Puis ce fut le noir. J'ai le temps de voir une ombre se dresser au-dessus de moi et m'emporter dans espace sombre et humide. Est-ce cela la mort ?


Godjulie

Quelques instants apres s'être endormie, Émilie se réveilla, il faisait très froid.
En se levant pour changer de position, elle vit que le lézard était toujours là. Mais, en le regardant de plus près, il ne ressemblait pas tellement à un lézard. Il avait partout sur son dos des piques. Il ne devait pas avoir trop de mal pour se fondre dans le paysage puisqu'il était de la couleur du sable et de très petite taille. Émilie le pris dans sa main, elle n'avait pas peur de lui, elle en était sûre elle ne craignait rien, ce n'était pas qu'il était inoffensif, mais il ne lui ferait pas de mal. Au mieux il la protégerait.
Soudain, Émilie eu un frisson. Mon dieu qu'il faisait froid ! Le lézard, ou plutôt le "dragon", projeta de sa bouche un tout petit jet de flamme. Ce jet ne l'avait pas touché mais elle eu une idée.
Émilie se leva prit toutes les feuilles et brindilles qu'elle avait trouvé et les rassembla dans un creux de sa composition.
Maintenant Émilie se croyait folle, elle en était pourtant sûre, il suffirait qu'elle demande au dragon de faire du feu pour qu'il en fasse. Comme répondant à sa pensée, le lézard ouvrit la bouche et une voie traversa l'esprit de la jeune fille.
Le dragon : Il suffit que tu me demande de faire du feu et je te réchaufferai.
Émilie plus qu'étonnait ne s'entendit pas dire :
Émilie : C'est toi, dragon, qui parle ?
Sa voie se perdit dans la profondeur de la forêt mais le dragon hocha la tête.
Émilie : Si c'est vraiment toi... peux-tu faire du feu ?
Sur ce, le lézard la regarda, les yeux dans les yeux, ses yeux étaient dorés, il détourna la tête et comme l'eau du fontaine, des flammes sortirent de la bouche de l'animal, mais pouvait-elle l'appelait "animal".
Encore une fois comme répondant à ces pensées, une voie retendit encore.
Le dragon : Non, effectivement ne m'appelle pas "animal" puisque je porte un nom, Mélo.
Émilie : Mais... Mais comment est-ce possible ? Est-ce que je perd la tête ?? Mais non ce n'est pas possible, je la sent, la chaleur du feu. Et toi ? Qui es tu vraiment ?
Mélo : Je suis ton serv', je suis lié à toi depuis ta naissance. J'entends toutes tes pensées et tu entend les miennes, je ressens tout ce que tu ressens. Je suis unique, et je suis tient.
Émilie se demanda comment cela pouvait-être possible mais après tout Lifaen venait bien du Moyen-Âge...


Poitou

Hélène hurla pendant sa chute. Les bourrasques glaciales qui creusaient l'océan s'engouffrèrent dans sa gorge et cinglèrent ses poumons. Elles s'insinuèrent sous sa robe de soie blanche, mordirent sa peau, son intimité, tout ce qui passait à porté de leurs invisibles crocs. Avant que l'eau ne la happe, tout le vent des cieux passa sur elle pour la gouter. Tout le vent du monde passa dans ses poumons en les brulants. Tout le vent enveloppa son corps, avant de la lâcher dans les vagues grondantes. Le sel remplaça les bourrasque, et il se jeta sur ses bras ensanglantés. Il creusa dans la plaie, chercha la douleur enfouit, puis la remonta brutalement. Hélène ne pouvait plus hurler : L'eau aurait suivit le vent, elle aussi, jusque dans sa gorge, puis ses poumons, tout son être. Mais il ne fallait pas. La jeune femme n'en pouvait plus. Après les mains des hommes, après le vent, maintenant, c'était à l'eau de toucher son corps. Combien de choses encore profiteraient de sa chair ? Et plus si elles n'avaient pas honte... Comme les marins qui c'étaient enfouis en elle, l'avaient déchiré, retourné, souillé, puis jeté aux vagues sauvages qui ruaient contre la coque du navire. C'en était terminé de sa paix : Il n'en restait qu'un lambeau ensanglanté, un voile troué par la perfidie des hommes, qui l'avaient collé contre le pont humide, avant de la meurtrir jusqu'au fond d'elle même. Du sang coulait encore le long de ses jambes. Et maintenant, il se mêlait à l'océan. Les squales viendraient eux-aussi. Ils mettraient un terme définitif, brutal, à sa vie fuyante, elle qui courrait toujours au loin, et la mettait au défie de la rattraper en lui faisant des pieds de nez, moqueuse, avant de s'échapper toujours vers un horizon distendu, qui ne trouvait jamais de fin. Elle l'attendait, le temps que l'on puisse la voir, puis recommençait de courir. Toujours au crépuscule, pour que l'on voit sa silhouette se découper sur la lumière dorée du soleil. Pour que l'on voit son ombre, mais jamais son visage. Rien qu'une silhouette semblable à un morceau de ténèbres, qui prenait plaisir à la voir souffrir, et la poursuivre en vain. La dernière fois, Hélène l'observait depuis le quais. Ses yeux suivaient l'ombre qui montait dans le navire, sans lui accorder un regard, sans lui faire un sourire. Son cœur battait toujours plus fort contre sa poitrine, pour se faire entendre par-delà les cris de la foule. Il tambourinait, suppliait, réclamait une réponse, ne demandait qu'un seul coup d'œil par dessus le bastingage. Rien qu'un regard de sa part, un croisement de leurs pupilles. Il hurlait sa supplication. Sa prière toute en pulsations.
"Je suis ici ! Je t'attends ! Ne me vois-tu pas, qui joue l'orphéon pour un peu d'attention ? Ne me vois-tu pas qui me tend vers toi, qui tambourine contre la poitrine qui m'accueille ?! Les baisers n'étaient-ils que mensonges ? L'union de nos lèvres était donc une tromperie ? Jamais nous n'avons été amants ? Jamais tes yeux n'ont brillés d'amour ? N'étais-ce que des étoiles d'amusement, des étoiles fourbes qui scintillent comme le regard des démons ? Pas de lueurs d'amour ? Pas de soleils d'amour ? Aucune tendresse véritable, pendant ses heures de communion où nous sommes restés enlacés ? Rien qu'une cruelle illusion ? Tu ne m'as jamais aimé, toi qui m'abandonne sur ce quai ? Tu n'as jamais voulu de mon corps et de mon âme ? N'as-tu pas risqué ta vie pour notre amour ? N'étais-ce qu'un jeux, un nouveau défi ? N'avais-tu point de l'affection pour la femme que je suis ? Et notre enfance ? Tout nos souvenirs qui s'entremêlent ? Les balais-tu d'un revers ? N'avons-nous pas grandit ensemble ? Ne t'ais-je pas vu, toi mon aîné, toi mon aimé, devenir un tueur, un meurtrier ? Mais ne t'ais-je pas aimé malgré tout ? N'avons-nous pas été amants, malgré le sang qui a rougis tes mains ? Ne t'ai-je pas offert tout ce que j'avais ? Cela ne te suffisait pas ? Pourquoi as-tu besoin de plus ? Pourquoi te faut-il le reste du monde, l'océan et le ciel, pourquoi te faut-il ce navire et cette vie, pourquoi te faut-il du sang et des larmes, pourquoi mon amant, pourquoi mon amour, pourquoi me laisses-tu ici esseulée, pourquoi me prives-tu de tes bras et de ton souffle, pourquoi me prives-tu de toi... Pourquoi ? Ne peux-tu pas répondre ? Ne le veux-tu pas ? Ne me veux-tu pas, moi ? Tu le sais pourtant, que cela tu le peux. Tu le sais que je m'offrirais à toi. Tu le sais que nul autre ne m'aura. Crois-tu donc en mon amour ? Et en le tient ? Le sang dans lequel tes mains ont baignées, ce sang innocent, a t'il noyé ton âme ? N'es-tu plus qu'un esprit tâché de sang ? Ne peux-tu pas être un autre pour moi ? Tu le sais, que je ne te le demande pas. Tu le sais que personne ne me comblera, si ce n'est toi. Tu sais tout de moi. Tu sais ma vie et mes envies, tu sais mon désir, tu sais mes rêves, tu sais mes courbes et tout mon corps, tu sais le fond de mes yeux et de mes pensées, tu sais que la nuit je pense à toi. Que te faut-il savoir de plus ? Que te faut-il savoir du monde ? Que te faut-il savoir de la vie ? Ne te suffis-je pas comme tu me suffis ? Ne puis-je de mon être seulement, devenir ton monde, ton nouvel univers ? Le mien se résume à toi, tu le sais. Tu le sais, que je ne puis arrêter de penser à ton visage, à tes mains, à tes yeux qui m'envoûtent ; tu le sais que l'amour m'a ensorcelé, et que maintenant tu tiens mon cœur au creux de ta main. Ne le sens-tu pas, qui palpite dans ta paume ? Moi, je l'entend qui souffre dans ma poitrine. Il veut briser la cage de mes os, pour rejoindre le tient. Je sais que tu le sens... Rien qu'un regard mon amour. Un regard et je t'attendrais, même si je fanerais pendant ces longues années de ton voyage. Mais je me refuserais au mari que mon père veut m'imposer, et je me refuserais à la vie tant que tu ne seras pas revenu. Je ne veux respirer que pour toi : A quoi bon le faire pour les autres ? Mon souffle est le tient. Ma vie est la tienne.
Alors maintenant, comme tu le sais, tu sais que je t'aime, regarde moi, pitié, mon amour, regarde moi... Une seule fois..."
Le navire s'éloignait déjà dans le lointain. Hélène était restée muette, sonnée. Pas un regard. Rien. Seulement son dos. Son profil qui se découpait. Son visage de loin. Le marbre de son expression. Rien d'autre. Il était partie, et elle était seule, pitoyablement seule sur le quai, pitoyablement seule dans sa vie. Seule pour le reste de ses jours. Cela ne se pouvait pas... Et pourtant si. Mais la jeune femme refusait de s'y résoudre : Elle ne demandait pas le monde, pas l'océan, ni le vent des hautes mers. Elle le demandait juste lui. Ne pouvait-on pas lui accorder au moins cela ?
Hélène fit coulisser son regard, orbes de jades pailletées d'or que les prémices de larmes transcendaient, sur les navires qui mouillaient dans le port. Des marins aux bras solides chargeaient des caisses de marchandises sur les ponts, exécutants tous les mêmes gestes, ayant tous la même manière de sourire, la même manière de rire, les mêmes visages burinés... Et si il revenait lui aussi avec ces traits communs ? Avec ce rire, ces yeux, ces manières de marins ? Et si l'océan lui volait son identité, à lui aussi ? Non ! Il ne fallait pas ! Elle ne le permettrait pas. Son cœur, qui avait un instant perdu sa folle cadence, reprit son rythme effréné. Elle ne le laisserait pas seule. Il s'en était allé ? Elle le suivrait. Il suffisait de choisir un navire. Il suffisait de quelques jours cachée dans une cale, et quelques jours encore, pour une escale, et elle le retrouverait... Quelques jours pour le rejoindre et l'aimer de nouveau.
Ce n'était pas tant. Seulement quelques jours...
Oui. Mais pas pour le rejoindre. On l'avait découverte dans la cale. Et les marins, avec leur rire semblable, leurs visages semblables... Ils l'avaient souillé, et pendant ce temps, encore une fois, ils étaient tous les même. Ils n'avaient pas de visages. Pas d'identité. Tous des sensations. Tous de la douleur qui la déchirait, des lames de feu qui plongeaient dans son âme et la brulait... Rien d'autre.
Si. Autre chose. Du fer qui mordait ses bras, coupait sa peau, brulait son corps en plus de son esprit. L'incendie était à la fois physique et psychique. Double et ravageur. L'enfer ne l'aurait pas mieux embrasé que ces hommes brutales, ces bêtes déguisées qui l'écrasaient contre le pont, pour mieux assouvir leur plaisir mauvais. Y'avait-il crime plus abjecte, que celui de briser un être ? De l'amputer d'une partie de son âme, pour mieux l'observer souffrir ensuite ? Et pourtant, ces hommes grognaient d'aise en la déchirant. Ils en ressentait en plaisir d'une méprisable force. Ils la dominaient, et cela les excitaient. Même le capitaine avait participé, avant d'ordonner qu'on ne la jette dans l'océan. Et il avait rit, lâchant d'une voix encore vibrante : "Qu'on l'envoie aux requins ! Une femme n'a rien à faire sur un navire ! Notre bon vieux Neptune va aussi profiter de cette donzelle !"
Et maintenant ? Elle coulait. Ses paupières retombèrent, alors que l'océan refermait ses ténèbres glacées sur elle. Hélène entrouvrit les lèvres, laissant se bousculer les bulles hâtives hors d'elle, l'air précieux qui la gardait en vie. Qu'il s'échappe au moins, lui. Qu'il regagne la surface. Ce serait sa dernière goulée ; et tans-pis pour l'eau qui cascadait dans sa gorge.
L'inconscience s'empara de son esprit, puis ce fut tout, alors que son corps coulait vers les abysses, dans la lumière que le soir emportait avec lui. Sous la radiance onirique lune, son corps disparut dans la noirceur des fonds marins.


Cronoseus

Il fait sombre, lugubre. Tout est désynchronisé. Le noir et le blanc se mélangent en une nuance imparfaite de gris dans ce monde sans couleurs, sans joie. Est-ce la mort ? Devant moi, une forme indéfinie, sombre et éclatante se forme. Deux yeux blanc et noir transparaissent dans cet amas gris. Je ne connais plus mon nom. Je me sens flotter dans l'air. Les yeux m'examinent, une lueur menaçante dans leurs regards. Je soutiens ce regard et tiens bon. Je m'imagine des couleurs de l'amour dans ce monde où tout n'est que terne, hostile et sombre. La silhouette se déplace autour de moi, légère, imperturbable tel un requin allant fondre sur sa proie. Soudain, trois mots vinrent déchirer le silence terrifiant régnants en ces lieux.
-Qui es-tu ?
Ces mots simples dis calmement furent à mes oreilles si bruyant, je crus que je n'entendrais plus jamais rien. Qui suis-je ? Une question bien futile à mes yeux. La vraie question ne devrait-elle pas être Que veux-je ? Ou Que viens-je faire en ces lieux ? Je ne connaissais pas les réponses à ces questions. Je n'avais comme souvenir qu'un grand vide. Je ne sais comment, mais je répondis lentement.
-Je suis ce que j'étais. Et je serais ce que je suis.
Une réponse juste qui avait dû satisfaire la voix. Une légère teinte jaune apparut dans le blanc comme si la créature vivant en ces lieux avait été satisfaite par ma réponse. Le jaune aussi faible fut-il ne passa pas inaperçu à mes yeux revêtant une importance, une victoire contre l'être de ce monde sans couleurs.
-Connais-tu le sens de ... la vie ?
La vie ? Ce mot avait une sonorité particulière laissant passer en moi un mélange de saveur, d'émotion. Alors, un souvenir revint à moi, un souvenir qui a beaucoup d'importance : le jour de ma naissance. Ma mère criait à plein poumon et mon père voulant l'aider lors de l'accouchement lui susurrait des mots calmes à l'oreille. Alors, je suis sorti du ventre de ma mère et mon souvenir s'arrêta là.
-La vie est un ensemble d'émotions mis l'un à la suite de l'autre. La vie est belle, mais aussi horrible. De nombreuses choses y méritent d'être vécu pourtant le malheur côtoie le bonheur dans un monde imparfait. Mais qu'est-ce que l'imperfection et la perfection ? La perfection n'est-elle pas pour tout être un idylle impossible à atteindre. Les sentiments et les émotions aussi sont imparfaites. L'amour n'est elle pas aussi synonyme de folie et la folie elle-même synonyme d'absurdité. L'absurdité est liée à l'imbécilité et l'imbécilité de stupidité. La stupidité ne permettait elle pas d'accéder à l'amour, car l'amour ne serait-elle pas l'union de deux êtres stupide ?
Je fus surpris par ce que je venais de dire. Était ce bien mes propos ou ceux d'une entité m'ayant pris sous son contrôle. La créature dit alors :
-Veux-tu vivre ?
Cette question me perturba. Était-ce vraiment ce que je voulais. Vivre et souffrir par la même occasion. Je répondis alors la réponse que tout être ayant vécu disent :
-Oui
-Alors, va ?
Je me réveille dans une grotte, un monstre penché au-dessus de moi. Je sus déjà ce qu'il était :
-Tu est mon serv'.
Je me rendormis épuisé par les efforts que j'avais faits pour rester en vie.


MA042


Matéo se réveilla totalement épuisé, il avait mal dormis, il reprit son chemin après avoir manger un fruit qu'il a à moitié recraché il continua sa route et pris beaucoup de feuille, il décida ensuite de repartir vers l'est.

Quand je repense à cette histoire d'arme... la quel me conviendrais quand on aura trouvé le bateau du fanât des costumes ?
Une épée ?
Un sabre ?
Une lance peut-être
Ou une arme à feu aussi.
Ou totalement un arc ou une arbalète.
Bon, c'est pas le moment de ...

TOIIIIIIIIIING

Une dague venait d'être propulser de nul part et arriva sur un arbre à coté de Matéo, qui hurla de panique .
Aaaaah ! On veut ma peau !
Il commença à courir quand il fut soudain immobilisé, il ne contrôlait plus ces mouvements.
...
Peux-tu enfin m'entendre ? AAAAAAAAH !N'ai pas peur, je suis Fantomaruh.Fantomaruh ? Je suis ton servMon...mon serv ? Matéo fit demi tour et alla vers la dague . Qui a lancé sa ? Personne. Je suis a l'intérieur de la dague, je suis son esprit, je suis fantomaruh, ton serv. Si j'ai compris tu es mon ''serv'' qui est DANS la dague ? Oui, et depuis longtemps je t'appelle , mais tu ne m'as jamais entendu. Ramasse moi. Matéo ramassa la dague .
Maintenant, souhaite que je sois un sabre . Matéo ferma les yeux, se concentra et le sabre s' agrandis , Matéo ré ouvrit les yeux. Qu'est ce qu'il c'est pa... Tu m'as transphormé, je peux etre en dague ou comme cela, tu vas avoir besoin de moi. Range moi et retourne au campement. Ou...oui ! Il rangea la dague dans sa poche et continua son chemin en discutant célébralement avec son serv


Drinks

Une journée creuse pour Lifaen, Bart l'avait suivi à la trace et ils s'étaient contenté de cueillir des fruits et d'aménager un peu le camp. L'assassin refusait toujours de dormir avec les autres naufragés même si son arbre était bien inconfortable. La journée passa avec monotonie, les naufragés ne sachant que faire pour survivre.
Lifaen étant le plus calé dans ce domaine, il passa toute la mâtiné à donner des indications pour qu'ils puissent bien s'organiser.
Un souffle étrange malmenait les arbres et les naufragés partis en excursion n'étaient toujours pas revenus, Lifaen se faisait du souci pour eux.


Chipy

miroki courait à toute allure. Sofia fesait de son mieux pour s'agrriper à lui. Des bruits menaçant derrière eux se fesaient de plus en plus menaçant. miroki fit un dernier bond en arrivant devant la plage. Le problème, c'est qu'il n'avait pas vu qu'il tombait droit sur une personne sur la plage, Lifaen.
boom!
Miroki aida Sofia à se relever, puis regarda la forêt en grognant. Ils arrivaient...
sofia, en tendant la main à Lifaen pour qu'il se relève:Je... Je suis désolée...
Elle ne remarqua pas sur le coup que Lifaen était habillé style, Moyen-Age. Miroki grognait de plus en plus, et des bruits étranges venant de la forêt se fesaient entendre.


Poitou

La lumière brulante de l'astre du jour écarta les ténèbres de ses paupières d'un coup de griffe éthéré. Hélène ouvrit les yeux.
Le ciel bleu attaqua ses prunelles encore pleines d'ombres, de son incroyable pureté. La jeune femme rabattit ses paupières, pour échapper aux rayons ardents du soleil et aux cieux dans lesquels il brulait. Ses pensées tournaient en une valse lente, au milieu de son esprit cotonneux qui souffrait d'une pulsation poignante au niveau de son front. Contre son dos humide, elle sentait une pierre irrégulière mordre sa chair. Autour d'elle, un bruit serein portait un peu de paix jusque dans son âme retournée. Le bruit des vagues et de l'écume qui meurt. Un vent iodé soufflait au dessus d'elle, fraie et vivifiant. La jeune femme combattit la douleur, et ouvrit de nouveaux les yeux. Ses cils papillotèrent pendant quelques cruelles secondes, le temps que son regard s'habitue à la lumière ambiante. Quand ce fut le cas, Hélène garda les yeux plissés, pour observer son nouvel horizon.
Devant elle, s'étendait une étendue d'eau d'un bleu céruléen qui défiait celui du ciel. Quelques douces vagues y roulaient mollement, jusqu'à une plage d'un sable fin et doré. Derrière cette plage toute d'or et d'ocre, s'élevait une forêt dont l'épaisse canopée relevait du feuillage tropicale. De son sous-bois, coulaient plusieurs bras d'une rivière à l'eau claire. Ils formaient de nombreuses petites îles de terre molles, et découpaient en plusieurs morceaux.
Hélène resta assise, à observer ce qui semblait être une île, à laquelle la providence l'avait menée. Mais... Qu'étais donc ces bruits qui troublaient la sérénité du paysage ? La jeune femme y sentait le danger, caché derrière les sonorités dérangeantes...
Hélène descendit de la pierre plate sur laquelle un miracle l'avait posé, et s'enfonça dans l'eau chaude. Elle n'avait aucune idée de la manière dont son corps était remonté depuis les abysses, mais cela lui importait peu pour le moment. Elle voulait seulement savourée les sensations grisantes que la vie lui offrait, en cet instant de paix presque parfaite.
La jeune femme avança jusqu'à la plage.


Drinks

Lifaen fut surpris lorsqu'il fut projeté à terre par un choc inconnu. Heureusement, il n'eut pas le reflex de sortir ses armes et il s'en félicita lorsqu'il vit que c'était une jeune fille absolument pas menaçante qui l'avait renversé.
- Ce n'est rien.
Assura-t-il en souriant pendant qu'il se relevait seul. Il regarda avec étonnement et intérêt Miroki mais le jeune homme décida qu'il était impolie de questionner la naufragée sur ce sujet. L'assassin jeta donc son dévolu sur d'autres questions.
- Bonjour. Tu es aussi une naufragée du groupe là bas? Que se passe-t-il dans la forêt?


Chipy

sofia: Je... Je ne sais pas. Miroki, ou plutôt le tigre que tu vois là, n'arrête pas de me dire que des "petsoukôs" sont à notre poursuite... Et je ne vois pas du tout de quoi il parle...
A ce moment là, un éspèce de dinosaure sortit de la forêt. Il Rugit et fonça vers eux. Miroki bondit sur lui. Miroki griffait et mordait la bête. A un moment celui-çi mordit la patte de Miroki.
sofia: Aïe! son bras saignait. La voix de Miroki retentit dans sa tête.
Miroki: J'ai... j'ai du me trompé, ce n'est pas un Petsoukô... Et j'aurai du te prévenir avant que nous resentons les même douleurs entre serv' et maître.


Chipy

La bête s'échappa dans la forêt. Miroki revint près de Sofia. Son bras saignait beaucoup, tout comme la patte de Miroki. Sofia regarda longement Miroki comme si elle lui parlait , puis il partit vers la mer. Bientôt il revint avec quelque algues. Elle les enroula autour de son bras et autour de la patte de Miroki. Puis elle se rapella que Lifaen était là.
J'ai oubliée de me présentée... Je suis Sofia. Et lui c'est Miroki. Celui-ci grogna et s'assit. Il n'est pas méchant, il a juste un mauvais caractère.^^


Xahdeln

ake se réveilla enfin. Il se leva lentement, la tête légèrement douloureuse. Il regarda autour de lui et vit quelques traces dans le sable. Il n'était pas le seul à avoir réchappé à la Faucheuse.
Néanmoins, cette vie en communauté ne l'enchantait guère. Il décida de suivre les traces de pas et aperçut une cabane de bois.
Il s'approcha et vit que la cabane avait attiré beaucoup de monde. Quand il examina enfin le contenu de celle-ci, il vit qu'elle contenait quelques armes encore. Il prit la moins encombrante: un couteau avec un pommeau marron ainsi que son fourreau. Ce dernier fut attaché sur le côté et le couteau s'y glissa rapidement.
Il observa ensuite la forêt qui lui faisait face. Il l'a contempla et réfléchit s'il devait y pénétrer. Il se dit que cela devait être le seul endroit où il ne serait pas déranger par les autres survivants.
Pendant ce temps, Séphira volait tranquillement dans la forêt. Elle était assez heureuse pour le moment et riait. Voler était un jeu pour elle.
Elle se posa sur un arbre pour se reposer un petit moment. Elle faillit s'assoupir. Ce qui la retint, c'est d'avoir ressentit la présence de Jake. Elle se leva et vola jusqu'au bord de la forêt. Elle le vit et reconnut immédiatement que c'était Lui. Son regard, pourtant froid, s'était illuminé de couleur doré. Elle pensa:
_ "Il est enfin arrivé! "


Drinks

Lifaen eut un sourire envers Sofia.
- Si tu as besoin d'aide pour ton bras, et pour la patte de miroki, je dois avoir des bandages dans mon sac.
Lifaen observa longuement le serv' de ses yeux glacés. L'animal avait des yeux dorés, les même que Lifaen avaient vu dans son rêve...
- Mais heu... Comment est-ce que tu as trouvé... heu... ce tigre ailé?
Lifaen ne comprenait pas vraiment, mais il essayait de ne rien laisser transparaitre. Sur cet île il y avait des lézards géants et des animaux ailés?
De plus, le jeune homme sentait que Miroki n'était pas un animal banal...


Chipy

Non, merci quand même, mais Miroki m'a dit que ses algues sont efficaces pour faire cicatrisé les blessures.
Et Miroki, je l'ai trouver dans la forêt, il m'a sauvé quand je suis tombée d'un arbre. Il dit être mon serv'. Je l'ai rencontré il y a seulement quelque heures, mais je ne sais pas pourquoi c'est comme si je l'avais toujours connu.
Miroki jetta un regard noir à Lifaen. Puis ce calma en piquant un somme.


Drinks

- Attend, tu veux dire qu'il te parle?!
Dit Lifaen d'un air effaré. Bien qu'il n'aurait pas dû être si étonner que ça vu les raisons pour lesquelles il était ici.
A la fin de la tirade de Sofia il prit un long moment pour réfléchir. Enfin, il put faire le tri dans ses pensées et dans toutes les questions qu'il avait à posé. Il eut aussi un petit sourire intérieur en remarquant que Sofia ne disait rien sur sa tenue, pas comme les autres.
- Et... c'est quoi un serv'?


MA042

Matéo arriva au campement essoufflé .
Il posa les feuilles sur un rocher, en prit quelques une pour se fabriquer un petit matelas, il se coucha et se reposa, il était tellement fatigué.
J’espère que sa s'arrangera à mon réveil.
Puis il fermât les yeux et d’endormit.


XAHDELN

Jake pénétra dans la forêt. Elle était plutôt dense et Jake ne savait pas ce qui l'attendait. Il regardait partout et était à l'affut du moindre bruit. Il prit le couteau dans sa main droite et avançait prudemment.
Séphira vola prudemment elle aussi. Elle sentait bien que Jake était quelqu'un de méfiant. Elle passa par inadvertance dans quelques feuilles.
Jake entendit les feuilles remuées et fixa le feuillage. Deux lueurs dorées se faisaient apercevoir. Jake lança son couteau qui se planta en dessous des pieds de Séphira. Elle souffla. Jake ne pouvait pas lâcher les deux lueurs qui continuait de le fixer. Les yeux dorées se baissèrent quelques instants.
Séphira retirait le couteau qui avait failli la tuer.
Jake était intrigué. Il ne savait pas quoi faire: s'en aller ou rester. Le temps qu'il y réfléchisse et le couteau tomba. Il s'approcha lentement et ramassa le couteau. Il leva la tête comme s'il s'attendait à voir quelque chose d’exceptionnelle. Il vit la petite Séphira. Il ferma les yeux et se retourna.
Séphira: "Attend!"
Jake se retourna. Il chercha d'où venait la voix. Il était un peu désorientée.
Séphira vint à lui en volant. Elle lui dit enfin ceci:
_ "Bonjour! Je crois que je suis ton serv'. Enchantée de faire ta connaissance!"
Jake croyait qu'il était en train de rêver. Ce petit être parlait et ne ressemblait à rien de ce qu'il avait déjà vu.
Jake, comme poussé à lui faire confiance, lui parla:
_ "Serv'? Qu'est-ce que c'est?"
_ "Eh bien, un serv' est un animal qui n'appartient qu'à une seule personne. Si tu voies ses yeux devenir dorés, c'est que c'est ton serv'. Tu es relié à lui par la pensée et est unique. C'est comme ça que j'ai su que j'étais le tien! Tes yeux sont devenus si beaux!"
Jake la crut. Il ne savait pas pourquoi mais il le devait. Puis, il laissa tomber ces mots froids:
_ "Jake. Et toi?"
_ "Séphira!"
Elle se posa sur l'épaule droite de Jake.
_ "Ça ne te dérange pas?"


Cronoseus

J'étais à nouveau en train de rêver. Dans mon rêve, des pommes mangeurs d'humains côtoyaient des hommes à têtes de crocodiles. Puis, deux yeux dorées clignèrent et la terre laissa place à la mer et les monstres à un humanoïde doté d'immenses ailes. La créature se déplaçait à l'aide des courants marins qu'il laissait glisser sur ses ailes qui maintenant me faisait plus penser à des voiles. Puis, la vision disparu et je me réveille en sursaut dans une grotte humide, un tas de poissons crus, de quoi faire un feu et un bol d'eau claire posés à côté de moi. J'essaie de reprendre mes esprits et de me souvenir de comment je suis arrivé là, mais sans succès. Je me résigne donc à faire un feu comme mon père me l'avait appris. J'avais à ma disposition une pierre, un morceau de fer, une sorte de mousse laineuse, des brindilles, du petit bois et des bûches. Il ne m'en fallait pas plus. Alors que je commençais a frotter par petit coup sec la pierre et le fer au-dessus de la mousse, je me demandais qui avait déposé à côté de moi tout ce dont j'avais besoin et comment il connaissait la meilleur technique pour faire du feu. Tandis que je me posais ces questions, j'ai réussi à enflammer la mousse. Je souffle calmement dessus et rajoute quelques brindilles, puis des branches et finalement une bûche. Je prends un des poissons le pose sur une pierre plate et mets la pierre plate sur le feu. Pendant la cuisson, je bois et alimente le feu. Lorsque le premier poisson est prêt, je le mange et reprend un peu de ma tenacité. Une question commence à m'obséder: Que faire maintenant que j'ai repris des forces?


Godjulie

Émilie c'était rendormit sans problème près de son feu, et rassurée par Mélo.
Au levé du soleil, Émilie se réveilla. Elle avait faim. Elle se dirigea vers le piège qu'elle avait fabriquée la veille. Elle avait réussie ! Du gibier ! Un petit lapin inoffensif ! Un festin s'annonçait !
Elle observa longuement son nouvel ami pendant son repas, pas un mot, ou plutôt une pensée avait été partagée. Ils n'étaient pas bavards. Mais leur lien était présent et Émilie ne le regretter pas, elle l'aimait vraiment.
Mélo : Émilie ?
Émilie : Oui ?
Mélo : Au bout de ces traces, que tu suivaient, il y a un homme avec lui aussi un serv', il s'appelle Keis. C'est un perroquet. Je le connait, si tu veux y allé, il n'y a qu'une heure de marche.
Émilie : Oui, je pense que je vais y allé on pourra rentré ensemble au campement.
Emilie et Mélo partirent sur le champs.
Sur le chemin, ils entreprirent de trouver des fruits, pour les apporter à l'homme et son serv'. Ils étaient peut-être affamés ??


Poitou

Hélène marchait dans la forêt, observant les troncs qui l'entouraient avec fascination. Ils dépassaient tout ce qu'elle avait connu jusqu'à présent, autant en taille qu'en largeur. L'écorce épaisse était parcourue de plantes grimpantes, et des fleurs éclatantes au pétales gigantesques déployaient leurs corolles dans le sous bois, autant aux pieds des arbres, que près des berges de la rivière. Celle-ci désormais unique, donnait naissance aux autres bras que la jeune noble avait pus remarquer sur la plage. Sur ses rives poussaient une multitude de plantes exotiques aux couleurs vives et à l'odeur enivrante. Hélène fut ravie de s'être échouée en un endroit si charmant. Malgré la chaleur étouffante et la multitude d'insectes qui voletaient autour d'elle, la beauté de la jungle restait époustouflante. De plus, la jeune femme avait repérée une multitude de fruits aux formes étrange, qui lui paraissaient tous bien appétissants, autant par leurs senteurs que par leurs grande variété de couleur. Jamais il ne lui avait été donné de voir autant de végétaux différents, ni de sentir tant d'arômes enivrants. Même le marché aux épices de sa cité portuaire ne dégageait de pareilles effluves.
Tout en ces lieux l'apaisait. La grande forêt comblait à la fois sa vue, son odorat, et mettait du baume à son cœur fendu par l'horreur. Car malgré les dernières heures, sereines et plaisantes, les souvenirs du navire ne l'avaient pas quittés. Ils tournaient toujours à la lisière de sa conscience, pensées susurrées à son esprit, jamais dominantes, mais toujours présentes. On ne pouvait oublier un traitement tel que le sien. Son âme en était changée à jamais. De plus, même si l'île rivalisait de beauté avec les paysages de son passé, elle ne comptait pas y finir ses jours. Car après tout, n'était elle pas ici pour avoir nourrit l'espoir de retrouver son amour perdu ? Au fond d'elle même, cet espoir ne l'avait pas quitté. Hélène ne pouvait s'imaginer vivre sans cet homme. Arrêter d'espérer se serait apparenté à se laisser mourir.
La jeune femme s'arrêta à un croisement du fleuve. Ici, il se divisait en deux bras, l'un vers le nord, l'autre vers le sud. Hélène hésita. Quelle direction prendre ? Elle ne voulait pas dévier des rives, au risque de se perdre dans la jungle profonde. Car malgré la vision mirifique que lui offrait la sylve, elle n'en restait pas moins dangereuse. C'était un territoire inconnue et sauvage, dont le sol n'avait jamais été foulé par l'homme, d'après son aspect inculte. Et qu'en était il de la faune ? Hélène n'avait pour le moment rencontrer que de simples insectes, mais d'autres créatures devaient résider en ces lieux. Pour ce qui était de les croiser, la jeune femme n'en ressentait aucune envie, mais au contraire, une certaine peur.
En question de bêtes sauvages, les marins qui l'avaient jetés à l'océan lui suffisaient amplement. Pour rien au monde, elle ne voulait en croiser d'autres.
Hélène frissonna à cette pensée. Elle préférait encore les animaux aux hommes, désormais. Au moins ceux-ci la tueraient, plutôt que de la laisser souffrir.


Xahdeln

Jake fit un signe de tête en direction de son épaule. Séphira sourit et se posa sur l'épaule de Jake. Mais quelque chose la dérangeait: elle le sentait, elle et Jake étaient vraiment différents. Jake sortit de la forêt, car il l'a trouvait un peu trop inquiétante.
Il se retrouva de nouveau à la plage. Jake s'assit, mis ses bras en arrière sur lesquels il s'appuya et contempla la mer.
De là, il méditait. Le silence était pesant et Séphira ne savait pas quoi dire. Quand elle trouva enfin, elle utilisa son don de télépathie pour lui parler:
_ "À quoi penses-tu?"
Il tourna la tête et la regarda. Elle lui sourit. Il soupira et revint à sa position de départ.
_ "À mon avenir..." Répondit Jake.
Il l'a regarda encore une fois et devant son visage d'incompréhension, il continua:
_ "Si je termine ma vie ici ou si je m'en vais...
_ "Mais... Tu ne m'abandonnerais pas, si?"
Jake fit abstraction de sa télépathie. Sa serv' était exceptionnelle, il en était persuadé.
_ "Si je m'en vais, je le devrais...
_ Mais pourquoi!?", cria-t-elle d'effroi.
Jake ne répondit pas. Il se replongea dans ses pensées: s'il retournait dans le monde civilisé avec Séphira, elle se ferait capturer rapidement. Il ne voulait pas la quitter mais il voulait revenir chez lui. Cruel dilemme qui lui était posé.


Chipy

Sofia réfléchit un moment et dit:
Et bien, il me parle par la pensée... Il ma dit que les serv' sont des animaux qui depuis leur naissance sont chacun connecté à la pensée d'un humain. Mais c'est seulement depuis que l'on ai sur cette île qu'ils peuvent nous parler. Il a aussi ajouté que d'autre naufragés en auront. si tu as de la chance, peut être toi aussi.^^


Sangolapinoz

J'étais encore aux abords de la forêt à ramasser du bois lorsque j'entends une voie étrange, plutôt grave.
- Viens vers moi...
Je regarda autour de moi, et ne vis personne. Je continua donc à ramasser un peu de bois.
- Viens vers moi...
La voie venait de la forêt. Je savais qu'il ne fallait pas s'éloigner, mais ma curiosité l'emporta.
- Viens vers moi...
- C'est bon, j'arrive, tu peux bien attendre 2 secondes !
J'avançais petit à petit quand un énorme koala surgit de nul part !


Xahdeln

Séphira n'eut finalement aucune réponse. Elle s'inquiétait beaucoup: pourquoi Jake était-il comme ça? Où étaient passés la joie et le sourire?
Le jeune homme () fini de méditer, son choix était fait et pourtant, ce n'était peut-être pas la meilleure option. Rester était probablement le mieux pour lui et pour elle.
Séphira le regardait avec de grands yeux. Même s'il elle était son serv', elle n'arrivait pas à entrevoir une seule pensée de Jake. Séphira ouvrit la bouche pour parler, mais le jeune homme fut le plus rapide:
_ "Tu as faim, c'est ça?"
Séphira allait justement le dire qu'elle avait envie de manger quelque chose. Elle ne comprit pas: comment avait-il fait pour savoir ce qu'elle voulait alors qu'elle même n'y arrivait pas.
Cela semblait être un mystère totale.
_ On est relié... Tu me l'as dit...
Séphira acquiesça. Cependant, elle cherchait à trouver la réponse à cette question: serait-elle une mauvaise serv' au point de ne pas comprendre Jake? Elle était torturée par cela, et le visage froid du jeune adulte n'arrangeait rien.
_ "Je... je vais aller chercher quelques fruits." dit timidement Séphira.
La bonne humeur qu'elle avait avant de le connaitre s'était évanouie. Elle s'envola sans rien dire et alla dans la forêt.
Jake éprouvait du remord, il communiquait à son amie sa mélancolie. Il ferma les yeux et laissa tomber une unique larme. De sa joue, elle coulait lentement. Il soupira.
Séphira, elle, ne prenait pas plaisir, cette fois-ci, de voler. Elle cueillit les fruits qu'elle mangeait en temps normal. Elle en prit autant qu'elle le put, ce qui revenait à quatre fruits.
Ses fruits oranges avaient une odeur de pomme et de banane caramélisées, cependant, ils ressemblaient à une poire.
Séphira prit un fruit dans chaque main et prit les deux autres dans sa bouche en les tenant par la queue.
Elle retrouva Jake, au même endroit où elle l'avait laisser dans la même position.
Ce dernier, en entendant les battements d'ailes de sa serv', se leva, enleva le sable de son pantalon et se tourna vers elle. Il s'approcha et lui tendit les bras pour qu'elle se pose le plus vite possible et se repose après un tel effort.
Séphira se laissa prendre, heureuse d'avoir fini son périple.
Jake, pour le moins surprenant, eut l'esquisse d'un sourire qui s'effaça rapidement.
Ce faible sourire fit chaud au coeur de la petite Ozelle. Elle discerna, mystérieusement, une seule pensée de Jake. Un seul mot ô combien réconfortant:
_ "Merci."
Pantouffe
Pantouffe
Messages : 833
Date d'inscription : 27/08/2018
Age : 28

- Hélène - Empty Re: - Hélène -

Jeu 23 Mai 2019 - 15:32
Poitou

Ses cheveux étaient secs et emmêlés. Une nuit avait suffit : Hélène se sentait déjà un peu plus sauvage qu'à son arrivée sur l'île. Son adaptation phénoménale à cet environnement l'avait elle même étonné. Elle médita sur ce brutale changement, avant de continuer son chemin. La réponse ne tarda pas à venir, lui arrachant un sourire amuser : Elle avait toujours été farouche, féroce. C'était pour cela qu'il l'avait remarqué. Elle, jeune noble qui raillait et méprisait ceux de son rang, s'en allant courir en ville, dans les ruelles étriquées, et se glissant dans la foule du marché pour en sentir les arômes puissants, ces odeurs qui transportaient son imagination jusqu'aux contrées lointaines desquelles les marchands revenaient, les coques de leurs grands navires pleins de merveilles exotiques.
Elle tâchait ses robes, dansait avec les vagabonds, et riait en compagnie des mendiants. Hélène avait traînée ce jeune garçon timide qu'il était avec elle, dans ses nombreuses excursions hors du palais. Elle lui avait montré son monde ; son véritable univers, tout en ombres, en plaisanteries grivoises et en sauts dans les flaques. Bientôt, lui aussi y avait pris plaisir. Il n'avait pas tardé à mener lui même leur farandole interdite, l'emmenant toujours plus loin, toujours plus haut aux cimes des arbres, toujours plus profondément dans les champs et la ville. Leur danse était libre, pure, virevoltante comme le vent. C'était l'enfance insouciante qui les portait jusqu'au quais, pour observer l'océan, les navires gigantesques, et cet horizon lointain où allait se coucher les soleil ; là, aux antipodes, vers ces lieux où disait-on, les hommes marchaient la tête en bas. Hélène riait alors en y pensant, et déclarait avec innocence : "Moi, je suis sûre que c'est nous qui marchons à l'envers... C'est pour ça que les nobles de la cours sont si stupides : Le sang leur gonfle la tête, et gorge leurs pensées d'un tas d'inepties sans fondements ! Et nous, comme nous avons la tête dans les nuages, cela veux dire que nous marchons à l'endroit, non ?"
Tout deux souriaient. C'était cela la paix, avant... Avant que du sang ne noie leur candeur. Avant que la mort les sépare. Car depuis, il avait toujours été distant. Elle l'aimait, et était certaine que ce sentiment était réciproque. Elle le voyait, au début, dans ses yeux, cette flamme qui brillait, cette passion fiévreuse qui faisait s'unir leurs lèvres et courir leurs mains... Mais au fil du temps, elle s'était éteinte, et son regard s'était fait distant. Ses gestes aussi. Il l'évitait. Elle n'avait pu le rattraper avant qu'il ne s'en aille. Sottement, menée par son orgueil, Hélène l'avait laissé s'éloigner, blessée par son comportement. Mais cela n'avait rien arrangée. Il s'en était allé, sûrement persuadé qu'elle le méprisait désormais. Mais comme cela était faux ! Elle l'aimait. Toujours et à jamais. Cela ne changerait point.
Le temps qui passait attisait sa passion, tout en enserrant son cœur d'une souffrance sans nom. Ou du moins, d'un nom qu'elle ne voulait citer. Celui-ci, en aucun cas Hélène ne l'aurait mis en cause dans une quelconque douleur de son âme. Comment l'aurait-elle pu ? Ce n'était que son entêtement et sa fierté blessée qui l'avaient conduit vers cette issue, ce départ sans aux-revoir, sans adieux et sans baiser ; ce départ de larmes et de regrets.
Hèlene garda ses yeux secs. Elle ne voulait plus pleurer. Il n'était plus temps à une pareille futilité. Elle était forte et farouche. Ce ne serait pas de l'eau coulant sur ses joues qui la ramènerait vers lui !
La jeune femme secoua la tête, et choisit de continuer vers le Nord. Peut être trouverait-elle ainsi des montagnes, qui lui permettraient d'en savoir plus sur la géographie de l'île ?


Drinks

De plus en plus bizarre cette histoire. Encore Lifaen voulait bien croire à cette histoire de "saut temporel" mais des animaux qui parlent et qui sont reliés par l'esprit à certaines personnes?
Le jeune homme avait envi que tout ceci ne soit qu'un rêve et qu'il se réveille le lendemain avec une fabuleuse envie de rire.
Il pourrait chercher un nouveau contrat, voir Hélène et se plonger dans ses yeux couleur émeraude...
Mais l'esprit rationnel de L'assassin le rattrapa. Cela ne pouvait pas s'agir d'un rêve.
- Ah... d'accord.
Vite, faire quelque chose, s'isoler, chercher des survivants de son naufrages. Crier sa rage et sa souffrance d'être loin des siens... Il allait devenir fou si il ne se défoulait pas.
- Bon, écoute, je vais me balader.
Il dit ça sur un ton de sauvagerie retenue et se dépêcha de s'éloigner en longeant la rive.


Xahdeln

Séphira tendit un des quatre fruits à Jake. Cerdernier le rompit en deux et tendit lui une des deux moitié.
_ "Je n'ai pas très faim." lui dit-il avec le même ton froid.
Et, sur ces mots, il enleva son vêtement supérieur, le laissant maintenant en T-shirt. Il fit un noeud à chacune de ses manches et fit du mieux qu'il put pour nouer le plus gros trou. La taille de la bandoulière en était réduite, mais il pouvait la mettre sur son épaule grâce aux manches qu'il noua entre elle. Il y mit enfin les fruits et son couteau et rien ne semblait être tomber.
Il prit le temps de manger sa moitié de fruit, alors qu'une légère brise souffla, provenant la mer.
Cette brise agréable caressait les joues de Jake.
Mais la serv' ne s'en préoccupait pas, elle finit son morceau de fruit avant le jeune homme malgré ses petits bouchées.
_ "C'était bon? Demanda Séphira, les yeux animés de joie.
_ Oui..." répondit Jake sans laisser transparaitre la moindre émotion.
Il était préoccupé par un choix: dans quel milieu il allait vivre. Après tout, il ne connaissait rien de la région, de l'île., hormis la plage qui s'étendait au loin, la forêt dont il ne connaissait qu'un bout et l'étendue d'eau salée immense.
_ "Séphira, qu'est ce qu'il y a, ici?" Demanda-t-il.
Elle ne savait pas quoi répondre: elle vivait dans la forêt et en sortait rarement.
_ "Il y a une montagne par là-bas, je crois."Elle indiqua de sa petite main une direction un peu sur la droite de là où regardait Jake initialement. Elle refit face à son ami et reprit: "Mais il y a un désert je ne sais plus où où il ne faut pas aller!
_ Pourquoi? Demanda le jeune adulte sans expression.
_ Il y a de méchants humains à têtes mais je ne me souviens plus de leur nom..." répondit Séphira un peu attristée de ne pas savoir le nom de la menace.
Jake ne dit rien. Il préférait se taire. Le désert était donc bien trop dangereux, la montagne l'était aussi de par son ascension. De plus, il ne pouvait pas vivre éternellement sur la plage. La forêt pouvait être aussi dangereuse. Pourtant, la priorité était de trouvé un point d'eau douce, une rivière, ne serait-ce que pour survivre. Maintenant, il comptait sur la chance et décida de vivre dans la forêt, là, il aurait des chances de trouver à boire et construire un habitat, une cabane.
Toujours debout, il prit sa bandoulière et la mit sur son épaule gauche et fit un signe de tête à Séphira vers son épaule. Contente, elle se posa dessus sans poser de question.
_ "On rentre chez toi." Dit Jake sans changer de ton.
Les yeux de Séphira s'illuminèrent d'euphorie. Elle afficha un sourire des plus radieux.
_ "Youpi!"
Jake ne sourit pas, et pourtant, son regard exprimait, contrairement au froid habituel, un peu de joie.
Sans le savoir, la carapace solide et brute qu'il s'était forgé pendant deux ans s'effritait au contact de sa serv'. L'armure de tristesse, obscure et robuste commençait à rouiller noyer par la bonne humeur de Séphira.
Cette dernière capta une nouvelle pensée de Jake:
_ "Aube d'une vie."


Sangolapinoz

J'avançais petit à petit quand un énorme koala surgit de nul part !
- Aaaah ! Qu'est ce que c'est que ce truc !?
En réalité, je le savais très bien. J'avais déjà vu de nombreux koalas pendant mes vacances en Australie, mais jamais d'aussi gros.
La voie repris :
- Je suis ton serv'
- Hein ? c'est qui qui me parle ? et puis c'est quoi un serv' ?
- C'est moi, le "koalaé
- Quoi ?! Un koala qui parle !?
Déjà qu'un koala de 2m de hauteur, c'était un peu dur à avaler, mais en plus si il parle !
Je repris :
- En plus, ça peut pas être toi qui parle, tes lèvres bouges pas.
Je deviens taré moi. Je suis là, à parler avec un koala de 2 mètres.
- Je suis ton serv, je suis relié à toi par la pensée. Je t'attendais.
- Ah ok, donc si je résume, je suis en train de parler à un koala géant qui est relié par la pensée avec moi...
- Oui.
Je fini par m'y résoudre, en pensant qu'avoir un animal pareil pourrait être un bon atout pour la survie sur cette île.
- Viens, on retourne au campement.
Tout en récupérant le bois que j'avais préalablement ramassé, je me demandais quel accueil les autres allaient réserver à cet étrange animal.
- Certain de tes compagnons ont déjà leur serv' m'appris le koala. puis il ajouta je m'appel Phyly
- Francis ?
- Nan, Phyly...


Drinks

Lifaen marchait à grands pas vers là forêt, une expression de pure sauvagerie sur son visage. C'en était trop, il avait besoin de tuer ou il allait devenir fou. Il lui fallait quelqu'un à abattre et vite.
Il eut de la chance et tomba sur un homme de son ancien équipage en marchant au hasard dans la forêt. L'homme eut une expression de pur bonheur en le voyant, il courut vers lui et commença à parler à toute vitesse
- Ah Lifaen, je suis content de te voir! Je suis le dernier survivant. Tous les autres ont été dévorés par des cannibales à tête de croco...
Il ne put pas terminer sa phrase car Lifaen lui avait enfoncé son poing en plein visage, ce qui eut pour effet de l’assommer. Il se réveilla brusquement quelques minutes plus tard. L'homme était désormais attaché à un arbre et ne pouvait plus bouger.
Devant lui se tenait Lifaen, une expression démente sur le visage.
- Tuer...
Grogna-t-il. Le marin eut à peine le temps d'hurler de terreur que Lifaen lui fourra un morceau de tissu dans la bouche.
L'assassin se pencha doucement vers l'homme et sorti un de ses couteaux. Il commença par entailler légèrement les tibias de sa victime. Cette dernière gigotait sans cesse et essayait d'hurler à travers son bâillon mais Lifaen ne l'entendit pas et continua à doucement lacérer la chaire de ses jambes.
Lorsque l'assassin en eut assez il s'attaqua aux bras, répétant encore et toujours la même action lente et précise.
Le marin continuait de hurler sous son bâillon et il empêchait sérieusement Lifaen de profiter pleinement de la torture. Ce dernier se releva d'un mouvement brusque, il arracha le bout de tissu de la bouche de sa victime et avant qu'elle ne puisse réagir, il lui trancha la langue.
L'homme ne put hurler mais on vit dans ses yeux toute sa terreur et sa douleur.
Lifaen eut un sourire cruel et béat en regardant la langue qui était tombée par terre et qui dégoulinait de sang.
L'assassin voulait encore jouer avec l'homme et il décida d'un nouveau jeu très amusant. Le jeune homme détacha le marin. Ce dernier commença à courir mais Lifaen le rattrapa sans efforts. Il le plaqua contre un arbre et se colla à lui.
- Tu ne croyais pas m'échapper si facilement mon mignon?
Lui susurra-t-il doucement à l'oreille.
Le marin sembla vouloir dire quelque chose mais on avait l'impression qu'il s'étouffait avec son moignon de langue. Cela amusa grandement Lifaen qui le regarda faire de longues minutes. Finalement, l'assassin eut un nouveau sourire diabolique et tira un nouveau couteau. Celui là était plus fin et plus aiguisé. D'un geste vif l'assassin cloué sa victime à l'arbre en lui plantant l'arme dans la paume de la main.
Avec délectation il répéta la même action plusieurs fois jusqu'à avoir cloué à l'arbres les deux mains, les deux épaules et les deux chevilles.
Sa pauvre victime n'était pas morte grâce à un savant mélange qu'avait préparé Lifaen et qui le maintenait en vie juste ce qu'il fallait pour souffrir.
Le sourire de Lifaen s'accentuait, son regard était animé par la folie du meurtre. Le sang de sa victime coulait le long de son armure et de ses armes. L'assassin fit lentement passé sa langue sur ses lèvres et s'approcha du pauvre homme dont les yeux roulaient dans leurs orbites.
Ne pas le tuer... Faire durer le plaisir... Prendre tout son temps... Lifaen n'y voyait plus claire, sa vision était flou. Seul son désire de tuer était claire dans sa tête.
Lifaen coupa lentement une des oreilles de l'homme. Une fois cela fait il la mit dans sa bouche et commença à la sucer, aspirant délicatement le sang qui était encore dans l'oreille de l'homme. Il la jeta au loin après avoir fermé les yeux d'extase. Le sang était si bon...
Le marin saignait abondamment à cause de ses nombreuses blessures plus ou moins graves. Lifaen prit une autre de ses armes et commença à creuser des plaies plus profonde dans les avants bras. Après quoi il se pencha avec délicatesse et lapa à grand coup de langue le précieux liquide rouge qui s'en échappait. Lorsqu'il considéra être repu de sang il se remit droit et passa juste un dernier coup de langue langoureux sur un plaie plus profonde que les autres.
Le jeune homme prit alors deux grosses pierres par terre et cassa sans pitié les tibias du marin. Les os ressortaient de la peau et une véritable marre de sang s'était formée en dessous de l'homme qui n'allait pas tarder à mourir à cause de ses nombreuse hémorragies. Mais pour Lifaen la seule chose qui importait c'était son plaisir, peut importe que sa victime soit morte ou pas.
L'assassin entreprit d'arracher les ongles du marin à coup de dents, ce qui ne prit pas plus que quelques minutes. Il lécha goulûment les doigts ensanglantés de sa victime avant de reculer un peu pour savourer le goût du sang dans sa bouche.
Après avoir bu avec extase un bon moment il retourna à son souffre-douleur. Le jeune homme n'était plus que béatitude, il contemplait le marin de ses yeux bleus glacés avec une profonde vénération.
Cette fois Lifaen sorti une pince en fer de sa besace et broya sans pitié la virilité de sa victime. Une fois cela fait rapidement, Lifaen eut une nouvelle idée pour égayer son jeu. Il approcha avec délicatesse la pince de la bouche de l'homme et arracha une dent d'un coup sec. Un véritable flot de sang jaillit de la bouche du marin et Lifaen fut surpris de voir qu'il en avait encore autant. Son sourire béat s’agrandit encore, bien que cela parut impossible. Lifaen était au paradis, jamais il n'avait pu s'amuser autant!
Avec des gestes précautionneux le jeune homme arracha une à une les dents de l'homme qui était miraculeusement en vie.
L'assassin suça méticuleusement les dents du marin pour en enlever toutes traces de sang puis il les jeta par terre.
Sa victime était à bout, l'heure du grand final approchait.
Le jeune homme prit deux aiguilles qui ressemblaient à celles utilisées pour faire de la couture et sans aucune hésitation il creva les yeux de son jouet avec. Son regard dément devint encore plus effrayant et il retira et planta de nouveau les aiguilles une vingtaine de fois.
Il se lassa rapidement de cette activité qui n'était pas aussi jouissante que les autres. Il ne restait à Lifaen qu'une dernière chose à faire avant d'achever son ex-compagnon. Il sortit de nouvelles pinces, celles là écartaient mais ne serraient pas, de sa sacoche et sut directement comment il pourrait les utiliser.
Le jeune homme fou prit un de ses couteau et creusa une longue entaille dans chaque bras du marin. Ensuite, il y glissa les pinces et écarta d'un coup sec. L'os et les nerfs de sa victime furent mis à l'air libre. Lifaen répéta l'opération avec l'autre bras.
Il plongea sans hésiter les mains dans ces trous et arracha avec une force peu commune les deux os.
Lifaen crut qu'il allait s'évanouir tant son plaisir était intense. Il lécha et mordilla longuement les deux os avant de les abandonner eux aussi sur le sol.
Enfin le grand final arrivait. Prit de convulsion d'impatience, Lifaen bâcla totalement cette partie.
L'assassin se contenta de prendre son sabre et de découper avec une sauvagerie innée le thorax de sa victime qui mourut enfin. Il plongea un bras fébrile dans l'ouverture béante et y saisit le coeur encore palpitant de sa victime. Sans réfléchir, il le contempla avec la même expression béate qu'il avait eu durant tout son massacre avant de mordre un grand coup dedans. Il savoura longuement la saveur innée que lui procurait le coeur humain et finalement il resta là à contempler son oeuvre, son jouet, le coeur à demi-manger encore dans la main.


Xahdeln


Séphira était heureuse, elle retournait dans sa belle forêt.
Jake regardait maintenant d'un autre oeil celle-ci: elle lui avait parut inquiétante et dangereuse, mais maintenant, elle devait être accueillante et sûr pour lui. Les fruits qu'avaient trouvé sa serv' était un bon point pour voir cet amoncellement d'arbres différemment: comme un garde-manger. De plus, si des animaux vivaient ici, il devait y avoir de l'eau, plus ou moins bonne pour lui.
Cette forêt était signe de vie pour lui: l'aube de sa nouvelle vie.
Il ne pensait plus à s'en aller de cette île, de ce bout de terre perdu dans les flots.
Le jeune homme entendit comme un écoulement d'eau. Séphira l'entendait depuis plus longtemps, ses grandes oreilles y étant pour beaucoup.
_ "On va boire?" Demanda Séphira.
Jake ne répondit que par un hochement de tête vertical.
Séphira fut contente d'avoir pu trouver quelque chose qui ferait plaisir à son "maître".
Jake et sa serv' arrivèrent enfin à une clairière.
La beauté était partout: le brin d'herbe face à la douce bise dansait avec ses compères. Les fleurs dégageaient toutes un parfun des plus agréables. Les feuilles des arbres chantaient en rythme avec le vent. L'eau qui coulait, insipide, servaient d'abreuvoir pour beaucoup d'espèces ici.
Séphira s'envola et se posa près de la rivière, elle se mit à quatre pattes pour avoir un meilleur appui et porta ses lèvres dans l'eau ou elle commença à boire.
L'homme à la bandoulière la rejoignit. Il l'imita sans trop se poser de question. Il ferma les yeux et but.
La jeune Ozelle avaient fini de s'hydrater avant le jeune homme. Elle le regarda et en tira une joie: il faisait des efforts pour s'adapter au milieu de la forêt. À son milieu.
Mais cette paix devait bien se briser.
Quand Jake eut finit de boire, Séphira posa une question:
_ "Pourquoi es-tu triste?"
Jake ouvrit de grands yeux.
_ "Pourquoi?" rétorqua-t-il.
_ " Je n'entrevois tes pensées uniquement quand tu souris et que tu es vraiment heureux. Et j'aime pas te voir toujours aussi froid." Lui répondit-elle.
Jake ne l'avait jamais dit à qui que ce soit, pas même à un animal. Pourtant, Séphira avait quelque chose... Une connexion avec lui certes mais autre chose. Il ne pouvait pas mettre le doigt dessus. Mais il devait, pour le moment, lui répondre:
_ "Écoute, je n'ai pas toujours été comme ça... Deux ans... Deux ans que mes parents ont été tué."
_ "Tes... parents?" Répéta attristée par ce secret.
_ "Oui, et étant le seul sur les lieux du drame, ayant touché l'arme du crime et m'étant couvert du sang de mes parents, j'ai été arrêté. Des hommes, dans une grande pièce appelé tribunal, m'ont jugé coupable et m'ont envoyés dans une prison pour mineure."
_ "Prison? Qu'est ce que c'est?" Chercha à comprendre Séphira.
_ "C'est un lieu ou on enferme les criminels. J'y suis resté un an et demi, à subir humiliation par humiliation."
Le regard de Jake s'était assombrit. Il avait resserrer le poing. Séphira était envahi par la peur.
_ "Tout le monde me jugeait coupable et je n'ai jamais pu retrouver une existence tranquille. Ici, personne ne doit me connaitre. Mais je n'ai pas envie d'être connu. Mes parents... Qu'est ce qu'il me manque..."
Il ne pouvait pas tout retenir en lui et une larme perla. Séphira se mit sur son épaule et recueillit celle-ci avec un de ses doigts.
Le jeune homme tourna la tête et vit que Sa serv' lui fit un sourire triste.
Jake décida d'ouvrir totalement son coeur à sa serv', personne n'avait réussi à le faire. Jake décida de lui rendre son sourire.
Séphira laissa dissiper son sourire et fit place à l'étonnement. Son ami n'avait jamais vraiment sourit.
_ Je t'ouvre mon coeur...
Voilà la pensée captée par Séphira. Elle était heureuse, mais se disait qu'il ne ferait pas confiance à un humain de sitôt.

Séphira n'en revenait pas un coeur qui venait de s'ouvrir grâce à elle. La joie l'envahissait totalement.
Jake n'avait pas agi intentionnellement, s'ouvrir aux autres, sourire, c'étaient des mots qu'il avait oublié mais il ne voulait pas, en aucun cas, se mêler aux autres humains. Il regardait autour de lui et profita , pour la première fois depuis son arrivée, de la chance qu'il avait: il était encore en vie.
La vie, considérée par beaucoup comme le bien le plus précieux, il l'avait encore.
Mieux, il avait trouvé une véritable amie gentille et qu'il croit connaitre depuis toujours.
Séphira n'eut, malheureusement, pas l'occasion de profiter de son exploit: elle redressa ses oreilles et entendit un bruit qui lui était familier. Elle poussa un cri d'effroi0et plongea dans la sacoche de fortune du jeune homme.
_ "Qu'est ce qu'il y a?" s'affola Jake.
Séphira sortit la tête et indiqua une direction vers la gauche de son ami.
_ "Un groshgal!" Cria-t-elle de peur.
Il ne savait pasce que c'était, mais si sa serv' se cachait aussi rapidement, c'était probablement un prédateur naturel de Séphira.
_ "D'ailleurs... , demanda Jake de quel espèce es-tu?
_ Je suis une Ozelle! , répondit-elle en paniquant, Et les Groshgals mangent les Ozelles!
En effet, une de ses bêtes apparut.
Le groshgal était un animal ne mesurant pas plus de un mètre. Il était bleu comme le ciel et avait de sortes de runes sur le corps. Il avait une tête allongée avec de grands naseaux et des yeux rouges comme l'Enfer. Ses dents étaient de plus acérées. Sa nuque et son dos étaient recouvert d'épines marrons et longues. Il se déplaçait à quatre pattes et avaient des griffes aussi longues et affutées que le couteau de Jake. Sa queue avait un feu perpétuel à son extrémité.
Le jeune homme enleva sa besace et chercha son couteau. Séphira le lui tendit tout en tremblant.
Le groshgal chargea vers le jeune homme et sur l'Ozelle.
_ "Douze lames contre une... Mais je dois la protéger. pensa le jeune épéiste à la lame fendue.
Il s'élança alors, à son tour, sur le prédateur de Séphira.
Nonobstant, c'était ce dernier le plus rapide et il entailla le bras gauche de Jake, peu profondément heureusement pour lui, à l'aide de ses grandes griffes. Il profita de ce rapprochement pour planter son couteau dans la gorge du monstre, et n'eut comme résultat, qu'un unique cri de douleur.
Séphira sortit la tête jusqu'au niveau des yeux. Elle vit la lutte entre entre les deux combattants.
Le groshgal sentit à nouveau l'odeur de cette dernière, cachée par les fruits il y avaient peu.
Il se désintéressa de Jake et courut vers la sacoche, le couteau toujours dans la gorge.
Jake le rattrapa alors qu'il n'était plus qu'à deux foulées de Séphira. Il le retint à deux mains par la queue. La bête rugissait et utilisait toutes ses forces pour attraper Séphira.
Les mains du jeune homme commençait à glisser et il risquait, à chaque instant, de se bruler. Sa plaie n'arrangea rien car cette dernière le faisait souffrir et il manquait de lâcher le fauve qui pourrait ainsi s'attaquer à Séphira et la tuer.
_ "Séphira! Envole toi! Cria Jake.
_ J'ai... trop peur... Dit la serv' terrorisée.
_ Fait-le! Vainc cette peur!! Je ne pourrais plus le retenir longtemps!!"
Elle reprit enfin le contrôle d'elle-même: depuis le début, elle pouvait s'enfuir, mais la peur, rampante et paralysante, l'avait envouté.
Elle s'envola enfin, et quand elle fut hors d'atteinte du monstre, Jake lâcha le groshgal qui percuta de plein fouet un arbre: il s'assomma.
Séphira se jeta sur Jake pour le remercier. Ce dernier comprit immédiatement e message et l'enlaça aussi. La serv' avait pourtant les larmes aux yeux:
_ "C'est fini... Ma petite..." Lui dit-il sur un ton calme et réconfortant, malgré le manque de chaleur dans sa voix.
Il s'approcha néanmoins du monstre pour récupérer son couteau qu'il arracha du cou du groshgal. Il reprit ensuite son polo-besace, le mit sur l'épaule du bras blessé et revint vers Séphira, qui refusait d'approcher de la bête.
Les deux amis décidèrent alors d'aller plus profondément dans la forêt.
Jake capta une des pensées de Séphira:
_ "Merci beaucoup! Je t'aime. (en amitié bien sûr! ^_^')"
Il lui sourit, mais si ce dernier manquait encore de chaleur.


Drinks

Une fois son meurtre accompli, Lifaen nettoya soigneusement toutes les traces de sangs sur lui. L'assassin s'était enfin calmé, il n'était pas passé loin de devenir fou. Cependant une question le taraudait, le marin avait parlé de cannibales à têtes de cro...quelque chose. De quoi pouvait-il bien s'agir?
Deux choses étaient désormais sûres: Le dernier des naufragés de son bateau c'était lui et les autres naufragés n'étaient pas la seul présence sur l'île.
Le jeune homme quitta les lieux de son forfait d'un pas léger, laissant le cadavre crucifié et mutilé accroché à l'arbre.
Ses pas le menèrent rapidement vers la plage de sables fin mais il resta à bonne distance du campement des naufragés ou Bart était resté faire il-ne-savait-quoi.
Lifaen trouva un rocher à fleur de l'eau et après une courte nage il put l'atteindre pour s'assoir dessus et offrir son corps aux vents et aux flots, comme pour se laver de ses crimes.

Depuis la forêt, des yeux dorés le fixait avec attention.


Xahdeln

Séphira arrêta cependant Jake.
_ "Qu'est ce qu'il y a?" Demanda-t-il.
Séphira regardait le bras du jeune homme. Elle attira enfin le regard de celui-ci et vit qu'il saignait abondamment.
Il enleva son bandeau. Quelques cheveux tombèrent plus bas, lui masquant presque l'autre oeil. Il l'utilisa pour faire un garrot banal. Il trempa aussi son bras dans l'eau pour enlever le plus de sang inutile car déjà sortit.
Il sentait des fourmillement dans ses doigts et les bougea machinalement. Il prit son couteau, imbibé de sang et le nettoya. Il le rangea dans son fourreau.
_ "Rassurée?"
_ "Oui!"
Le saignement avait en effet cesser. Ils purent partir enfin de cette clairière.


Pow

« JE SUIS LE ROI DU MONDE ! »

Et le roi du monde écarte les bras autour de lui. Le vent porte de son doux murmure ses cheveux bouclés un peu dans tous les sens, des mèches passent, rebelles, anti-conformistes, devant ses deux prunelles, jumelles toutes parées de vert, et il éclate de rire, balanc son corps en arrière. Comme on s'y attendait, il tombe, dans la fleur de son adolescence, il s'écrase sur le pont du petit bateau à moteur, et il continue à rire. Rien de vieux et d'imposant, rien de neuf et de charismatique, juste le petit navire avec un petit machin pour le propulser, un truc modeste pour la veille de sa majorité. Alors il rit de bon cœur, mignon gosse encore, pas vraiment prêt à devenir adulte. Il roule sur le ventre, cale ses mains sous son menton escarpé, et entrouve les lèvres. Sa mère aurait dit, respire l'air marin, mon fils, c'est bon pour la santé, et il ne l'aurait pas écoutée, et aujourd'hui elle n'est pas là pour lui faire la morale, il n'y a que ce type, cet individu anonyme come tant d'autres dans une vie, qui conduit le bateau. Le regard sylvestre du garçon se perd dans l'immensité bleue, il fait des vagues sa bouée, des embruns son ancre. Il avise la barrière, il se demande comment ce type, dans ce film là, fait pour tenir, mais il faut dire qu'il est maladroit, qu'il tombe tout le temps, et ses genoux feraient d'excellents témoins dans un procès improvisé, avec leur hécatombe d'hématomes et d'éraflures. N'empêche qu'il entendrait aussi presque son père, qui comme d'habitude se glisserait discrètement derrière lui, et qui dégainerait une flèche, furtif très d'humour.

« Alors comme ça le roi du monde est un imbécile ?
- Il tient de son père, je crois. »

En y songeant, il sourit, un peu dans le vague, et de nouveau, il fixe ces vagues qui dansent, tout doucement, sans vraiment les voir, son regard s'ancre sur un autre monde, plein d'imaginaire. Un truc d'enfant pour un gamin presque grand. Pourtant, il sourit, peu importe, alors que la brise fouette ses bras, et qu'il flotte dans son pantalon tout humide des beaux embruns salés. Depuis tout gosse, la mer c'est son étoile, un truc attirant, toujours il y revient, et il se plante devant, avec cet air de pauvre crétin. Il sourit, béat, il passe pour cet abruti qu'il n'est qu'à moitié, il fredonne, et il s'enfuit en sifflotant. Un tour en bateau, forcément, ne pouvait qu'être un cadeau merveilleux pour un passage à l'âge adulte qu'il ne voulait pas mériter, alors il en profitait, de toute son âme, de tout son coeur, sous le soleil descendant qui donne un petit air romantique à la noix à la scène. Il balaie ses boucles brunes, avec dans la tête une chanson, une portée dont les lignes se mêlent, deviennent un dessin. Et puis sans qu'il le perçoit, alors qu'il peint une immense aquarelle sur une toile gigantesque, bien à l'abri dans sa tête, le vent se fait plus fort, plus cinglant, et il frappe son visage, ses joues qui se rosissent, avec cette doueur disparue, devenue violence. Seulement quand quelques gouttes s'écrasent sur ses paumes ouvertes il se relève, jette un coup d'oeil au ciel, qui tout d'un coup se pare de tous ses beaux attraits, nuages gris auxquels il imagine presque un sourire sardonique. Et la pluie se fait orage alors qu'il court s'abriter dans la trop minuscule cabine, puis l'océan se met à déborder, cuvette trop remplie, et les douces vagues, vexées de toute cette violence, se dressent plus haut, plus fort. Le bateau tangue, et même le capitaine improvisé, dans son navire que le gosse lui loue, retient à peine des hoquets, agité par des nausées turbulentes. Le jeune homme lui n'a plus envie, il veut être le roi abruti d'un monde de tranquilité, les tempêtes non merci, qu'elles passent leur chemin. Dans la lumière bizarrement surnaturelle d'un éclair, c'est un vomissement deus ex machina, et il se courbe juste à temps sur sa douleur pour ne pas voir l'énorme lame qui fonce à grande vitesse vers leur petit bateau. Dans la déferlante, tout devient flou, le monde se fait noir, pauvre obscurité. Et il se perd dans la vague, se laisse couler dans sa panique, tout devient rien, plus rien, son cerveau se met aux abonnés absents, il ne peut plus.

Décroche putain salaud. Il se réveille, comme s'il émergeait à l'hôpital après un coma éthylique, et sa joue le gratte. Faut bien, avec tous ces petis grains de sable là. Heu, du sable ? C'est quoi, ce bordel ? Et cet imbécile de cerveau, que ça à faire que de balancer de l'île sauvage dans le style vieille série à la je suis perdu au fin fond des bois, mince, sauvez moi ? Putain, réveille toi, quoi. Rien n'y fait, il reste là. Alors il grimace, il tire la langue, et ça c'était sans compter le sable, faudra faire attention maintenant. Il se tortille un peu, petit ver perdu dans l'immensité, et puis il se relève, avec des algues qui bouclent comme ses cheveux qui partent dans tous les sens, et sa joue admirablement maquillée du sable un peu laid. Un naufrage, franchement, d'accord la mer ça fait rêver, mais un naufrage, quoi. Alors, forcément il est obligé de se lever. Mais putain, Logan, encore une fois tu te fous dans la merde.


Xahdeln

Jake avait le même visage froid qu'à son arrivée: garder un visage souriant était impossible pour le moment. Mais bon, il s'en préoccupait que très peu.
Séphira était le centre de ses pensées. C'était sa serv', certes, mais sans elle, il passerait une existence sur cette île très solitaire et sombre.
Mais ce ne fut pas le cas, il avait rencontré son opposé féminin.
Il l'a regarda alors. Séphira tourna la tête vers jeune homme et lui sourit.
Un sourire... Là est le problème. Différent selon ce que l'on veux exprimer. Mais celui qui lui manquait le plus, était le sourire le plus élémentaire: celui de Séphira.
En le voyant, il baissa la tête et ferma les yeux. Il soupira et repris la route normalement.
_ "Séphira... Est-ce qu'on se dirige vers la montagne ou vers le désert?" demanda-t-il.
La petite serv' s'envola au-dessus des arbres et avait le champ de vision dégagé. Elle scruta les environs. Elle redescendit et décrivit tout ce qu'elle avait vu.
_ "On se dirige vers la montagne. Mais opposé à notre sens de marche, il y a un rocher avec un homme dessus." lui dit-elle.
Le mot homme l'avait rendu subitement froid. Séphira le sentait.
Jake ne put contrôler cette réaction. Il en était conscient: il s'était coupé du monde extérieur totalement. Cette île, même si la plupart des survivants repartiraient, devrait lui apprendre en société. Au lieu de ça, il se renferme encore un peu plus.
Le jeune homme laissa le choix à Séphira:
_ "Tu choisis notre cap, ma petite."
Séphira réfléchit un peu. Offenser Jake ou aller vers la montagne? Elle pensait son choix vite fait lorsqu'elle perçut ça de Jake:
_ "Je te fais confiance."


Sangolapinoz

Bart arriva sur la plage, suivis de "son koala".
Ca fait bizarre de se dire qu'on possède un animal qui parle, qui mesure 2 mètres, qui pourrait te broyer avec une seule main, et qui s'appelle Francis.
- Phyly ! rétorqua le koala.
- Depuis quand tu lis dans mes pensés ?
- Depuis notre rencontre. Nous sommes liés, nous ressentons les mêmes choses.
- Ca veut dire que si je sort avec une nana, tu va me faire concurrence ? s'exclama le jeune homme.
- Nan, ya des émotions qui restent personnelles. Et puis je suis un koala...
Tout en parlant, ils arrivèrent au camp des naufragés.


Chipy

sofia se réveilla. Miroki c'était déjà levé et regardait la forêt. Sofia s'avanca vers lui puis lui parla par la pensée.
Tu as bien dormit?
Le tigre lui adressa un sourire comme réponse.
Tu n'a pas faim Miroki?
- Si, j'attendais que tu soit réveillée pour partir.
- Et bien, on peut y aller maintenant ^^.
Sofia monta sur le dos de Miroki puis ils partirent dans la forêt. Au bout d'une heure, ils arrivèrent devant un grand arbre. Miroki déploya ses ailes et s'envola jusqu'au sommet.
Ramasse quelque fruits Sofia.
- Ils sont comestiblent? Et tu mangent des fruits?
- Non je ne mange pas de fruits, et je ne sais pas si ils sont pas comestiblent.
- Alors pourquoi tu veux les cueillir?
Miroki regarda Sofia avec un sourire plein de crocs.
C'est pour attirer notre repas.
Sofia fixa bizarement Miroki, avant de comprendre qu'elle allait pouvoir manger de la viande. Elle prit un poignée de petits fruits et ils descendèrent de l'arbre.
Elle posa les fruits sur le sol comme lui indiquait Miroki et ils partirent se cacher derrière un buisson. Au bout de quelque minutes, un écureil (de 1M) voulu manger les fruits. Mais il n'eu pas le temp de comprendre quoi que se soit quand Miroki lui sauta dessus. Une simple morsure à la nuque et la bête était achevée. Miroki en dévora plus de la moitié pendant que Sofia le regardait, dégoutée. Finalement rassasié, Il en proposa un bout à Sofia.
tu en veut?
- Je prefere attendre d'être au camp pour... le faire cuire, si j'ai encore faim...
- D'accord.
Sofia cueilli quelque fruits (qu'elle manga), ramassa la carcasse de l'écureuil géant, monta sur le dos de Miroki et ils repartirent au camp.


Xahdeln

Séphira se remit à réfléchir. Si Jake lui faisait confiance, elle pouvait choisir librement. Elle considérait les deux options: elle pouvait sortir de la forêt et rencontrer cet homme au risque de voir Jake se fermer totalement, mais si elle avait peur de rester dans la forêt depuis l'attaque du groshgal. Même si la présence de son ami la rassurait, elle ne se sentait pas prête.
Séphira voulut ouvrir la bouche, mais le jeune homme mit son doigt sur sa bouche.
Jake avait compris où elle voulait aller. Ce choix ne l'enchantait pas, mais d'un autre côté, s'il avait choisi de rester dans la forêt, il se serait montrer égoïste envers Séphira.
Il décida de prendre sur lui pour elle.
La serv' se posa sur l'épaule de Jake et les deux reliés sortirent de la forêt.

Jake, avant de sortir de la forêt, enleva son garrot. La plaie semblait avoir cesser définitivement de couler et son bras était commençait à bleuir. Les fourmillement étaient beaucoup plus fort et devenaient insupportables.
À peine l'avait-il enlevé que son bras reprenait des couleurs. Il recommençait à saigner, mais très peu.
Jake voulut remettre son bandeau sur sa tête, mais il s'y résigna. Il l'offrit à Séphira à la place.
Ses petits yeux brillaient. Elle était aux anges. Elle venaient de recevoir un cadeau de Jake. Elle le mit sur sa tête, relevant un peu ses cheveux.
C'était la première fois que Jake la voyait avec ses deux yeux non cachés par ses cheveux.
Les deux prunelles de Séphira, bleu comme le plus pure des saphirs, le contemplaient. Le jeune homme ne savait pas quoi dire.
_ "Alors? Tu me trouve comment?" demanda la jeune créature.
Jake n'eut qu'un seul mot pour la qualifier, la voix même s'accompagnait, pour la première fois des paroles:
_ "Magnifique!
_ Hihi, merci!" Répondit Séphira avait un ton joyeux.
Pourtant, s'était le mot que Jake avait toujours eu pour qualifier Séphira. Mais voir les deux yeux ensemble réunit pour la première fois l'avait fait dire ce mot.
La serv' s'envola et rechercha le rocher avec le mystérieux homme. Elle redescendit et indiqua l'endroit où aller.


Poitou

Un nouvel embranchement. Elle pouvait se rendre au nord ou à l'ouest. C'est en ces deux directions que continuait de couler la rivière. Il lui restait à décider si elle s'arrêterait de marcher pour la journée, ou continuerait pour s'engager plus loin sur un nouveau chemin, et peut être finir par quitter la forêt. Hélène s'arrêta entre les deux rives, indécise. Que faire ?
La jeune femme n'en pouvait plus de la canopée épaisse qui occultait le soleil, de l'incessant bourdonnement ambiant, qui trouvaient leur origine en le vol insupportable des insectes, des chuchotements perpétuels de l'eau, et par dessus tout, de l'exécrable mélange de tourbe et de broussaille qui définissait le sol. Si les premiers jours dans la jungle l'avaient enchantés, il en était désormais autrement ! Tout en venait exaspérer, et les nuits passées dans la forêt ne l'aidaient en rien à apprécier ce cadre exotique : Elles étaient humides et chaudes, pesantes, pleines d'un capharnaüm assourdit et angoissant. Jamais elle n'avait tant regretté les forêts de pins de son pays natal ! Ah ! Que n'aurait-elle pas donné pour un vent frais et galopant ! Que n'aurait-elle pas donné pour un peu de viande ! Hélène n'en pouvait plus des fruits, bien que leurs savoirs soient nombreuses et surprenantes, tout autant que leurs textures. Cela ferait six jours quand la nuit tomberait, qu'elle n'aurait pas eut d'autre nourriture... Elle en venait à regretter de ne savoir chasser. Cela lui aurait été bien utile, en cette terre hostile à la civilisation humaine.
Hélène soupira, irritée. Sa colère remontait, et chaque jour l'attisait. Son tempérament fougueux s'était terré les premiers temps, repoussé par l'émerveillement qu'elle ressentait face à cette flore foisonnante et nouvelle, mais désormais, il se faisait plus puissant que jamais. Son retour lui promettait un éclat prochain : La jeune femme s'énervait vitre, et son bon sens n'était pas des plus développé- si ce n'était, totalement inexistant.
Décidée à sortir de cette exécrable jungle, Hélène opta donc pour continuer vers l'ouest, où espérait-elle, le fleuve se jetterait dans la mer. Peut être alors, pourrait-elle longer celle-ci jusqu'à trouver une plage, pour élargir son horizon autant que pour avoir une chance d'attendre le passage d'un navire.
Pantouffe
Pantouffe
Messages : 833
Date d'inscription : 27/08/2018
Age : 28

- Hélène - Empty Re: - Hélène -

Jeu 23 Mai 2019 - 15:48
Drinks

Lifaen se tenait depuis plusieurs heures face aux éléments. Il tentait de se débarrasser de toutes les traces de son meurtre mais son cœur s'emballait lorsque les souvenirs de son massacre se rappelaient à lui. Oh, ce n'était pas de peur mais de plaisir.
Ce qui faisait de Lifaen un assassin si efficace tenait en une phrase: Il aimait tuer en faisant souffrir sa cible et il n'avait aucuns remords. Son bras tombait avec une indifférence glaciale sur ces cibles et il enchainait les contrats machinalement et sans se poser de questions.
Les vagues qui commençaient à se faire violentes lui fouettaient la peau et le sel lui piquait ses nombreuses cicatrices mais le jeune homme restait là, heureux de sentir des sensations. Il se leva même et écarta largement les bras pour s'offrir complètement au souffle purificateur de l'embrun.
Il se sentait vivant.
Lui, l'assassin sans peur et sans morale avait une seule faiblesse. Elle a un regard émeraude et un caractère à faire pâlir les plus braves. Mais il s'en était éloigné. Il l'avait abandonné car il ne convenait pas de la fréquenter à cause de son métier.
Il éclata d'un rire franc mais qui sonnait légèrement faux.
Là, à la merci du vent maritime, il se sentait bien pour la première fois depuis maintes et maintes années.
Lifaen réprima son violent désire de plonger dans l'eau et resta là. Debout. Seul contre les éléments.


Sangolapinoz

Au moment ou Bart arrivait sur la plage, il se demandait comment les autres allaient accueillir Francis.
- Salut tout le monde ! Je rapporte du bois pour construire un abri et faire du feu !


Xahlden

Jake regarda alors la direction que Séphira lui avait indiqué.
Effectivement, sur un rocher se trouvait un homme.
Jake le voyait à peine mais il se demandait tout de même ce qu'il faisait là-bas, et surtout au milieu des vagues.
Le jeune homme pensait que la personne qu'il voyait n'avait pas toute sa tête.
Jake refusait d'aller nager jusqu'à cette homme car il pourrait se noyer. Et Séphira le comprit très bien. Elle proposa d'aller le voir en volant.
_ "Maintenant que nous sommes là, on ne peut plus reculer..." Répondit-il d'un ton froid après avoir soupiré.
Séphira commença donc le voyage entre la plage et le rocher. Elle évitait les vagues les plus petites sans problèmes. Quelques unes étaient plus hautes que les autres mais elle n'avait aucun problèmes pour les éviter.
Cependant, elle se tourna pour voir où elle en était par rapport à la plage. Elle vit Jake et lui fit des signes de la main.
Une vague plus grande se forma. Jake l'a vit et essaya de hurler à sa serv' qu'elle devait regarder derrière elle.
Rien n'y fit. Il tenta dans un dernier effort de lui transmettre sa pensée.
SéphiraLa perçut, mais trop tard. La vague s'abattit sur elle, et elle commença à se noyer.
_ "Jaaaaake! Au secours!" Hurlait-elle tout en avalant de l'eau.
Le jeune homme ne réfléchit pas: il jeta sa sacoche et se jeta à l'eau. Il nageait à contre courant et avançait du mieux qu'il pouvait.
Séphira, n'ayant plus la force de lutter, coula.
Jake se mit immédiatement à plonger. Le courant était plus fort.
Il était terrorisé. Sa serv' était en danger et il arrivait trop lentement selon lui.


Aqualoup

Loup était un ado assez bizarre,il a pris cette croisière pour être un peu seul mais ça a basculé quand une brume apparut dans ça chambre il est sortit pour prendre l'air quand le bateau a coulé.
-C'est qui lui ?
-Chez pas.
-Mmmmmmm chui ou la ?
-Sur une ile paumé
-Laissez moi dormir !
-Il est sonnée la.
-oui mais réveille le on a besoin de main d'oevre pour construire les abris.

Un des deux hommes partit vers les abris

- EOO réveille toi !
- OUI c'est bon j'arrive!
- aide nous a construire les abris
- OK OK j'arrive

Loup se leva péniblement et se dirigeât vers les abri en remettent ses idée en place : bon alors je suis sur une ile paumé avec des naufragés. Dailleur j'y repense c'etait quoi cette brume dans le bateau ? je demenderais au autres si il savent ce que c'est. Peu après il arriva au camp


Godjulie

Émilie et Mélo avait marché des heures sous le soleil brûlant sans trouver de nouvelles traces de Greg.

Mélo : Émilie je sais que tu comptes chercher longtemps cet homme pour retrouver tes couteaux mais, crois moi, ce n'est pas une bonne idée. Mieux vaut retourner à la plage.
Mélo avait raison Émilie le savait mais c'était malgré tout injuste.
Émilie : Mais au faite... c'est par où la plage ??
Et oui malheureusement le temps que les deux compagnons marchaient, ils s'étaient perdus et voilà qu'ils ne voyaient même plus la plage !
Mélo : Mince ! J'ai une idée, nous n'avons qu'à faire un grand feu en espérant que quelqu'un nous aperçoivent.
Émilie : Il y a peu de chance mais essayons.

Émilie parti à la recherche de bois secs pour alimenter le feu. Tandis que son serv' explora près d'elle, dans l'espoir de retrouver leur chemin et par la même occasion de la nourriture.

1hOO plus tard, le feuillage à cette emplacement de l'île était dense, et le bois secs. Les deux aventuriers regroupèrent leur ressources et Mélo y mit le feu. Le bois s'embrasa aussi vite. Et une fumée noire s'en échappa.

Mélo : Si cette fumée passe inaperçue alors c'est que l'on est perdu mais nos chances de survies viennent de monter en flèche !


Sangolapinoz

En arrivant sur la plage, j'aperçu une épaisse fumée.
Je me demandais qui pouvais donc faire tout ça.
En y réfléchissant bien, j'avais une épée, et Francis. Je pouvais donc y allez sans danger. Enfin, je crois.
- J'y vais. dis-je sur un ton ferme.


Drinkz

Les éléments commençaient à sérieusement se déchaîner, pour le plus grand bonheur de Lifaen. La sensation de la violence de l'océan sur sa peau le transcendait, mais pas autant que le meurtre. Tout était parfait. Le jeune homme se faisait violence pour ne pas se jeter dans la prochaine vague et se fondre dans les flots pour ne faire qu'un avec le majestueux océan. Il ne se doutait pas qu'il allait en avoir l'occasion quelques instants plus tard.
Il était vivant. Il était bien.
La peinture était parfait, dessinée d'un coup de crayon sûr et habile. Tout se mélangeait et pourtant chaque chose avait son existence individuelle. Devant cette étrange beauté le coeur de Lifaen se serra et il souhaita redevenir un jeune enfant encore insouciant.
Il rêvait de revenir sur ses actions, de pouvoir se reconstruire, de pouvoir se créé une nouvelle vie.
Mais le coup de pinceau se fit plus brouillon et une tache sombre s'étala sur les éclatantes couleurs qui peuplaient sa partie de la peinture.
La mort. Proche. Le désespoir et l'inquiétude.
L'assassin fit un tour sur lui même et évalua la situation avec une rapidité qui convenait à son métier.
Son esprit les classa directement.
Trois éléments:
- Une autre personne qui essaye de nager mais qui est contrée par les courant car elle n'est pas assez forte. Danger potentiel mais pas en cet instant. Semble être obnubilé par quelque chose d'inconnu.
- Les vagues particulièrement violentes qui semblaient l'avoir contourné se déversent sur la côte.
- Une forme inconnu qui est entrain de se noyer, visiblement ce qui intéresse le danger potentiel. Ne représente aucun danger.
L'assassin ne réfléchit pas. Son esprit lui intima l'ordre de plonger. Peut être était-ce pour se repentir de toutes ces actions passées? Mais cela ne suffirait pas. Une vie pour des centaines d'autres? Non, impossible.
Tant est si bien que Lifaen sauta.
Son corps athlétique s'enfonça sans aucun mal dans l'eau. Il ne fit qu'un avec les courants. Ils se jouait des vagues et valsait avec les algues.
Après une nage rapide et puissante, il ramena la chose qui se noyait à la surface. Le jeune homme ne fit pas attention à ce que c'était mais il lui sembla que cela était un bébé. Avec... des ailes? Un bébé ailé? Soit, ne nous attardons pas là dessus. D'un puissant crawl, l'assassin ramena la chose vers la plage et saisit par le col le jeune homme qui commençait à se noyer lui aussi. De sa force peu commune, la même dont il s'était servi à peine quelques heures auparavant sur son jouet, il les traîna
dans l'eau. Il lutta contre les éléments avec une énergie qu'il ne se serait jamais soupçonné et il parvint enfin à les hisser sur le banc de sable fin.
Il se releva et secoua sa tête pour se débarrasser de l'eau dans ses oreilles. Enfin, il toisa ceux qu'il avait sauvé d'une expression neutre.


Xahdeln

Jake observa cette homme pendant sa nage.
Il avait une force que jamais il n'égalerait. Pourtant, il décida de le sauver, lui et Séphira.
Quand il fut enfin sur le sable, il ne se préoccupa de son sauveur, mais de sa serv': elle était inconsciente.
Le regard du jeune adulte avait changé radicalement: ce fut un mélange de désespoir, de peur et de tristesse.
Séphira, cette belle et jeune créature, ne devait, ne pouvait pas mourir. Il écouta si son cœur battait encore et si elle respirait. Par miracle, Jake entendit le cœur de son amie jouer de la batterie. Cependant ses poumons ne fonctionnaient plus.
Il sut que le bouche à bouche était peut-être le seul moyen pour la sauver. Il commença à pratiquer ce geste qu'il avait appris dans un livre durant des quelconques vacances.
Après plusieurs fois, Séphira toussa. Elle fut mise en position fœtale et vomit un liquide orangé. Un mélange d'eau et de fruit. Quand elle ouvrit les yeux, Jake lâcha un flot de larmes. La serv' sourit, et se leva péniblement. Le jeune homme la prit dans ses bras, essuya ses larmes et se tourna vers l'homme qui les avait sauvés.
L'expression du jeune adulte changea radicalement: les yeux étaient redevenus froid, et le visage glacial. Plus aucune émotion ne transparaissait de Jake. Néanmoins, il n'était pas ingrat, et dit quelques mots:
_ "Merci... Il regarda Séphira puis: C'est Séphira, et moi, Jake. Et toi?"
Le ton glacial de ce dernier ne correspondait pas du tout avec l'action héroïque de Lifaen.


Sangolapinoz

Après avoir vu la fumée, je me dirigea vers la forêt.
Au moment d'entrer, je me rendis compte qu'en cet endroit, la forêt ne ressemblait pas à l'endroit ou j'étais partis chercher le bois.
On sentais que c'était une forêt tropicale.
La chaleur était étouffante dès les premiers pas. Les insectes bourdonnaient dans un joyeux tintamarre. Il y avait tout un panel de fleurs aux couleurs chatoyantes. Certaines étaient plus grandes que moi. J'étais pratiquement sur de n'avoir jamais ni vu, ni entendu parler de spécimens aussi grand et magnifiques.
Sans parler des arbres, qui jetaient leur branches imposantes dans un entrelacement qui cachait la lumière du soleil.
Tout au sommet de la canopée, abrités par les feuillages, bon nombre d'animaux poussaient de petits cris plus ou moins stridents.

Plus j'avançait, plus je m'émerveillais devant la magnificence de paysage tropical qui s'offrait à moi.
Plus loin devait se trouver une rivière. Je ne pouvait la distinguer, les arbres étant entremêlés, mais j'entendais distinctement l'eau qui s'écoulait malgrès le brouhaha produit par les animaux sauvages.

Au bout d'un certain temps, je sentis l'odeur caractéristique de la fumée.
Je sus que j'approchais.


Xahdeln

Dans la forêt, un Ozel volait paniqué. La raison en était très grave: un des siens avait faillit mourir. Sa chair, son sang, comment avait-il fait pour lui échapper de vue?
Il s'en voulait, il avait peur pour cette créature.
Il fouilla toute la forêt. Il chercha le moindre indice. Il pleurait devant ses recherches infructueuses.
Sa progéniture... où était-elle? Chaque seconde était peut-être la dernière pour celle-ci. Elle n'était pas encore adulte. Elle n'avait pas encore eu un mari et des enfants.
Ses espoirs de devenir beau-père et grand-père s’amenuisait. Mais, perdre son enfant, lui aurait asséné le coup de grâce. Déjà veuf depuis prêt de quinze ans, il ne pouvait se permettre de perdre sa fille, son unique fille.
L'espoir, sa vie ne reposait que sur ça.


Aqualoup

un peu après avoir commencé les abri.

Loup utilisait sont marteau pour construire des abris Et oui il on trouver des clous et il utilise le sien parce qu'il a la flemme dans prendre un autre

- ho la la j'en ai marre de construire.
- Hé Loup !!
- OUIIII
- dirige la construction de la maison n°2
- O.K.

il se dirigat vers la base de la maison n°2 quand tout a coup il vit un homme musclé taper un autre mec avec un planche

- hé toi la bas tu fait quoi avec cette planche ? Loup avait quand meme son idée
- jle tape pour quoi ??
- pour quoi tu le tape ?
- bas euuuuu...
- stop n'en dis pas plus et faites vous la bise et aller m'aider a construire le maison n°2
- OK
-OK

Loup était un peu étoné quand meme... Qand tout a coup il fut entouré par une brume blanche... Puis elle disparut.


Drinkz

Lifaen regarda Jake s'affairer autour de la chose qu'il avait sauvé. Il devina qu'il devait s'agir de son serv', comme Miroki pour l'autre jeune fille.
Le jeune homme s'ennuyait. Il était particulièrement contrarié d'avoir été arracher à sa contemplation du monde. La toile était désormais tachée et cela prendra du temps pour retrouver la même peinture qu'avant.
L'assassin se doutait que la prochaine fois qu'il se sentirait aussi bien serait dans longtemps.
Mais peut importe, ce qui est fait est fait et s'attarder sur les actions passées ne peut causer que de la douleur.
Aller de l'avant. Toujours.
Ne jamais s'arrêter, je jamais contempler ni reprendre son souffle.
Il en allait de sa santé mentale.
Depuis si longtemps déjà il s'était éloigné de tout ce qu'il connaissait pour repartir sur des nouvelles bases. Il avait tout perdu et ce qu'il y avait gagné ne faisait qu'une maigre compensation à tout ses malheurs.
Il était perdu. Il était seul dans une pièce sombre où la chandelle avait été soufflée.
Mais avait-elle seulement existé un jour?
L'espoir l'avait depuis longtemps quitté et les remords lui étaient interdits.
Lifaen secoua machinalement la tête, comme pour se débarrasser de toutes ses pensées, et il fixa de nouveau le jeune homme.
Ce dernier releva la tête et le fixa d'un regard dur et froid. Il était évident qu'il s'était construit une armure caractérielle. Un asocial quoi.
Il s'en fichait.
Après tout, que lui importait cette personne? Il l'avait sauvé et alors? Lifaen avait agi sur un coup de tête.
Lui qui d'habitude fauchait les vies en avait sauvé deux.
Étrange...
Ses réflexions furent interrompues par l'inconnu qui parla. Il lui demanda son nom après s'être présenté.
Deux choix de réponses s'offraient à lui:
- Répondre franchement et partir vite-fait.
- Répondre avec ambiguïté.
Il était vrai que personne ici ne connaissait son véritable travail et l'assassin comptait bien que cela reste ainsi.
Il opta donc pour une approche détournée.
- Je suis une ombre. Je ne fais qu'apporter le point final au texte de la vie.
Lifaen décida de donner quand même son nom, après tout quels risques pouvait-il y avoir à cela?
- Et je m'appelle Lifaen.


Pow

Il marchait sur les mains. En soi, c'était une occupation tout ce qu'il y avait de plus normale dans la routine acidulée de sa vie. Ce qui était un peu moins logique, c'était qu'il ait daigné secouer ses longs doigts dans ses cheveux pour ôter les algues qui embrasaient ces mèches avec toute leur passion à effluve de vase. Chose curieuse encore, il était parti à la recherche de quelqu'un, parce qu'il avait lu quelque part, dans un magazine prétendu formateur et seulement à demi ludique, peut-être bien, qu'en cas de naufrage il fallait s'organiser en groupe. Le problème ici entré dans l'équation étant que l'île semblait à première vue déserte. Pas même un sale petit moineau à courser. Et rien dans les mains, rien dans les poches -à part un crayon de papier, pas grand chose dans la tête, il n'avait rien à faire. Alors à tour de rôle il enfonçait chacune de ses paumes écorchées dans le sable humide et brûlant. Finalement la mer lui envoyait toute son écume au visage, et il était bien obligé de s'arrêter pour éternuer. Et là, pause, arrêt sur image. Des gens. Miracle, miracle, Dieu t'as beau être un con, au moins parfois tu te réveilles. Oh a mère aurait protesté mais sa mère n'était pas là avec lui paumé sur une île déserte. Enfin, presque déserte. Avec tout son bon sens, il résolut de se remettre dans une position un peu plus conventionnelle ; il dut se ramasser à la petite cuillère sur le sable. Et debout, il resta planté là, parce que finalement, il ne savait pas quoi dire à ces inconnus, là. Bonjour, tu crois pas Logan ?


Godjulie

Émilie ne voyait pas le temps passer ou encore était-il trop lent pour qu'elle s'en aperçoive. 1hOO était passé, ou peut-être seulement 20 min.
Mélo était parti dans la foret en reconnaissance.
Soudain le dragon réapparut.
Mélo : Émilie ! Il y a un homme étrange qui arrive il est en jean et en t-shirt.
Émilie et Mélo décidèrent d'aller à leur rencontre.


Cronoseus

Mingano vient de terminer les poissons et est complètement rassasié. Quel qu'il soit, son bienfaiteur savait repérer les bons poissons. Il décide d'examiner la grotte autour de lui. À l'avant, un long tunnel débouche sur une source lumineuse. Sûrement le soleil et donc l'air libre. Malheureusement, la sortie était trop loin que pour tenter une sortie. Il ne restait plus qu'à explorer les tréfonds de la grotte. Après quelques minutes de marches, il ne constate toujours aucun changement de décor et fini par désespéré à trouver une sortie. Sortira-t-il un jour de cette prison de pierre ?


Xahdeln

Jake ne comprit pas la phrase de l'inconnu. Mais il s'en moqua. Son nom, Lifaen, était un de ceux qu'il n'oublierait jamais. Il l'avait sauvé ainsi que sa serv'.
Il n'osa pas demander ce qu'il faisait sur un rocher, à faire face aux vagues. Il se disait que chacun avait sa propre vie à mener. Séphira n'avait pas l'air très heureuse. Elle se souvint que, juste avant de perdre connaissance, elle avait envoyé un message télépathique à son père. Elle était son bijou et la protégeait beaucoup. Jake le ressentit.
_ "Un problème?" demanda-t-il.
Elle fit oui de la tête.
Le jeune homme voyait que cela la dérangeait d'en parler devant des inconnus. Il décida donc de laisser Lifaen sur ces mots:
_ "Tu dis être l'ombre qui mets des points sur les lignes de la vie, mais je crois que tu es plutôt que tu en ai la majuscule... Au revoir."
Son ton était froid. Mais derrière ces mots se cachaient sa gratitude.
Quand elle fut à bonne distance de cet homme mystérieux, Séphira expliqua ce qu'elle avait fait et pourquoi elle se sentait mal.
À peine eut-elle le temps de finir que son père arriva, paniqué. Quand elle vit Jake, la colère envahit l'Ozel.
_ "P... Papa!" Cria-t-elle de surprise.
L'ozel ne parla pas mais babilla comme un merle noir. Jake ne comprenait pas, mais dans l'intonation du père de Séphira, il comprit qu'elle était disputé. Séphira essaya de se défendre avec les même babillement, plus agréable que ceux du père.
Après quelques échange, la pauvre ozelle se débattit et s'envola dans la forêt.
_ "Séphiraaaaa! Cria Jake.
_ Laisser la tranquille! À cause de vous, elle a failli mourir! Rétorqua le père, plein de haine. Ce n'est qu'une enfant! Elle n'a que 18 ans!
_ Mais... J'ai 18 ans moi aussi, et je suis majeur.
_ Peut-être dans ton monde corrompu! Mais ici, il lui reste encore 3 ans avant de devenir adulte!
_ C'est...
_ Ta serv', et alors? La colère augmentait chez le père de Séphira. Tu n'approches plus de ma fille!
_ Mais..."
Ce fut la première fois que quelqu'un lui parlait comme ça. Le jeune homme ne savait plus quoi dire.
_ "Approche ne serait-ce qu'une fois de ma fille, et je te tuerais! Tu m'entends!? Je te tuerais!!"
Après quoi, il s'en alla, laissant Jake abasourdit.
Il venait de perdre son amie devant ses yeux et il ne pouvait rien faire.
Pour une quelconque raison, il pensa à ses parents, qu'ils ne pourraient jamais plus revoir.
Ce fut son coup de grâce.
Toujours debout, abandonnant sa sacoche, il s'enfonça dans la forêt. Il ne tarda pas à trouver le désert. Pour lui, plus rien n'avait de sens. Il venait de tout perdre.


Poitou

Son regard tomba sur la bataille des vagues. L'océan se dressait face à la terre, galopait vers la côte. L'écume noyait la roche et poudrait l'air de mille gouttes glacées. L'eau n'était plus que fureur des abysses, sauvagerie bestiale, tempête salée qui se lançait à l'assaut de la plage, rugissait face aux cieux. Qu'était une femme face à cela ? Une pareille fureur ne se combattait pas. Elle était crainte, redoutée. Une vague, un déluge, une pluie d'embruns qui la perdait dans une brume fatale. Le monde qui happait son existence sous sa masse indomptée. L'orchestre des éléments qui se faisait primaire. Point de cantate ou de chant : Cent instruments qui hurlaient, cent voix qui exaltaient une puissance dont le nom n'était plus que souillure, en ce monde moderne qui avait oublié sa source, sa mère... La Nature. Ici, elle était encore maîtresse. Ici, ni de béton, ni de goudron, ni de corruption. Seule la grisaille du ciel, qui agitait la mer d'une houle féroce. La tempête tirait des vagues à l'océan primitif. Elles rejoignaient les nuées célestes, se fondaient en des murailles funestes ; retombaient dans un fracas sinistre. Le plus parfait chaos, qui régnait dans un ordre établit d'une implacable force. La fatalité.
Hélène s'avança sur le sable froid comme la cendre. Les nuages gris qui occultaient le ciel bleu, les rayons distants et glacés du soleil, lointain, comme une flamme au fond d'un puits de grisaille qui ne connaissait pas de fin. Il flamboyait, éthéré, perdue en les hauteurs. Il délaissait l'île. Mais la jeune femme n'en avait cure. Le monde n'avait aucune importance. Que l'océan gronde et que les cieux lui répondent ; que la pluie tombe en faisait de sa peau une pierre froide. L'univers n'était rien. Il n'y avait que lui. Lui qui vivait, lui qui emplissait son regard. Une seule réalité et une seule vérité : Son corps et son nom. Elle voulait gouter les deux, comme pendant les nuits d'hivers où la neige tuait la chaleur, et les poussaient l'un vers l'autre, au creux d'un lit que leurs membres enlacés définissaient en une union incendiaire. Pas besoin d'un feu ; leurs cœurs qui battaient à l'unisson embrasaient leurs veines de mille foyers galopants. Les caresses qui laissaient douceur et chaleur sur leur peau, les chuchotements qui les enfermaient dans un monde définis par leurs seuls sensations, et l'amour au fond des yeux, unique vision en ces instants, brasier de désir, brasier interdit qui n'en était que plus pure. Deux dans l'amour, l'un et l'autre mêlés. Plus de distinctions. Des courbes qui s'épousaient.
Cela pourrait-il être vrai de nouveau ? Suffisait-il d'avancer, de laisser les empruntes de ses pas dans le sable glaciale, de le fixer, d'en faire son seul horizon ? Suffisait-il d'y croire, de tendre la main et de frôler sa joue ? Un contacte rendrait-il ce miracle plausible ? Quelques pas encore, juste une bras à libérer de la prise humide de sa robe poisseuse. Elle s'arrêta, fixant son visage. Les vagues orgueilleuses qui s'élevaient derrière lui. Et les autres ? Des ombres si mornes qu'elles en perdaient toute consistance. Il n'y avait pas d'autres. Juste lui. Le reste n'était qu'ombres, là où sa lumière l'éblouissait jusqu'à la transporter au paradis, d'un simple regard, d'une seule rencontre avec lui.
Hélène leva le bras, tendit ses mains tremblantes vers son visage, et posa ses doigts gourds contre sa peau. Elle les laissa glisser jusqu'aux commissures de ses lèvres, pour en continuer la courbe d'une indolente caresse. Des larmes perlèrent depuis ses yeux. Elles roulèrent sur ses joues. Sillonnèrent son visage, moururent de la chute de son menton. Lavèrent le trouble de son expression, pour y laisser un sourire plein de douceur. Son autre main qui rejoignait l'autre dans son exploration, et ses doigts qui parcouraient ces courbes connues, que même le temps n'avaient su effacer de sa mémoire. Comment les oublier ?

- Lifean, embrasse moi avant que la jungle ne me réveille. Murmura t'elle. Je ne veux plus souffrir... J'ai besoin de toi. Un rêve, c'est plus que je n'en demandais. Plus que j'en espérais.
Vite ! Supplia t'elle dans un sanglot. Rien qu'une fois...


Drinks

Souffrance.
La peinture en est devenue noire, Lifaen n'est plus que déchirure. Elle est là devant lui. Hélène...
Il aimerait tant pouvoir l'embrasser... Il aimerait tant pouvoir la caresser de nouveau...
Mais cela lui est interdit. Rien n'est plus tabou que le désir de la tenir entre ses bras. Lifaen hésite.
La déchirure craque.
Le jeune homme aimerait vraiment n'être qu'une ombre et pouvoir s'évanouir parmi les vagues.
Ce qui n'était qu'un rêve éveillé tournait au cauchemar. Lifaen ne pouvait pas. Il se sentait faiblir mais il ne pouvait rompre. Sa main tremblante caressa timidement ses joues. Il la désirait. Il la craignait.
Elle était là. Perdue dans le noir comme lui.
Mais pas dans la même pièce.
Lifaen avait quitté son monde il y a plusieurs années de cela.
Il aurait voulu la repousser.
Il aurait voulu l'embrasser.
Mais l'assassin n'avait pas le droit. Il s'était promis de ne pas la décevoir encore une fois en lui montrant le monstre qu'il était devenu. Il devait la dégouter car elle ne pouvait pas se douter de celui qu'il était.
Lifaen ne serait qu'une serrure de plus dans sa pièce et non pas la lumière qu'elle espérait.
Mais elle était là. Elle avait besoin de lui. Juste une fois, une dernière fois.
Doucement il se pencha et se plongea dans ses yeux tempétueux. Il voulut redevenir celui qu'il était avant pour un instant.
Un centimètre les séparait.
Tout les séparait.
Lifaen resta comme ça un long moment. Ses yeux glaciales plongés dans les émeraudes qui sertissaient son regard. Ses larmes qui coulaient abondamment et mutilaient son visage d'ange.
Rien qu'une fois.
Elle avait besoin de lui. Et il ne pouvait pas l'abandonner ainsi.
Mais il le devait.
Le jeune homme s'écarta brusquement de son amour perdu et la fixa encore.
Rien qu'une fois.
Lui aussi avait besoin d'elle.
L'assassin lui fit comprendre d'un regard qu'il ne pouvait pas. Mais il aurait tant voulu...
Une dernière fois...
Ce serait la fin. Mais aussi le commencement.

Ainsi naquit-il. Léger comme un papillon et doux comme un rêve. Porteur de promesses et de malheurs.
Il avait un goût salé.
Son dernier baisé.


Xahdeln

Séphira était suivit par son père.
Jake suivait son désespoir.
La jeune Ozelle cria sur son père:
_ "Sale monstre! J'ai..."
Son père ne lui laissa pas terminer sa phrase. Elle se prit une gifle en pleine joue et douloureuse. Il lui parla à nouveau en babillant. Voici ce qu'il lui dit:
_ "N'utilise plus jamais ce langage!"
Elle était forcé de répondre comme un merle:
_ "J'ai perdu...
_ Rien! Les humains sont des êtres corrompus! Il allait se servir de toi! rétorqua-t-il.
_ Tu...
_ Tais toi et file dans notre nid!"
Séphira s'exécuta, elle ne pouvait rien dire. Elle avait en plus peur. Elle ressentit le manque de gout à la vie de Jake.
Ce dernier savait ce qui l'attendait. Ce désert... L'endroit où les hommes à tête de crocodile vivaient. La mort l'appelait, et il écouta son doux murmure.
Sauver des flots quelques minutes auparavant, et il décida de mourir assassiner, tenter pas le doux appel de la Faucheuse.
Des larmes coulèrent de ses yeux. Comme une rivière intarissable, il ne put s'arrêter. Pourtant, il marchait, d'un pas sûr, sur ce territoire où la mort se cachait, rampante et hideuse, n'importe où. Il s'arrêta et s'assit, attendant son heure.
Séphira ressentit toute cette peine d'un seul coup. Elle crut qu'elle allait craquer, tant la peine de Jake était forte. Mais elle ne renonça pas: elle se posa et essaya de lui parler grâce à son don de télépathie.
Jake l'ignora totalement mais involontairement: son armure glaciale s'était vite refaite, en plus solide et plus sombre que jamais.
Le père de Séphira arriva dans le nid et vit sa fille immobile. Il arracha le bandeau de Jake d'une patte solide et forte. Séphira fut revint alors dans le monde réel, poussant un cri de douleur: son père lui avait arraché quelques cheveux et le cadeau de son ami, déprimé.
Pour la première fois, elle était vraiment en colère. Elle se retint de dire tout ce qu'elle pensait. Elle prit de force le bandeau qu'elle portait peu de temps avant.
Elle s’enfuit. Mais son père ne chercha pas à la rattraper: il pensait qu'il lui faudrait du temps avant de pouvoir enterrer cet homme de sa vie.
Elle n'alla pourtant pas loin. Sitôt posée, la jeune Ozelle utilisa une nouvelle fois son don de télépathie mais pas pour résonner Jake mais demander de l'aide à la seule autre personne qu'elle ait vu et en qui elle avait confiance.
Elle aurait voulu y aller, aider Jake, mais elle ne pouvait pas se le permettre: le désert la terrorisait et elle avait peur d'y aller seul.
Les mots qu'elle transmis à Lifaen était les suivants:
_ "Lifaen, c'est Séphira qui te parle. J'utilise ma télépathie pour communiquer. J'ai besoin de ton aide, Jake veut se laisser mourir dans le désert et j'ai peur d'y aller seule. Je t'en supplie, aide moi.


Poitou

Hélène en mourut autant qu'elle en retourna à la vie. C'était une renaissance. Une mise à mort. Le rêve se flétrit, le monde explosa soudainement. Il fut si grand en un instant, que la jeune femme sursauta. Pourquoi l'univers emplissait leur bulle ? Et l'amour ? Il n'avait plus le droit d'exister ? Et les caresses ? C'était donc terminé ? Où l'avait menée la passion ? Quel était donc ce nouvel horizon ? Ce n'était plus qu'une vaste ténèbres, un champ d'ombres glacées. L'espoir s'était envolé pendant ce doux baisé. Comme le papillon qu'était l'union de leur lèvres, l'amour avait volé leurs ailes d'anges pour s'enfuit dans le lointain. Un soubresaut violent l'agita. Il n'y aurait plus jamais rien désormais. Ce n'était pas qu'une rêve. La réalité était plus sec. Elle claqua dans son âme comme l'aurait fait un fouet.
Adieu sa vie, sa raison d'être. Adieu le monde qui bourgeonne au printemps, adieu les fleurs qui s'éveillent quand le soleil s'allume. Et maintenant, quoi ? Encore plus de souffrance, jusqu'à la cisaille complète de son bonheur ? Tout s'était perdu dans cet ultime baisé ? Ce ne pouvait pas. Pas après tout cela... Et l'amour, pourquoi s'envolait-il ? Ne pouvait-il pas être terrestre, une seule fois, juste pour eux ? Fallait-il l'enchaîner pour le garder près de sois ? En quoi étais-ce beau, un amour lesté ? La liberté n'était qu'une fable ? Mais alors à quoi bon la vie cruelle ?
La douleur d'un instant était plus forte que tout. Il n'y avait pas plus cuisant que cette seconde. C'était la fin de son âme. La fin de l'amour, qui marquait la fin de tout le reste. Quel gâchis... Hélène ne voulait y croire.
Il ne pouvait pas la laisser seule, pas une fois de plus. Pourquoi l'abandonnait-il encore ? Pourquoi lui faisait-il endurer cela ? Il voulait donc lui faire du mal malgré leur amour ? Non. Le souvenir de leur amour. Il avait le droit maintenant. Qu'il lui inflige la plus violente des douleurs pour la punir de son aveuglement. Qu'il la batte pour la tuer, pour achever sa vie plutôt que de la laisser agoniser. Comme les marins... Il était devenu leur copie. Ses craintes étaient fondées : Lifean était mort. C'était un étranger. Il avait violé ses sentiments, comme eux avaient violé son corps.
Tout son être se déchira, lui arrachant un hurlement. Plus d'amour. Elle était seule.
Hélène recula. Son regard croisa celui de l'assassin. L'assasin de son cœur. Elle lui jeta sa douleur en face. Elle lui jeta son cri.
Puis elle partit. Vers les ombres. Vers la jungle. Loin de lui. Loin de sa lumière, sa fausse radiance. Celle que le Lifaen creux irradiait toujours. Comme une lampe qui voulait simuler le soleil. Il était faux. Ce n'était plus le même. Ce ne le serait plus jamais. Maintenant, c'était l'enveloppe d'une ombre véritable. Comme celle qu'il disait être.
Hélène disparut dans le sous-bois, espérant ne jamais en revenir, folle de douleur, brisée. La fin de l'amour.
La fin de son amour à elle. La fin de tout.


Sangolapinoz

Plus je m'approchais de la fumée, plus je sentais l'odeur.
Au bout de quelque mètres, je tombais sur Emilie, que j'avais vu sur le campement la veille.
- Salut ! dis-je sur un ton gentil


Aqualoup

Loup construisait toujours la maison n°2, (il restait juste le toit)

-James ! ( un des naufragé celui qui tapait l'autre naufragé )
- Oui ?
- viens j'ai fini le toit, continue la 3e maison, moi je vais voir si il y a un lac par rapport a la brume étrange.
- OK

il se dirigeait vers la foret quand la brume revint, il entendit ses mots:
- le feu et l'eau se rejoignent au même endroit tu me trouvera.
Loup y réfléchit et son instinct lui dit d'aller vers la foret donc il y alla.


Godjulie

En entendant, l'homme arriver, Mélo se cacha, il n'avait pas confiance.
Émilie l'avait deja vu mais elle ne se souvenait deja plus du nom du jeune homme.
- Coucou ! Je suis contente que tu m'es trouvé je me suis perdue.
Ça y est le nom du jeune homme lui apparut : Bart.
En discutant avec lui, elle aperçue un étrange animal aux yeux dorés suivre le jeune homme. Les même yeux que Mélo. Le serv' de Bart ? Peut-être ? Il fallait lui demander sans indiscrétion, si c'était bien le cas, ils pourraient s'en sortir sur cette étrange île.
- Dit moi tu n'aurais pas vu ou rencontrer des choses étranges sur ton chemin. Parce que moi j'ai vu des animaux hors du commun, même un aux yeux dorés ! dit-elle sur le ton de la discution.
Pantouffe
Pantouffe
Messages : 833
Date d'inscription : 27/08/2018
Age : 28

- Hélène - Empty Re: - Hélène -

Sam 25 Mai 2019 - 0:08
http://www.dinorpg.com/tid/forum#!view/43320|thread/10587657?p=41


http://www.dinorpg.com/tid/forum#!view/43320|thread/10587974?p=1


http://www.dinorpg.com/tid/forum#!view/43320|thread/10588105?p=1





Sangolapinos

La jeune fille me dit qu'elle s'était perdu, puis elle me posa une question sur des animaux étranges.
- Oui, j'ai rencontré un énorme Koala avec les yeux dorés.
Tu vas me trouver fou, mais il me parle et il dit être mon serv'.
Je lui montra Francis un peu plus loin derrière moi.


Cronoseus

J'essaie de me rappeler. Je me souviens de mon nom: Mingano. Tout en marchant, je me remémore mes souvenirs. Je m'appelle Mingano, j'ai treize ans, mon père est mort ou porté disparu, je suis naufragé, je devrais être mort... Cette dernière pensée me glace. Le souvenir de ma chute du haut de la falaise me terrifie. Sur le moment, je n'avais rien ressenti, seulement une faible peur qui ne m'avait pas affecter outre mesure. Mais, maintenant, je me rend compte de à quoi j'ai échappé. A un mort rapide, mais très douloureuse. D'ailleurs, je ne sais pas comment je m'en suis sorti. Peut-être, qu'une vague assez puissante à dévier mon corps vers cette grotte et m'a propulsé loin à l'intérieur? C'est peu probable, je ne dis ma survie qu'à mon mystérieux bienfaiteur. Je suis toujours en train de ressasser mes pensées quand un monstre surgit de l'eau. Il a les yeux dorées, deux grandes ailes, un torse humain, une bouche aux dents acérées et une tête à un oeil. La créature doit ressentir ma peur, car elle me dit calment, d'une voix sombre et rauque:
-N'aie point peur, je suis ton serv'. Je me nomme Generen.
Il s'approche de moi et lorsqu'il me touche, je ressens alors tout ses sentiments, ses souvenirs. Un lien s'est noué entre nous et il ne sera jamais rompu.


Aqualoup

Loup était pensif il repensait a ses paroles: "Le feu et l'eau se rejoignent au meme endroit tu me trouvera" il se dit que l'eau était facile a trouver mais pas le feu, il décida de remonter le lit de la rivière de plus ce qui était bizare cétait qu'il avait envie de se gratter l'oreille avec sa pat... eu son pied. Comme il était pas loin de l'orée de la foret il décida de faire tomber quelques arbres, il sortit son marteau et tapa quelques arbres puis il repartit vers la rivière .


Goldjulie

Mélo décida de sortir de sa cachette au moment où Bart prononça le nom de serv'. Le Koala et le dragon se regardèrent longuement. Ils étaient plonger dans la contemplation de leurs yeux dorés. Malgré la différence de leur race, il se ressemblait.
Émilie entraperçu les pensés de son jeune serv' et su que ces deux animaux uniques, n'étaient pas les seuls de cette île.
Émilie : Non, tu n'es pas fou ou alors moi aussi parce que tu voit ce lézard ou plutot ce dragon, il dit s'appelait Mélo. Il me parle par la pensé et ressent tout comme moi ! Et là il me dit que Phyly est aussi un serv'.
Mince, Émilie avait parlé trop vite, elle n'était pas censé être au courant du nom du Koala et pourtant elle le connaissait grâce à Mélo. Peut-être que les serv' capter les pensées des autres serv' ? Ou encore, ce nom, Phyly, lui allait si bien, c'est comme si ce nom lui était associé depuis toujours. C'est exactement pareil qu'avec Mélo.


Sangolapinoz

Elle me dit qu'elle possédait également un serv, et me désigna un petit lézard-dragon du nom de Mélo.
- Donc on est deux à avoir ce genre d'animaux. Peut être que les autres naufragés en ont aussi !
Phyly me confirma mentalement que d'autres serv' vivaient sur l'île.


Goldjulie

- Oui, les autres doivent en avoir. Retournons au campement.
La petite troupe partit vers la plage en suivant Bart.


Goldjulie

Malheureusement Bart n'avait pas l'air d'en savoir plus sur le chemin du retour qu'Émilie ou Mélo, les revoilà perdu.
Tans pis ils n'ont plus que 2 choix :
- soit faire un campement ici en espérant que les autres naufragés les retrouvent
- soit marcher tout droit, arriver à l'océan, puis longer la plage en espérant trouver le campement des naufragés, malheureusement si ils ne trompent de direction, ils seront perdus.
Mélo et Francis choisir la deuxième solution, non pas parce qu'elle avait le plus de chance de réussite mais car leur instinct le leur disait à tous deux.
La décision prise, la compagnie se mit en marche vers l'inconnu.
Ils ne pensaient pas si bien dire. Ils découvrir bien vite des paysages inconnues et uniques. La forêt avait changé, les lianes devenaient plus nombreuses. Mais voilà que le sable recouvré la terre, la forêt s'éclaircissait. Le soleil devenait vraiment brûlant. La chaleur commençait à fouetter leur visages.
Ils étaient dans un désert !
La chance les avait quitter depuis le naufrage. Plus rien n'allait comme il l'aurait voulu. Le désespoir s'abattit sur eux. Mais il restait encore l'espoir. L'espoir ne les avait jamais quitter, mais les voilà dans un désert.
Les étoiles les guiderait ! Elles n'avait jamais quitter ni trompé Émilie. Cette nuit sera pleine d'espoir !
Mais voilà qu'au loin, une ombre se distinguait. Elle avançait. Doucement. Vers l'inconnu également. Sans but précis.


Xahdeln

Jake attendait. Des larmes coulaient de ses joues déjà rougi par le soleil du désert.
Une douceur le rafraichissait, cependant, il restait silencieux. Face à l'horreur qu'il voulait subir, il patientait, calme et pourtant apeuré.
La mort sonnait comme une délivrance, il voulait quitter ce monde sans que l'on se souvienne de lui, comme il aurait voulu rester il y a 2 ans.
Séphira, commençait à perdre le contrôle d'elle-même. Paniquée, sans ressource pour sauver son ami. Comme un réflexe qu'elle avait toujours eut, elle attacha le bandeau rouge qu'elle tenait. Elle ne savait pas pourquoi elle l'avait fait, elle ne put s'en empêcher.
Le père de Séphira s'inquiétait: sa fille n'était toujours pas revenu. Il s'interrogea: avait-il pris la meilleur décision?
Puis, il repensa à ce que les humains étaient. Lâches et perfides, destructeurs et manipulateurs, pourquoi celui-ci devait échapper à la règle? Et surtout, ce bandeau qu'elle avait sur la tête, d'où provenait-il? Était-ce un cadeau? Ou bien un cheval de Troyes? Il se mit à réfléchir profondément.
Séphira n'en pouvait plus d'attendre, elle était envahie par le sentiment de déprime, de malheur et d'abandon de soi de Jake. Elle pensait devenir folle: ses sentiments gais et joyeux luttaient contre ceux du jeune homme, tristes et mélancoliques.
Jake ne réfléchissait plus, il ne voulait plus réfléchir. Sa vie était si proche de finir. Il n'en exprimait ni joie, ni douleur. Partir maintenant ou plus tard, qu'importe, puisqu'il devait mourir un jour. Mais sa vie n'avait plus de saveurs, plus de d'odeurs, plus de beauté. Son couteau, il aurait voulu l'utiliser, mais il l'avait oublié sur la plage, ainsi que son polo et trois fruits. Ces fruits oranges, les aurait-il mangés s'il ne l'avait pas rencontré?
Penser à Séphira lui procura du bonheur, qu'il transforma en tristesse. Elle avait encore une famille, elle avait encore son père. Lui, il n'avait plus rien.
Un bruit lui fit relever la tête, un bruit qu'il avait fait en arrivant dans le désert. Un pas dans le sable. Il regarda mais ne vit aucun homme à tête de crocodile.
Il ne tourna pas la tête. Il ne le voulait pas.
Séphira décida de surmonter sa peur et d'aller dans le désert. Elle s'envola haut et fut repérée par son père. Il décida de la suivre, ne voulant pas réitérer la même erreur deux fois. Elle survolait la forêt et aperçut un groupe dans le désert. Elle ne s'approcha pas. La terreur du désert l'empêchait d'aller plus bas.


Chipy

Sofia et Miroki était arrivés sur la plage. Elle donna finalement la carcasse de l'écureuil géant à Miroki. Celui-ci la dévora goulument. Quand il eu fini de manger Sofia lui demanda: Tu m'a parlé de petsoukhôs tout à l'heure. Qu'est ce que c'est?
-Ce sont des monstres. Ils ressemblent à des hommes à tête de croco. Je pourai mieux tout expliquer si nous allons au temple. Ils se trouve au Sud de l'île.
- Allons-y.
Sofia monta sur le dos de Miroki et ils s'envolèrent.
Plus le temp passait, et plus cette île lui paraissait étrange. D'abord des bêtes énormes, des serv', des petsoukhôs et maintenant un temple! Elle pensait que tout ceci était un rêve, mais cela semblait si réel...


Chipy

Après plusieurs heure de vol, Sofia put voir le temple. Miroki atterit et Sofia descendit. le temple était énorme et en mauvaise état. Miroki entraina Sofia à l'interieur. Ils arrivèrent devant une énorme fresque.
Sur la fresque était dessiné deux groupes. L'un était formé de petsoukhôs armés jusqu'au dents, et de l'autres des humains accompagnés de bête toute plus impressionantes les une que les autres. Sofia jeta un regard impressioné sur Miroki. Celui-ci reprit:
Nous vivons içi depuis des siècles. Seulement un jours, des petsoukhôs arrivés de nul part on envahit notre île. L'est de l'île était fertile avant qu'ils arrivent. Malheursement ils ont tout détruit. Nos ancètres ont construits ce temple pour nous rapeller aux serv' qu'ils doivent lutter contre les petsoukhôs jusqu'à l'arrivée des élus. Et c'est... VOUS.
Sofia resta bouche-bée. ELle sortit du temple sans dirent un mot. Là, elle en était persuadée. Ce n'était qu'un rêve, un rêve étrange dont elle n'arrivait pas à se réveiller. Miroki la regarda d'un air triste:
Tu crois que je suis un simple rêve, et cette île aussi? Je te croiyait plus...
Miroki ne termina pas sa phrase et s'envola dans la forêt.
Non miroki reviens! Il continua à s'éloigner.
Qui va me ramener au camp?


Goldjulie

L'ombre venait de tomber. Non, elle s'est assise. Elle doit être fatiguée.
La petite troupe décida d'avancer en longeant la forêt pour ne pas trop l'effrayer.
Arrivé derriere, l'ombre ne bougeait toujours pas. Elle n'est pas fatigué, elle est triste, elle pleure.
C'est un homme, un jeune homme, il doit avoir 18 ans. Émilie l'a déjà vu. Mélo l'aide à ce souvenir. Elle l'a vu à la télévision. La télévision. Elle ne la regardera plus jamais. C'était peut-être mieux ainsi, son grand-père disait toujours : " A force de regarder la télé tu va finir par avoir les yeux carré. " à ça elle rigolait et ils passaient un agréable moment. Mais elle ne le reverrai plus. Une larme toucha terre.
Maintenant, Émilie pensait que c'était pour ça que cet homme était là. Elle ne savait pas quoi faire. Et Bart était perdu dans ces pensées.
Tans pis, elle s'avança vers le jeune homme.
Elle s'assit près de lui.
Elle ne le regarda pas.
Et regarda l'horizon.
Mélo sur ces genoux.
Bart à côté.
Francis aussi.


Xahdeln

Séphira vit que le groupe s'était assis autour de quelqu'un.
Jake regarda les quatre étrangers qui venaient de s'assoir à ses côtés: une fillette, un homme, et deux animaux étranges. Il ferma las yeux et la colère le gagnait et les larmes cessèrent.
La jeune serv' sentit la colère du jeune homme monté. Était-ce bien lui en bas? Elle descendit.
Son père la suivait et vit encore qu'elle se dirigeait vers des humains, mais aussi vers un koala immense.
Jake ouvrit les yeux. Ses yeux froids de son arrivée exprimait la colère, la haine. Ses poings se crispèrent.
Il resta pourtant immobile.
Séphira se posa sur le sable, non loin du groupe, à environ cinq mètre, sans bruit.
Le père ozel lui planait, ne pouvant ainsi, ne pas être entendu.


Goldjulie

Allez Émilie ! Courage !
Il a besoin d'aide !
Lui aussi a vécu le naufrage !
Émilie prit son courage à deux mains pour savoir quoi lui dire.
Émilie : Moi c'est Émilie, je ne sais pas pourquoi tu es là. Mais si tu veux parler fait le.
Toujours laisser des silences pour réconforter quelqu'un.
- Tu sais moi aussi j'ai fait parti du naufrage. Je ne vais pas te dire que je sais ce que tu vis mais c'est simple pour personne.
C'est comme une musique qui te fait penser à autre chose.
- Mais j'ai survécu grâce à plein de gens. Bart, Mélo, Francis, il y a aussi Sofia, Mingano, Lifaen... qui ne sont pas là mais qui m'ont aidé. On s'est entraidé.


Xahdeln


Lifaen. Ce mot résonna dans sa tête. Ses yeux exprimait toujours la colère, mais ses poings n'étaient plus serrés. Devait-il lui faire confiance? Alors qu'il veut mourir? Après tout, qu'allait-il perdre? Il n'avait plus rien.
_ "Je cherche la mort en ce lieu. Sa voix faisait un contraste avec le soleil brulant du désert. Je n'ai plus rien..."
Il fit une pause de quelques secondes. Mais ce temps d'attente paraissait être des heures.
_ "Le naufrage m'avait apporté quelque chose, la forêt l'a repris..."
Séphira entendait ce qu'il disait. Elle était émue: il voulait mourir car elle était arrivée dans sa vie. La jeune Ozelle était importante pour lui.
L'ozel regardait et entendait tout grâce à ses oreilles, plus développées que la plupart des Ozels. Était-il la forêt? Se serait-il trompé sur le compte de Jake?
Séphira approcha doucement mais rapidement. Quelques secondes lui suffirent. Elle sauta sur l'épaule du jeune homme aux cheveux argentés qui se redressa, surpris.
Tourner la tête, il n'en avait pas besoin, il savait qui c'était.
_ "Mais la forêt ne peut pas me retenir éternellement, Jake."
Cette voix, il en était sûr, c'était elle. Mais son regard ne changea pas.
_ "Séphira... Tu dois retourner dans la forêt... Rejoindre ton père et ne plus te soucier de moi... Rejoint ton père et fait en sorte qu'il reste en vie..."
Ce dernier descendit alors. Mais il n'était pas encore assez prêt pour parler.


Chipy

Sofia marchait dans la forêt à la recherche du campement. Malheuresement elle avait un très mauvais sens de l'orientation. Elle tournait en rond déjà depuis une heure. Désésperée, elle se répetait:
je vais me réveiller, je vais me réveiller.
Mais la jungle qui l'entourait ne se transformait pas en l'interieur du bateau dans lequel elle pensait être. Elle entendit un bruit derrière elle. Effrayée elle se mit à courir, mais le bruit continuait de la suivre et la poursuivait. Bientôt, le bruit c'était transformé en un soufle chaud et bruillant. Elle se retourna et vit avec horreur un oiseau sans ailes, possédant deux pattes pleines de griffes. Celui ce jeta sur Sofia. La seul chose qu'elle put faire c'est crier. Crier de toute ses forces. Son cris perçant raisonna longtemps et très loin. Miroki en l'entendant se diriga vers elle. Mais arriverait-il à temp?


Goldjulie

La mort.
Comment voulait-il mourir alors qu'il avait été épargné 2 jours plus tôt ?

Une étrange créature se posa sur l'épaule du jeune homme.
Mélo : "C'est sa serv'."
Émilie compris soudain, sa serv' l'avait quitter, alors qu'elle venait d'entrer à peine dans sa vie.
Si Mélo venait à disparaitre, ce serait comme si c'était la fin du monde ou pire.
Émilie : Non !
Ce mot lui avait échapper. Le garçon avait tressaillit.
- Si Mélo disparaissait je serai comme toi mais je ne désirerai pas mourir ! Je le chercherait ! Toute ma vie s'il le fallait !
Mélo : "Et si c'était toi qui devait disparaitre je ferai de même.
Émilie : Tu ne peux pas abandonner ! Surtout qu'elle est là ! Avec toi ! Tu ne peux pas la laisser partir !


Xahdeln


Jake soupira:
_ "Son père déteste les humains..."
Le père de Séphira était à pouvait maintenant être entendu mais se tut pour le moment.
Séphira essaya avec sa voix la plus douce de réconforter Jake:
_ "Je serais toujours là, pour toi."
Elle afficha ensuite un sourire.
Le jeune homme tourna la tête.
Ce sourire, quand il l'avait rencontré, faisait fondre son armure glaciale. Mais, cette fois-ci, il lui était indifférent.
_ "Émilie... Je ne veux pas qu'elle est des problèmes par ma faute..."
Il prit Séphira dans ces mains.
Elle était intriguée: à quoi pensait-il? Elle ne percevait rien de Jake. Voulait-il l'enlacer? La relâcher?
Jake ferma les yeux, il ferma les yeux et repensa à ses parents: il ne pouvait pas les revoir, mais Séphira était encore là. Pour lui.
Mourir... C'était pensé à ses parents qui lui avait fait croire qu'il ne la reverrait plus. Mais maintenant, il comprit, jamais elle ne se passerait de lui, comme lui d'elle.


Aqualoup

Loup marchait depuis dix minutes sans n'avoir rien trouvé, quand tout a coup il vit de la brume au loin et il se dit : l'eau et le feu font de... la vapeur ou de la brume mais oui !! Il se dirigeat en courant vers la brume quand il arriva devant un nid d'oiseau geant par terre.

-J'ai une faim de loup moi! (quand on parle du loup...)

il prit son marteau et tout en marchant laissa des trasse dériere lui pour se rapeler de les amener au campement ( Omelette géante ).Le garçon arriva devant une source d'eau chaude, il rangea son marteau, quelques secondes après il entendit:

-Je t'attendait.


Chipy

Quand Miroki arriva sur les lieux, il vit Sofia et la bête étaient imobiles. Une douleur vive dans le flanc l'éffraya. Sofia était touché! Ils les regarda de nouveau, du sang perlait de leurs bouches. Finalement l'oiseau s'écroula, l'épée de Sofia plantée dans son ventre. Sofia ramassa son épée, et dit à Miroki: J'ai compris que ce n'était pas un rêve. La douleur est bien trop forte, et sans toi...
Et sur c"est mots, elle s'écroula à son tour. Miroki l'attrapa et la posa sur son dos. Son flanc en sang l'empèchait de voler. Et si il ne trouvait pas de l'aide assez vite, il s'évanouirait aussi et ils seraient à la merci des prédateurs. Il utilisa son pouvoir de serv' pour alerter les autres serv'.
A tout les serv': J'ai besoin d'aide! Quelqu'un qui pourrait nous soigner, moi et Sofia ma maîtresse. Nous nous trouvons au Sud de l'île, à quelque pas du temple. Dépèchez vous!


Cronoseus


Mingano et Generen était toujours collé l'un à l'autre, laissant passer entre eux les souvenirs, les émotions, mais aussi les peurs. Mingano se voyait tomber du haut de la falaise et Generen venait le rattraper. Il voyait aussi les Petsoukôs , les hommes -crocodiles ainsi que d'autres espèces, d'autres serv'.
Generen:Ceci est notre monde!
dit-il par télépathie lorsqu'une vue aérienne de l'île pris place dans leurs esprits
Generen:Je tiens cette vue de Miroki, un autre serv' que l'on devrait ...
Il fut interrompu par une autre image, on y voyait un tigre ailé penché sur quelqu'un. Le tigre ailé se mit à parler.
Miroki:A tout les serv', j'ai besoin d'aide! Quelqu'un qui pourrait nous soigner, moi et Sofia ma maîtresse. Nous nous trouvons au Sud de l'île, à quelque pas du temple. Dépèchez vous!
Le message d'alerte s'effaça.
Generen: On doit y aller!
Il saute dans l'eau projetant des milliers d'éclaboussures dans la grotte.
Generen:Grimpe sur mon dos! On n'a pas de temps à perdre!
Mingano:Allons-y!
Il sauta alors sur le dos de Generen.
Generen:Accroche toi à mes oreilles et prends mes cheveux pour les mettre sur ta bouche pour respirer!
Mingano:Pardon?
En effet, ses oreilles ressemblait à deux harnais et ses cheveux, ou plutôt son cheveu, se terminait par une ventouse. Mingano prit le cheveu et le mit sur sa bouche. Une bouffée d'air frais remonta dans sa gorge.
Generen:Mes poumons peuvent contenir assez d'air pour qu'un humain survive dans l'eau pendant une heure. Soit le temps qu'il me faut pour faire le tour de l'île. Mais ne traînons pas!
Ils s'enfoncèrent dans l'eau et porté par les courants marins, furent projeté hors de la grotte, près à aller porter secours à Miroki.


Godjulie

Son père déteste les humains. Elle comprend mieux maintenant.
"Mais pourquoi déteste-t-il les humains ? On a des défauts, on fait des erreurs mais après tout l'erreur est humaine."
- Pourquoi hait-il les humains ?
"Même si les humains étaient un fléau. Il ne devrait pas avoir le droit de dire quoi que ce soit. Tout le monde doit faire ses propres choix. Même un serv' !
A cette pensée Mélo approuva et Francis perçu également cette pensée, cette pensée plus forte que les autres. Peut-être que la demoiselle (je veux dire Séphira mais je sais pas comment la désigner )entendrait également cette pensée."
- Tout le monde à le droit de faire ses propres choix. Même un ou une serv' !
Le fait de répéter cette phrase mit Émilie en colère contre le père de l'Ozelle.
Elle se leva et partit vers la forêt.
Laissant là Bart et Francis qui les avaient, malgré tout, sauvait de leur solitude.
Laissant là le jeune homme et sa serv'.
Pourquoi ? Parce qu'elle ne supporte pas l'idée de ne plus revoir son père, sa mère. Elle pleure encore.


Xahdeln


Le père s'en voulait un peu. Il se posa devant Jake et sa fille. Le visage de Jake n'exprimait rien à la vue du père. Pourtant, Séphira recommença à capter les pensées de son maitre: il ouvrait de nouveau son coeur:
_ "Encore lui..."
Séphira se retourna et vit son père. Elle sursauta et afficha de la peur.
_ "Tu te demandes pourquoi je hais ton espèce, je vais te le dire: j'étais un serv' aussi. D'un homme mauvais, il me traitait comme un moins que rien. Il a tué ma femme il y a 15 ans! Il est repartit et je ne l'ai plus jamais revu."
Le jeune homme fut surpris: pourquoi lui dire maintenant. Il n'avait rien fait pour le mériter.
_ "Mais toi, tu t'enfermes, tu es prêt à sacrifier ta vie pour que ma fille vive heureuse. Mais si le serv' ressent la souffrance du maitre et vice versa."
Quand l'ozel eut dit ça, il ne le prenait pas au sérieux. Il s'était fait lacérer (bras gauche) par un groshgal et Séphira n'avait rien eu. Il regarda à tout hasard le bras de Séphira, où il vit quelques traces de sang.
Jake commençait à le croire. Pourquoi lui mentir.
_ "Alors... pourquoi n'a-t-elle pas eu mal quand je me suis fait attaqué par un monstre?" Lança Jake.
Le père de Séphira réfléchit. Puis, il trouva la réponse:
_ "La seule explication est que tu te sois enfermé et que tu n'es pas ta vrai personnalité."
Le jeune homme aurait ainsi protégé sa serv' sans même le savoir. Il voulait posé une question mais Séphira le fit en babillant:
_ "Pourquoi lui dis-tu tout ça?"
L'ozel répondit en parlant humain:
_ "Il a gagné ma confiance... Mais uniquement lui. Il voulait que tu sois bien. Il pensait à toi uniquement."
Jake osa, pour la première fois, exprimer un sentiment devant quelqu'un d'autre que Séphira. Son visage s'illumina faiblement de joie. Ses lèvres sortirent de leur torpeur et sourit. Son coeur de glace avait fondu pour laisser entrer un coeur flamboyant.
Sa vie reprenait, il ôta son armure et décida de redevenir enfin qui il était vraiment. Quelqu'un de qui sourit quand il est heureux, qui pleure quand il est triste.
_ "Merci. Je protègerais votre fille toute ma vie. Dit Jake, avec une voix qui ne paraissait pas la sienne, tant la chaleur de ses paroles se sentait.
_ J'y compte bien. Séphira, mon ange... Sois vigilante."
Elle sortit de l'emprise de Jake et alla vers son père. Il s'enlacèrent. Puis, ils babillèrent tous les deux.
Jake interpréta ça comme un au revoir.
Mais il lui revint une chose: Émilie avait fui. Il fallait la rattraper. Séphira se posa sur l'épaule de Jake (droite), et courut dans la direction où était partit la fillette avec Bart et son Koala..
Le père de Séphira s'envola dans la forêt dans la direction opposée. Il n'avait plus rien à faire ici.


Aqualoup


Loup commenca a avoir peur.

-Qui est tu? Que ve tu ? comment me connait tu ? pourqoi m'avoir ammener içi?

Toutes les question auquel il n'avit pas de réponse sortaient de sa bouche

- c'est toi qui faisait de la brume ?

il sortit son marteau

-non non je ne te veut aucun mal je suis ton serv'.
- un serv'? J'ai déja entendu ce nom quelque part... Mais oui des naufragé en parlaient a coté d'eux ils avaient des animeaux bizare .
- montre toit et explique moi
un sentiment de réconfort clandestin venait habiter son corp

- les serv's ressentent les sentiment de leur maitre si il se blessent les maitres son blaisser et vice versa, je m'appelle Hiveria je suis un louve fantome, ma famille a été decimé par des péstoucos hommes a tete de croco et j...
-attend les pestoucos tu dis les naufrages en parlaient aussi mais je connaisaient deja se nom je sais plus ou a la téloche peut etre ou dans un livre( une histoire de manipulation génétique)... Oui bon donc continue.
-Donc je t'ai ammener içi parce que tu aime bien les jeux de logiques et les jeu de pistes non ?
- Oui oui mais comment le sais tu ?
je suis "conecté" a ton ame.
- a ok bon tu vien je vais te présenté aux autres naufragés.
- non pas tout de suite je vien de recevoir un appel de détresse d'un autre serv' a coté du temple.
-le temple?
-oui un temple d'une proféssie racontanc le combat entre nous et les pestoucos
- et comment on fait pour y aller je suis a pied?
- il suffit que tu me touche et tu fusione avec moi tu devient un partie de la brume dériere moi et la brume c'est mon énergie donc j'irais encore plus vite.
-ok mais alors a chaque fois que je te touche je fusionne avec toi?
-Non déja tu peut défusioner qaund tu veut et si je le veut tu peut me toucher normalement (j'adore les carresses sur le ventre)
- bon ok on y va.

Loup toucha Hiveria et il partirent en direction tu temple


Godjulie

Bon si de ce coté il y a le désert alors de l'autre coté il y a la foret et plus loin forcement la plage ! Bon direction la plage !
Ne pas se retourner.
J'espère que ça va s'arranger. Un père et sa fille, ne doivent pas être en froid malgré tout !
Ça y est, la nuit commence à tomber ! On a pas d'abris. Nous allons encore passer une nuit à la belle étoile. C'est pas pour dire mais ça commence à m'embêter.
-Bart et Francis vous allez chercher du bois. Nous on va aller chercher des fruits ou de la nourriture.
Voilà, Mélo et moi partons à la recherche de fruits.
Mélo : Ne t'en fait pas le lien entre une personne et son serv' est très fort. Nous rien ne pourra le briser.
Merci Mélo.


Xahdeln

ake chercha la jeune fille tant qu'il le put. Il s'était perdu lui-même. La nuit commençait aussi à tomber. Continuer les recherches, ou rien que d'avancer était dangereux.
Les deux amis décidèrent de se poser là où ils étaient. Ils n'avaient rien pour dormir confortablement, ni de quoi manger.
Séphira regarda autour d'elle et vit un grand arbre aux branches assez épaisses et larges pour soutenir un humain.
La serv l'indiqua au jeune homme et accepta l'idée de dormir sur cet arbre.
_ "On sera à l'abri de tout, là haut." Ajouta-t-il.
Par chance, l'arbre donnait aussi quelques fruits.
Ceux-ci étaient rouge et avaient des formes de pommes. L'odeur de ce fruit était comparable à celui de la pêche.
Jake, une fois grimpé, se posa sur la plus grosse branche et prit un de ces fruits. Séphira en fit de même. Elle n'avait aucune crainte: elle mangeait ses fruits de temps en temps. Elle le mangea tranquillement.
Le jeune homme, quand à lui, le gouta. Il ne le trouva pas mauvais, mais très sucré.
Une fois les fruits fini, Jake scruta les environs, dans l'espoir de trouver les quatre êtres qui étaient avec lui peu de temps avant.


Chipy

Miroki fesait de son mieux pour rester conscient. Il avait perdu beaucoup de sang, tout comme Sofia. Ils commencait à voir flou et n'arrivait plus à tenir debout. Sofia avait du mal à respirer. Miroki s'allonga pour ne pas user toute son énérgie. Les bruits des prédateurs attirés par le sang se fesait de plus en plus menaçant. Il venait à peine de rencontrer Sofia, cela ne pouvait pas être fini. Non, pas encore.... Il lança un dernier rugissement pour qu'un "sauveur" les localisent, et s'évanouie.
Contenu sponsorisé

- Hélène - Empty Re: - Hélène -

Revenir en haut
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum