Comment on va faire fortune dans l'industrie pornographique

(Oui j'ai noté la phrase que j'entendais à ce moment c'était ma soeur)

Le soleil se couchait donc et Olben se laissait porter, une fois n’est pas coutume, par l’atmosphère paisible du soir. Il savait à présent ; partir avait été le bon choix. Soudain il y eut un grondement, des cris, des hérissements. Arbiôn et lui s’entre-regardèrent et plongèrent dans l’ombre du bas-côté. Un instant plus tard, sur la crête de la colline apparurent vingt cavaliers montés sur des coursiers élancés, leurs armures étincelant dans la lumière mourante du jour. Ils dévalèrent la colline dans un galop infernal, les dépassant sans les voir, disparurent à l’ouest. Le bruit de leur course s’évanouit peu à peu. La nuit tombait franchement désormais et ils sortirent de leur cachette et reprirent leur route. Un pressentiment, une sorte d’instinct, leur avait commandé de se cacher, leur avait dit que ces cavaliers n’étaient pas une chose normale sur cette route secondaire. Des bandits ? La guerre ? Ce prince Lovri jaloux de sa rivière ? Ils l’ignoraient, mais tous deux sentaient qu’ils avaient bien fait de ne pas croiser leur route.

[…]

La route qu’ils avaient choisi n’était pas la plus fréquentée, elle plongeait dans l’ouest du pays solipsan jusqu’aux montagnes du Velbore, et là il fallait obliquer soit vers le nord, soit vers le sud, selon que l’on veuille rejoindre l’Hercynée, ou descendre dans la vallée de l’Ambre. Dans tout des cas, c’était plus long que d’emprunter les voies solipsanes ; mais ainsi on évitait les péages et les villes. Il s’écoula quelques jours avant qu’Olben et Arbiôn n’arrivent au croisement. C’était sous un ciel strié d’or et de turquoise, le vent soufflait plus fort qu’à l’accoutumée, les herbes ondulaient entre les arbres noueux qui parsemaient la colline. Il se dressait là une auberge et quelques maisons de torchis, pas bien différentes de celles de la campagne crenheimienne. Aussitôt qu’ils aperçurent les toitures de chaume, Arbiôn trouva milles raisons de s’y arrêter ; le vin d’Ambre était épuisé, lui qui avait une robe si légère, il se faisait tard, ils dormaient à la belle étoile depuis trois jours, il fallait s’approvisionner avant de poursuivre. Olben, face à l’avalanche désordonnée et enthousiaste d’arguments, ne lutta pas et accepta.

La salle était comble, pleine de voyageurs bruyants, de mercenaires et de marchands qui bavardaient sans discontinuer, noyant tout sous un bruit constant et incompréhensible. Ils faisaient peine à voire, dégingandés, les vêtements couverts de poussière et de sueur, les visages tirés de fatigue après une nouvelle journée de marche, mais ici, ils se fondaient dans la masse sans difficultés. Attablés dans un coin, ils dévorèrent pleine dents pain de seigle, fromage de chèvre, chair de mouton brûlante et poisseuse de graisse, tout en buvant à pleines lampées un vin fort des environs, chargé de tanin et trop sucré. Autour d’eux ils saisissaient des bribes de nouvelles ; des foudreriviens et un prince solipsani s’étaient entre-tués à Serpanon, déjà des émissaires de Solipsane parcouraient les campagnes pour enrôler les paysans ; la trouée de Ventelieux était occupée par les armées d’Hercynée dont les princes n’entendaient pas laisser passer les flots de réfugiés solipsani qui risquaient de s’y ruer en cas de guerre. À cette nouvelle, les deux amis s’assombrirent. La route vers le nord était fermée, ce qui ruinait tous leurs projets.

Mais l’Ambre, au sud, n’était pas plus sûre ! Les barbares s’emparaient de villes entières, leurs armées hantaient les campagnes, narguant les princes du pays au trône déserté. Quelle folie d’avoir quitté Crenheim ! Arbiôn tendit l’oreille, arrêtant de boire. Les marchands voulaient atteindre Solipsane écouler leurs marchandises pour profiter de la hausse des prix, les paysans fuir dans les montagnes et échapper aux levées d’armées, les mercenaires remonter au nord et camper dans les Confins pour défier les foudreriviens. Soudain le vacarme monta en intensité quand un paysan planta son couteau dans la main d’un marchand, et qu’une rixe mortelle éclata au milieu des tables, dans laquelle intervinrent sans pitié trois mercenaires armés de pieds en cap. Quelques minutes plus tard, trois corps gisaient dans un silence glaçant et une mare de sang. Arbiôn et Olben ne le virent pas : ils s’étaient esquivés quand personne ne prêtait attention.

La cour était plongée dans les ténèbres nocturnes, et ils s’éloignèrent à grandes enjambées, inquiets qu’on ait pu les voir ; ici, un crenheimien ne devait pas être bien différent d’un foudrerivien. La route était un ruban pale, les arbres palpitaient des lueurs émeraudes des lucioles, la lune couchait de longs rais de cendre sur le pays.
« Olben »
La voix d’Arbiôn était tremblante de nervosité.
« Qu’allons nous faire ? »

CC L'arbre d'Ivoire

Avorio.

Petite île complètement perdue.

Les plages de sable fin s'étendent à perte de vue. Du sable, si blanc, semblable à du sel. La mer sombre la souille périodiquement de son écume.

Et au-delà, de la roche. Que de la roche, cabossée, fissurée, érodée, qui s'entasse. Des grains de sable et de sel se logent dans les crevasses, s'agglomèrent par endroit pour former comme de la neige sèche.

Sérieusement, s'échouer à un endroit pareil...

Avorio est une île unique en son genre, car sans intérêt. Pas de végétaux, quelques rares bestioles. Tout y est blanc. Invivable.

Mais bon, ils n'ont pas d'autres choix que de se réfugier dans ce coin paumé. Cela ne devrait être qu'une affaire de quelques heures. Peut-être même n'auront-ils pas besoin d'y passer la nuit. En espérant avoir définitivement semé les pirates...

Henki se permet de s'affaler à même le sable, exténué. Leur course-poursuite effrénée se joue encore et encore dans sa tête comme un film d'action. Il fait nerveusement filer les grains entre ses doigts. Son souffle est laborieux, mais l'air iodé commence à le calmer.

Helmi s'installe à côté de lui. Elle soupire.

"On l'a échappé belle..."

Elle se passe une main dans ses courts cheveux. Henki ne lui répond pas.

''Tu as beaucoup forcé, frérot... essaye de te reposer maintenant.''

Henki sent son cerveau se brouiller, alors que sa tête épouse le sable. Il s'encre sur terre, les grains sous les ongles, la lumière caressant son visage. L'air qui s'infiltre dans ses poumons. Tout ce qui est physique.

Helmi revient de leur petit navire avec quelques sacs en tissu.

''Si tu te sens manger, je pose la nourriture à côté de toi.''

Elle les ouvre. Du poisson salé et quelques fruits confits.

''Il n'y a que dalle pour faire un feu, ici. On peut toujours se débrouiller mais il vaut mieux ne pas rester trop longtemps.''

Henki se couvre les yeux du creux de son coude. La lumière devenait trop forte à travers ses paupières. Ses membres sont gourds. Ses oreilles bourdonnent.

Helmi masse affectueusement son épaule.

''Je sais que c'était vraiment beaucoup aujourd'hui. Tu as vraiment géré. Je vais te laisser récupérer.''

Il se sent sourire malgré lui. Mais il ne veut plus jamais faire ça. Encore un peu et son cerveau aurait frit à cause des ondes qu'il a brouillées.

Helmi ouvre ses propres sacs pour attaquer son repas. Le poisson, frais et juteux entre ses dents, la réconforte plus qu'elle ne l'aurait pensé. Elle pressent pourtant que les pirates les cherchent encore, malgré leurs instruments endommagés. Leur détermination n'a d'égal que leur ingéniosité. Et leur avarice, visiblement...

Avorio est à au moins un millier de kilomètres à l'est de Merinen. C'est bien trop loin à atteindre en un coup, mais ils seront en sécurité sur le continent. S'ils font quelques escales, même sur d'autres îles minables, c'est possible.

Il va falloir juste regarder la carte et décider du meilleur trajet.

(inachevé)

Bon, alors  d'abord la couture.

J'ai fait une liste de courses, car je manque notamment d'élastiques pour mes projets. Il y a toutes sortes d'élastiques, déjà ils peuvent être tissés ou tricotés. Le tricoté c'est plus élastique mais ça reprend moins bien sa forme première et à cause de ça c'est moins durable que le tissé. Suite à ça, il coûte moins cher. Et sinon on peut acheter de la laminette de caoutchouc qui est carrément pas chère, super durable et élastique, mais c'est moche au possible donc faut la coudre dans du tissu. C'est très bien pour les maillots de bain (vu qu'avec l'eau de mer, le chlore et tout on veut du solide et durable).
Il y a aussi différentes compositions d'élastiques (polyester ou polyamide principalement) mais c'est surtout important si on veut teindre son produit, car l'un des deux (PA) peut être teint et l'autre non (PE). La teinture ne me concerne pas pour l'instant (peut-être l'an prochain quand ce sera la saison : je voudrais essayer la teinture au brou de noix qui donne de beaux beiges et bruns !)

Là, je voudrais surtout faire des slips pour commencer, et une brassière.
J'ai consulté un site fort pratique qui explique tout ce qu'il y a à savoir à ce sujet, afin de connaître notamment la largeur souhaitée pour les différents élastiques selon leur fonction, et aussi comment tester leur élasticité et leur endurance (spoiler : prendre un bout de 10 cm, tirer très fort dessus pendant quelques secondes et regarder ensuite combien il mesure)
J'avais déjà regardé ça, ce soir j'ai surtout récapitulé tout ce dont j'avais besoin, par exemple
- 180cm d'élastique à slip, tissé, 5mm de large ou +, un côté doux souhaité (oui oui y a ça dans les choix d'élastique), visuel important
- 120cm d'élastique tissé ou laminette de 5 à 8mm de large pour les jambes de slip. (le visuel est indifférent car je peux le coudre dans le tissu, d'où la laminette)

Pour le choix des tissus, c'est moins prise de tête : du coton pour tout ce qui est au contact des muqueuses parce que c'est sensible, et pour le reste on va au feeling, tant que c'est assez élastique pour être enfilé et retiré aisément et que la matière nous plaît au visuel et au toucher. Le coton c'est bien pour tout ce qui est près du corps car doux, bonne absorption (la sueur toussa) et résiste bien à plein de lavages. Je suppose aussi que c'est meilleur que du synthétique pour le frottement et la respiration de la peau, mais bon, le synthétique est couramment utilisé dans des sous-vêtements et fait plus sexy. Tant qu'y a un patch de coton au niveau du sexe comme dit on s'en fout un peu. A part ça, le lin était souvent utilisé avant pour les chemises de corps, j'ai jamais essayé en sous-vêtements et ça me semble un peu trop rugueux mais je me pose la question, tenterai peut-être pour avoir la réponse.

Voici le site en question, si vous aussi vous voulez coudre vos sous-fringues avec des élastiques savamment choisis.
https://www.eclipse-lingerie-studio.com/2017/08/14/tout-ce-que-vous-devez-savoir-sur-les-%C3%A9lastiques-%C3%A0-lingerie/


Ensuite : la contraception

Je vous avouerai que mon ignorance est crasse. Mes connaissances fondées principalement sur mon expérience et les on-dit qui ont frôlé mon ouïe. Voici une liste organisée de mon savoir empirique.

 La pilule :
Basiquement manger des hormones pour faire croire à son corps qu'on est enceint.e (je comprends même pas la logique de ça faudra que je regarde). On en prend chaque jour à heure aussi fixe que possible, pendant trois semaines d'affilée (les tablettes de pilules vont par tablette de trois semaines et souvent y a même les jours de la semaine marqués dessus pour aider à se repérer si on l'a bien prise aujourd'hui). A la fin de sa tablette, on arrête d'en prendre pendant une semaine, et au bout de sept jours on commence la tablette suivante. Cette semaine de creux est la semaine de règles, et en effet les règles arrivent (normalement si tout va bien) MAIS ATTENDEZ. Ce ne sont PAS les règles. Non : c'est une "hémorragie de manque". C'est marqué sur la notice de la pilule. Bienvenue dans le monde des gens qui mangent des hormones.
Si on oublie de prendre sa pilule, on peut encore la prendre en retard dans les 12 ou 24h (j'ai oublié) qui suivent, au-delà de ça il faut juste sauter celle-ci et continuer normalement mais cet oubli fera qu'on est à risque de tomber enceint.e s'il y a un rapport sexouel au cours de la semaine précédant ou celle suivant l'oubli en question.
On peut commencer/arrêter assez facilement. On commence à la prendre à un moment où nos règles finissent pour que le cycle de la pilule colle avec le nôtre, et ensuite ça roule. Je ne sais plus combien de temps ça prend avant d'être effectif, je dirais une semaine en toute logique. On arrête quand on veut, pas besoin de préavis.

Effets secondaires ? Cancérigène. Au début de la commercialisation, ça provoquait plein d'effets secondaires nuls comme grossir et avoir des boutons. De nos jours, n'est plus censé faire ça. Cependant il en existe différentes sortes et il peut arriver que ça provoque ce genre d'effets quand on en prend une qui ne nous convient pas, à ce moment il faut retourner voir san gynéco/médecin pour faire un feedback et en avoir une meilleure.

Le stérilet et l'implant
Mon gars j'en sais rieeeen ! L'implant c'est un bâton implanté dans le bras, on peut même le sentir et le voir quand on appuie au bon endroit (berk !), et l'autre c'est un dispositif implanté dans le vagin. Je sais pas quelles sont les différentes sortes ni comment ça marche, je sais que certains se basent uniquement sur l'idée que "c'est du cuivre et le cuivre c'est contraceptif". Entre ça et les tampons, est-ce que les gens vont se lasser de placer n'importe quoi dans le corps des meufs ?
Ne sais pas non plus comment on commence/arrête et comment on entretient, je sais qu'il y a un entretien (genre changer son stérilet tous les trois... mois ? Ans ? Mes recherches sont pas finies clairement.) Ce que je sais, c'est que j'ai entendu de BEAUCOUP TROP NOMBREUX retours sur des effets secondaires épouvantables, genre une meuf qui a eu ses règles pendant deux mois. Oui, deux mois entiers de règles. Une qui avait cessé d'avoir ses règles pendant super-longtemps (peut-être bien la même nana en fait). Des fois les règles sont d'une texture/couleur/odeur pas normale. Y a des filles qui se retrouvent anormalement fatiguées, ou qui ont des maux de tête, des vertiges. J'en oublie probablement d'autres. Et tous ces trucs, que je sache, n'ont reçu aucune réponse satisfaisante, j'ai l'impression que les professionnels foutent juste un truc dans ton corps en espérant que ça va bien interagir et produire l'effet escompté. Si ça marche (ce qui arrive), c'est cool, ils te font un pouce vert et te donnent la notice habituelle. Si ça marche pas, smiley triste, on traficote à droite à gauche en espérant que ce sera mieux ou on se contente d'attendre voir.
-> Je vais me renseigner mieux sur ces trucs, mais pas moyen que je m'en approche !

La cape cervicale et le diaphragme
Je viens d'en entendre parler pour la première fois. Les deux fonctionnent de la même manière, ils ont une forme différente, selon la personne qui m'en a parlé le diaphragme serait le plus pratique d'utilisation (info à vérifier). C'est un objet qui s'insère au fond du vagin et bloque littéralement le passage pour que les spermatozoïdes n'aillent pas plus loin (une sorte de bouclier, mais c'est souple). Et au cas où quelques spermatozoïdes arriveraient à passer (sur les côtés, chaipas) l'autre côté est enduit de gel spermicide. Ca offrirait autant de protection que les capotes. Ne risque pas de tomber à un moment où on le veut pas (même si on y va joyeusement) mais s'enlève facilement quand on le souhaite. Pour le diaphragme, vous pouvez voir une petite encoche ou bosse, qui sert à attraper l'objet avec un doigt pour quand on veut le retirer. La grande bosse est donc placée vers le bas (ou tournée vers l'extérieur).
On met cet objet expressément pour le rapport, on peut le mettre jusqu'à deux heures avant et le retirer jusqu'à vingt-quatre heures après le rapport. Pas plus, parce que c'est pas très sain de laisser macérer tout ça en place et ça peut perturber "l'auto-nettoyage" du vagin.
A voir en pratique si ça risque de bouger ou quoi ?

Capote pour vagin
Mdr y a vraiment des gens qui utilisent ça ? Jamais vu. A l'air pas pratique et pas glamour du tout.

Capote pour penis
Oui bon, on connaît. Faire attention au lubrifiant qu'on utilise : certains sont à base d'huile et rendent les capotes poreuses. Les autres sont à base d'eau et ne posent aucun problème. J'ai jamais essayé les capotes parfumées, des retours quelqu'un ?

Contraception thermique (tenir ses boules au chaud)
Ca devient connu Khaleesi notamment à travers les milieux LGBT+, égalitaristes et autres et c'est là-dessus que je me suis renseignæ ce soir.
Le principe est simple : les spermatozoïdes ont besoin d'une certaine température pour vivre, et ce n'est pas celle du corps. Les testicouilles aiment donc à balloter dehors, sauf quand il fait très froid et qu'elles se rétractent pour équilibrer leur température. Conclusion, si on les maintient au chaud constamment, on devient infertile (au bout de trois mois, qui est le temps de la spermatogenèse donc ça demande un temps à mettre en place quand même). Pour ça, il existe des slips chauffants dont je ne sais pas grand-chose sauf que c'est rigolo à entendre et probablement pratique pour l'hiver, puis qu'il faut les recharger donc on doit brancher son slip régulièrement. Je suis donc hautement enthousiaste à cette idée. L'autre moyen dont j'ai entendu parler est un anneau en latex qu'on place de manière à ce que la verge et la peau des couilles saluent le vaste monde tandis que les boulettes restent à l'intérieur (ce qui ne fait pas mal, il y a une petite poche prévue pour ça dans le corps vu que comme on a dit elles ont parfois besoin de se rétracter là-bas naturellement).
C'est déconseillé si on a une anomalie dans cette zone, qu'on est pas en mesure de le mettre (T-Rex, grande faiblesse des mains...) ou si on a eu les oreillons car ça rend les couilles ultrasensibles d'après ce qu'on m'a dit. Si on a la peau fragile, on peut vouloir se mettre de la crème pour nourrir/soigner sa peau après l'avoir enlevé le soir.
Les avis qui ont frôlé mes oreilles impliquent que ça marche bien, pendant les premiers mois on fait régulièrement des spermatogrammes (mesure des spermatozoïdes dans un échantillon de sperme) pour surveiller le processus. La sensation fait un peu bizarre au début et puis on s'habitue jusqu'à ne même plus le remarquer, on met l'anneau tous les matins et on le retire tous les soirs comme les vêtements. On le lave au savon et à l'eau régulièrement. On peut faire en le portant tout ce qu'on peut faire sans le porter. Comme pour la pilule, il s'agit de le faire chaque jour (environ quinze heures par jour, qui peuvent être fractionnées mais semblent importantes) car la spermatogenèse reprend immédiatement et crée un risque de grossesse en cas d'oubli même une fois.

Effets secondaires ? Aucun.
Pourquoi on nous en a pas parlé avant ? Parce que le sexisme, littéralement. Ca semble absurde mais c'est juste ça. Pourquoi contraindre les mecs à faire quoi que ce soit avec leur appareil reproductif, alors que c'est contraire au virilisme et qu'on peut à la place demander aux femmes de manger des hormones et s'implanter du cuivre dans le vagin. Les profs qu'on avait ne savaient probablement pas que ça existait, parce qu'on ne leur en a pas parlé. Même en école d'infirmiers apparemment ce n'est pas évoqué. C'est comme les personnes intersexuées, la société a juste décidé qu'on avait pas besoin de savoir ça.

Pour plus d'infos sur les anneaux de contraception thermique, y a ce site, utilisé par un pote fort satisfait.
https://www.thoreme.com/
Le site contient plein d'infos et je note parce que c'est marrant que quand on choisit sa taille, c'est des noms de South Park allant de Kyle à Butters.
Je cite le créateur du site aussi "C'est totalement inadmissible qu'en 2019 des gens envisagent d'aller sur mars, et que les garçons soient toujours pas foutus de maîtriser leur fertilité !" x'D c'est lui qui parlait du fait qu'ayant fait une école d'infirmier il en avait même pas entendu parler.


Bref, c'est tout pour moi, je vais continuer de me renseigner sur le stérilet, l'implant et le slip chauffant afin d'être CULTIVAE mais d'abord faut que je regarde mes onze onglets de vidéos youtube en attente et que j'aille faire le ménage. Ensuite je réfléchirai à l'idée de dormir, il est quatre heures.